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قديم 2009-01-10, 22:20   رقم المشاركة : 1
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سفيان360
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طلب بحث عن transplantation des organes بالفرنسية السنة 2ع ت عااااااااجل









 


قديم 2009-01-13, 11:54   رقم المشاركة : 2
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aminabch
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Greffe (médecine)
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Pour les articles homonymes, voir Greffe. Page d'aide sur l'homonymie

En médecine, une greffe ou transplantation est une opération chirurgicale consistant à remplacer un organe malade par un organe sain, appelé greffon ou "transplant" et provenant d'un donneur. La différence entre transplantation et greffe est que la première est réalisée avec une anastomose chirurgicale des vaisseaux sanguins nourriciers et/ou fonctionnels, alors que la seconde est avasculaire. Font donc l'objet de transplantations les organes (généralement) : coeur; poumon, foie, reins,... Les greffes concernent la cornée, la moëlle, ... En conséquence, parler d'une greffe cardiaque est un abus de langage, et un non-sens sur le plan médical.
Sommaire
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* 1 Types de greffes
* 2 Organes greffés
* 3 Prélèvement d'organe
o 3.1 À partir d'un donneur vivant
+ 3.1.1 La vente d'organes
o 3.2 Sur patient après arrêt cardiaque définitif
* 4 Historique
* 5 Bilan des greffes
* 6 Greffés célèbres
* 7 Notes et références
* 8 Voir aussi
o 8.1 Articles connexes
* 9 Liens externes

Types de greffes [modifier]

Les types de greffes peuvent être classés suivant l'origine du greffon :

* Isogreffe : le greffon appartient au vrai jumeau du receveur, cas par essence rarissime.
* Allogreffe : le donneur et le receveur appartiennent à la même espèce. C'est le cas le plus fréquent.
* Xénogreffe : le donneur est d'une espèce différente mais proche génétiquement du receveur. Les xénogreffes sont pour l'instant essentiellement expérimentales.
* Autogreffe : le greffon appartient au receveur. Il s'agit essentiellement de tissus ou de cellules.

Organes greffés [modifier]

Les transplantations les plus fréquentes sont les transplantations du rein. On pratique également des transplantations du foie, du cœur, du poumon, du bloc cœur/poumon, du pancréas et plus rarement de l'intestin. On sait également greffer des tissus : cornée, os, valves cardiaques ou vaisseaux sanguins, de la moelle osseuse. Il existe également des techniques expérimentales de transplantations de tissus composites (main, partie du visage).

Certaines transplantations permettent de sauver une vie, d'autres d'éviter de lourds traitements (la transplantation du rein permet par exemple d'éviter la dialyse).

Il doit exister une certaine compatibilité immunologique entre le receveur et l'organe transplanté afin de diminuer le risque de rejet (réaction du système immunitaire du receveur contre l'organe transplanté ou greffé pouvant conduire à la destruction de ce dernier). Au minimum, une compatibilité au niveau du groupe sanguin est requise. La meilleure adéquation possible, quant au groupe HLA, reste souhaitable, même si elle est moins impérative..

La transfusion sanguine n'est pas considérée comme une greffe car elle ne pose pas les mêmes problèmes : le sang du donneur n'exige qu'une compatibilité de groupe sanguin et aucun traitement immunosuppresseur n'est requis, les éléments sanguins transfusés n'étant là que pour permettre au patient de passer un cap et étant progressivement remplacés par ceux de ce dernier.

Une fois greffé, l'organisme du receveur considère le nouvel organe comme un objet étranger. Le malade doit donc suivre un traitement immunosuppresseur à vie pour éviter le rejet du greffon (sauf pour les valves cardiaques, qui sont traitées avant la transplantation pour ne pas susciter de rejet, et la cornée).

Prélèvement d'organe [modifier]
Icône de détail Article détaillé : Don d'organe.

