مرسوم رئاسي : حامل ماستر يستطيع أن يصبح أستاذ مساعد صنف ب في الجامعة - الصفحة 25 - منتديات الجلفة لكل الجزائريين و العرب

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مرسوم رئاسي : حامل ماستر يستطيع أن يصبح أستاذ مساعد صنف ب في الجامعة

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قديم 2011-04-06, 14:29   رقم المشاركة : 361
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Yacine Kh
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Version des faits de la Coordination autonome


le 06.04.11 | 01h00 Réagissez
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La Coordination autonome des étudiants de l’université de Béjaïa a affirmé hier qu’elle n’est pas responsable du saccage du rectorat par les étudiants.



«Notre coordination n’est pas derrière cet acte de violence», a déclaré Mahmoud Allouche, membre de cette Coordination. «Sans vouloir justifier l’usage de la violence, nous tenons le recteur pour responsable de ce grave incident. Il a provoqué, par ses comportements irresponsables, cette réaction indésirable», a-t-il ajouté.
Et de raconter : «Lors de l’assemblée générale tenue par le comité autonome de la faculté de droit pour décider des suites à donner au mouvement de grève, le recteur et des agents de sécurité se sont introduits de force dans la salle de la réunion et ont cassé la sono. Quand un étudiant en première année, membre du comité, a demandé des explications au recteur, ce dernier l’a tout simplement agressé en usant de son coude, avant de prendre la fuite à bord de son véhicule personnel.»

Notre interlocuteur, tout en regrettant ce qui s’est passé, continue : «Près de 20 000 étudiants, voulant dénoncer l’agression de leur camarade, ont marché du campus d’Aboudaou vers Targa Ouzemmour. Une fois sur place, les choses ont dégénéré. Plusieurs bureaux du rectorat ont été détruits par nos camarades surexcités.»
«Les étudiants de la faculté de droit vont déposer plainte contre le recteur. Il n’a qu’à se défendre devant la justice», a encore souligné Mahmoud, qui affirme que tous les étudiants sont solidaires et prêts à toutes éventualités.









 


قديم 2011-04-06, 14:30   رقم المشاركة : 362
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Université de Béjaïa

Le rectorat saccagé


le 06.04.11 | 01h00 Réagissez
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Des milliers d’étudiants de l’université de Béjaïa ont violement manifesté, hier, pour protester contre «l’agression d’un étudiant par le recteur et par un agent de sécurité».


Les étudiants ont d’abord marché sur un très long itinéraire menant du campus Aboudaou jusqu’au centre de Targa Ouzemour avant d’observer un grand rassemblement devant le rectorat. Après avoir crié des slogans de dénonciation, des étudiants ont forcé l’accès principal de l’immeuble abritant l’administration. Ils ont pu ouvrir la porte d’entrée avant de saccager le matériel informatique, qu’ils ont brûlé par la suite à l’extérieur. Dans une déclaration à El Watan, Ouedfel Younes Mohamed Lamine, étudiant de 1re année de droit, qui dit avoir été «agressé», témoigne : «Il était 9h30 ce matin (lundi, ndlr). Le comité des étudiants du département de droit a organisé une assemblée générale pour discuter des problèmes auxquels nous faisons face. Les étudiants ont bloqué tout accès au bloc 4 qui abritait cette réunion (…).
Les agents de sécurité sont venus pour forcer l’ouverture des portes. Nous avons tenté de les en empêcher en leur disant que c’est notre droit de faire grève.» Et d’ajouter : «Le recteur, qui est entré dans la salle, m’a lancé des propos désobligeants et m’a tenu par les mains pour m’immobiliser. C’est là qu’un agent de sécurité a surgi pour m’asséner un coup à la mâchoire avec le coude. Le sang a giclé. Je me suis rendu ensuite dans un centre de soins où on m’a délivré un certificat médical. J’ai porté plainte contre le recteur et l’agent de sécurité pour agression.» Contacté par nos soins, le recteur de l’université de Béjaïa, Djoudi Merabet, nie en bloc les faits qui lui sont reprochés.