Les organes sont prélevés sur les sujets en état de mort encéphalique, en arrêt cardiaque définitif, ou dans certains cas (rein, portion de foie, lobe pulmonaire) sur une personne vivante. En France, le don d'organes repose sur le principe du consentement présumé : chaque individu est considéré comme un donneur potentiel à moins de s’y être opposé de son vivant. En pratique, lorsqu’un prélèvement d’organes est envisagé, si l’équipe médicale n'a pas directement connaissance de la volonté du défunt (c'est à dire s'il n'est pas inscrit sur le registre national des refus), elle doit s'efforcer de recueillir auprès de ses proches son opposition au don d'organes éventuellement exprimée de son vivant.

À partir d'un donneur vivant [modifier]

Une personne en bonne santé a la possibilité de donner un organe de son vivant. C’est le cas par exemple du rein, d’une partie du foie ou très rarement du poumon. On peut en effet vivre en bonne santé avec un seul rein, une partie du foie (car c’est un organe qui se régénère rapidement) ou une partie des poumons.

Ce don n’est possible que si le donneur est majeur et très proche du receveur. La loi de bioéthique fixe la liste des personnes qui peuvent donner un organe de leur vivant. Cette liste est constituée par la famille proche (père, mère, conjoint, frères et sœurs, enfants, grands-parents, oncles, tantes, cousins germains, conjoint du père ou de la mère), ainsi que toute personne ayant vécu pendant au moins deux ans avec le receveur.

Les transplantations issues de donneur vivant les plus fréquentes concernent le rein, le risque pour le donneur étant extrêmement faible. Elles présentent en outre plusieurs avantages pour le receveur : elles fonctionnent en général mieux et plus longtemps que les greffes de rein à partir de donneur décédé. En outre, elles permettent de raccourcir ou de supprimer la période difficile d’attente en dialyse, ce qui comporte des avantages considérables sur les plans familiaux, personnels et professionnels. Pour le foie et le poumon, les risques pour le donneur sont beaucoup plus importants.

La vente d'organes [modifier]

La vente d'organes est strictement interdite en France, elle est considérée comme un délit. Tout contrevenant risque sept ans de prison et 100 000 € d'amende. Le don et la greffe d'organes sont en France l'activité médicale la plus réglementée, dont l'organisation est encadrée par l'Agence de la biomédecine.

Sur le plan international, bien que posant un problème d'éthique et de sécurité sanitaire, c'est une pratique qui se développe : près de 5 % des transplantations seraient faites sur cette base[1] (achat d'un organe d'un « donneur », essentiellement issu d'un pays pauvre). Près de 10 % des greffes de rein au niveau mondial se feraient également par ce biais[2].

Sur patient après arrêt cardiaque définitif [modifier]
Icône de détail Article détaillé : Prélèvement d’organes à coeur arrêté.

Sous certaines conditions bien précises (contraintes temporelles notamment) les organes (rein, foie, poumon) de personnes en arrêt cardiaque et respiratoire définitif peuvent être prélevés. On sait aujourd’hui que les résultats des greffes de ces organes sont aussi bons que ceux provenant de donneurs en mort encéphalique. Des programmes de ce type ont démarré en France fin 2006. On estime qu'ils pourraient conduire à augmenter d'environ 30% le nombre de greffons disponibles.

Le décès est prononcé après deux à cinq minutes de constatation de l'arrêt cardiaque. Le prélèvement est alors effectué idéalement le plus tôt possible (dans la demi-heure pour le foie, dans l'heure pour les reins)[3].

Le donneur peut être également décédé depuis quelques heures (don de cornée).

Historique [modifier]

* Le 7 décembre 1905 a eu lieu la première greffe de cornée avec succès, par le docteur Eduard Zirm (1863-1944). Le donneur était un jeune garçon de 11 ans devant subir une énucléation d'un œil blessé mais à la cornée intacte. D'autres tentatives ont été décrites précédemment mais aboutissant à des échecs.
* La première transplantation rénale a eu lieu en 1952 sur le jeune Marius Renard par l'équipe de Louis Michon à l'Hôpital Necker à Paris, les suites néphrologiques étant assurées par Jean Hamburger. Le jeune homme mourut 21 jours plus tard.
* La première transplantation de foie a eu lieu en 1957 par le docteur Martinez[réf. nécessaire]
* La première transplantation de moelle a été faite en 1957 par Thomas[réf. nécessaire].
* La première transplantation cardiaque a eu lieu en 1967 par le professeur Christian Barnard en Afrique du Sud. La survie n'a été alors que de 18 jours. En France, on peut citer le cas d'Emmanuel Vitria qui vécut avec une telle transplantation de 1968 à 1987.
* La première transplantation du poumon a eu lieu en Belgique en 1968.
* La première greffe de larynx réussie a eu lieu en 1998 par le Pr Marshall Strome (Cleveland, Ohio) sur le patient Timothy Heidler qui a ainsi recouvré l'usage de la parole[4]. Il s'agit de la première greffe d'organe non essentielle à la survie.
* La première greffe de moelle osseuse a eu lieu en 1968.
* La première double transplantation de mains (avec avant-bras) a eu lieu en janvier 2000 (Pr. Dubernard)[5].
* En 2003 eu lieu la première transplantation de langue (anatomie) à Vienne.
* La première transplantation partielle de visage a eu lieu en France en novembre 2005 sur Isabelle Dinoire.
* En 2006, la première transplantation de pénis est effectuée à l'hôpital de Guangzhou (Chine) par l'équipe du docteur Weilie Hu[6]. En dépit de l'absence de signes de rejet, le patient a demandé l'ablation du greffon après 14 jours.
* 1979 : première greffe de trachée[7]. En 2005, première greffe à l'aide d'un segment d'aorte[8],[9]. En 2008, une nouvelle greffe de trachée est effectuée en Espagne, le greffon étant la trachée d'un donneur préparé de telle sorte qu'il ne soit plus nécessaire d'avoir un traitement immunosuppresseur[10].
* En 2008, le 1er août, la première transplantation de deux bras entiers a été réalisée en Allemagne à la clinique universitaire de Munich, par une équipe de 40 personnes sous la direction des professeurs Christoph Hijhnke et Edgar Biemer[11].

Bilan des greffes [modifier]
Classement national du nombre d'organes prélevés sur des donneurs cadavériques par millions d'habitants en 2004 (Source : Agence de la biomédecine).

4 237 greffes d'organes solides ont été réalisées en France en 2005. Dans le même temps, près de 12 000 malades ont eu besoin d’une transplantation. Autres données : 1 371 sujets ont été prélevés durant la même période en France (un donneur donnant en règle plusieurs organes), mais le nombre de donneurs potentiels atteint plus du double. Ce déséquilibre entre offre et demande n'est pas propre à la France : En 2006, en Grande-Bretagne, près de 3 000 transplantations ont été faites alors que la liste d'attente comporte plus du double de patients[12].

La cause la plus importante de non-prélèvement est l'opposition de la famille dans près d'un tiers des cas.

Ces chiffres illustrent un phénomène problématique : celui de la pénurie. En effet, le nombre d'organes donnés ne suffit pas à couvrir les besoins. Ainsi, de nombreux malades se retrouvent en liste d'attente et patientent plusieurs mois voire plusieurs années avant de recevoir la greffe salvatrice. De nombreux malades décèdent avant d'avoir pu être greffés.

Compte tenu de ses avantages, la transplantation de rein à partir d'un donneur vivant progresse depuis quelques années. La France reste très en retrait par rapport à d'autres pays (Norvège, USA, etc.). Compte tenu des faibles risques encourus par les donneurs, les questions éthiques qu'elle soulève sont moins aigues que pour le foie ou le poumon.

La recherche se tourne vers la xénogreffe, notamment à partir du cochon. L'objectif est de modifier les gènes de l'animal afin que ses organes ne soient pas rejetés immédiatement, mais d'autres risques sont afférents, notamment de transmission de virus de l'animal à l'homme.

Les résultats du graphique prouvent que les choix de société et le volontarisme politique peuvent avoir un grand impact sur le nombre de greffes réalisées dans un pays.

Les résultats des greffes s'améliorent régulièrement, c'est aujourd'hui une technique fiable et validée. Certains greffés le sont maintenant depuis près de 40 ans, ce qui leur a permis de vivre pratiquement l'intégralité d'une vie.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Greffe_(m%C3%A9decine)
https://www.greffedevie.fr/greffe/un-peu-d-histoire.php










 


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