قديم 2011-04-06, 14:32   رقم المشاركة : 363
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06/04/2011 Actualités : UNIVERSITÉ
Marche des étudiants de Boumerdès


En dépit de l’impressionnant dispositif répressif installé devant l’entrée de la Faculté des sciences de l’ingénieur de l’Université M’hamed-Bougara de Boumerdès, des centaines d’étudiants ont réussi à marcher, une première fois, sur plusieurs centaines de mètres avant d’être arrêtés. Cependant, dans l’après-midi, ils ont parcouru l’itinéraire convenu.
A plusieurs reprises, marcheurs et policiers se sont affrontés, sans gros dégâts, fort heureusement. Les étudiants, filles et garçons, se *******aient de foncer sur la haie de policiers en scandant leurs slogans favoris, dénonçant leur ministre en particulier et le pouvoir politique de manière générale. Ainsi, ils ont réussi à maintes fois à se frayer un passage. Pour se donner du courage, ils scandaient : «Djibouna les paras, les CRS ayanine, Harraoubia mahboul !» (Ramenez vos paras, les CRS sont mous, Harraoubia est fou). Deux étudiants se sont évanouis et des blessés, légers, ont été déplorés vers midi. Un étudiant nous a montré plusieurs ecchymoses au pied droit dus aux coups de pied et de gourdin qu’il a reçus. Le cortège des marcheurs a démarré à l’heure convenue, à 9h30, de la cour de la Faculté des sciences de l’ingénieur FSI, pour passer par la Faculté des sciences pour ensuite rallier celle des sciences des hydrocarbures et de la chimie (ex-INH), où un sit-in permanent (jour et nuit) est prévu. Devant le portail de la FSI, les étudiants ont engagé un bras de fer avec les URS. Le secrétaire général de l’Université de Boumerdès, Boufellah, fait son apparition au milieu des manifestants. Ce responsable a vainement tenté de convaincre son auditoire de révoltés que toute marche nécessite une autorisation réglementaire. De leur côté, les protestataires accusent les services de sécurité d’avoir violé les franchises universitaires. Ils s’en sont, par ailleurs, pris à leur rectrice, l’accusant d’avoir demandé la présence des forces de l’ordre alors que leur marche est pacifique. Retournement de situation. Les manifestants contournent le dispositif sécuritaire pour se retrouver hors de l’université. Une seconde fois, les URS accourent pour leur barrer la route. «Nous sommes des étudiants pas des voyous !» «Nous sommes des étudiants pacifiques.» A plusieurs reprises, les manifestants forcent le barrage policier. A leur arrivée à hauteur de la résidence des filles Halima- Bayou, les étudiantes bloquées par les gardiens qui refusaient de leur ouvrir le portail, lançaient des youyous et des bouteilles d’eau pour encourager leurs camarades qui faisaient face aux URS. La situation a failli dégénérer lorsqu’un policier a commencé à prendre les résidentes en photo. Sur place, les marcheurs ont longuement scandé les slogans fustigeant le ministre et le pouvoir. «Y en a marre de la hogra !» «Y en a marre de ce pouvoir.» «A bas la répression, liberté d’expression !» «One, two, three, où va l’Algérie ?» «Djazaïr horra démocratia !» répétaient-ils. Ils ont aussi chanté en chœur Min Djibalina et adapté la célèbre chanson Yal menfi (l’exilé) à l’air du temps et de la protesta. Une étudiante en première année de master a tenu à nous faire une déclaration pour expliquer le pourquoi de leur action pacifique : «Nous nous sommes réunis pour décider, dans notre propre intérêt, de la reprise des cours tout en maintenant les actions pacifiques, et ce, jusqu’à ce que les dirigeants de ce pays se prononcent sur le devenir de l’Université algérienne et l’amélioration de la qualité de l’enseignement. Nous espérons que les autres universités du pays nous rejoindront pour faire aboutir cette revendication légitime.» Il faut rappeler que la contestation du fameux décret présidentiel qui a semé la discorde au sein de la communauté estudiantine a été lancée à partir de l’Université M’hamed-Bougara et que durant les sit-in à Alger, qui ont duré plusieurs jours et nuits, les étudiants de Boumerdès ont été les plus actifs et aussi les plus réprimés. Il y a lieu de noter que des manifestants, notamment des délégués, nous ont fait part des menaces proférées contre eux par les services de sécurité. Dans l’après-midi, la persévérance et l’énergie juvénile des étudiants a eu raison de la force répressive. Ainsi, les manifestants ont fini par parcourir l’itinéraire prévu avant de regagner le rectorat, en passant par une partie de la ville de l’ex-Rocher-Noir. Au niveau du rectorat, les marcheurs ont trouvé le portail clos. Aux cris de «Chérifi dégage !» «Harraoubia dégage !», ils ont forcé le portail pour occuper l’esplanade faisant face à la direction de l’université.
Abachi L.










قديم 2011-04-06, 14:33   رقم المشاركة : 364
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Actualités : BÉJAÏA
Des étudiants mettent le feu au siège du rectorat


La tension est montée crescendo, en début de matinée d’hier, à l’Université de Béjaïa. Le bâtiment abritant le siège du rectorat, situé au campus de Targua-Ouzemmour, a été le théâtre d’actes d’une extrême violence où des étudiants chauffés à blanc ont saccagé et incendié plusieurs bureaux de l’édifice administratif.
«Je suis très choqué par le comportement de certains étudiants, en temps de guerre, on ne brûle pas une université. C’est inadmissible ce qui s’est passé chez nous», nous dira à chaud Merabet Djoudi, le recteur de l’Université de la capitale des Hammadites. A l’origine de cette insurrection, selon des informations recueillies au centre universitaire, le recteur de l’Université Abderrahmane-Mira aurait «malmené» un étudiant affilié à la coordination locale. Le geste du responsable de l’université a immédiatement fait réagir un groupe d’étudiants qui s’est déplacé au rectorat de Targua- Ouzemmour pour venger leur camarade et ensuite saccagé tout ce qui se trouvait sur leur passage. «Le recteur de l’Université de Béjaïa, accompagné par le doyen de la faculté de droit et des agents de sécurité, a agressé physiquement un étudiant de la faculté de droit qui s’apprêtait à assister à une assemblée générale organisée par le comité de la même faculté, lui causant une légère blessure au visage, avant de le menacer verbalement», dira un membre de la coordination rencontré dans l’enceinte universitaire. Il est à noter que les étudiants de l’Université de Béjaïa n’ont pas rejoint leurs amphis depuis leur retour des vacances, suite au mot d’ordre de grève, lancé par la Coordination nationale autonome des étudiants et la non-satisfaction de leurs revendications.
Kamel Gaci










قديم 2011-04-06, 14:36   رقم المشاركة : 365
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LES UNIVERSITES TOUJOURS EN 06/04/2011 EBULLITION

Marche des étudiants à Boumerdès





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Feriel Driss




Les étudiants de l’université Mohamed Bougara de Boumerdès ont organisé une marche pacifique de protestation ce mardi 5 avril de la faculté de géométrie à celle des sciences, a‑t‑on constaté sur place. Les étudiants ont réclamé la satisfaction de leurs revendications et dénoncé l’attitude du ministère de l’Enseignement supérieur qui se *******e de promesses. Pour de nombreux étudiants, les discussions en cours entre leurs représentants et le ministère sont vouées à l’échec. « Le ministère n’écoute pas les étudiants et impose ses points de vue. On veut du concret », a expliqué un étudiant.
Dans une instruction datée du 23 février dernier, le ministère de l’Enseignement supérieur a demandé aux recteurs d’universités d’ouvrir le dialogue avec les représentants des étudiants pour préparer les textes d’application définissant les équivalences entre le système classique et le nouveau système LMD. A Boumerdès, une rencontre a été organisée entre le rectorat et les étudiants suite à une instruction. Il a été décidé de reporter les examens et de mettre en place un système de rattrapage des cours. Les étudiants ont demandé que les diplômés issus des deux systèmes bénéficient d’un traitement équitable après leur sortie de l’université, notamment en matière d'accès à l'emploi.










قديم 2011-04-06, 14:37   رقم المشاركة : 366
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Bejaïa

Les étudiants brûlent le mobilier du rectorat





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Samir Haddadi





Tout le mobilier du rectorat de l’université Abderrahmane Mira de Bejaïa a été incendié dans l’après‑midi de ce mardi 5 avril par des étudiants après leur marche qui les a menés du campus Aboudaou vers celui de Targa‑Ouzemour. Tenant un rassemblement devant le rectorat, les étudiants ont saccagé le rez‑de‑chaussée et le premier étage du bâtiment. Tout le mobilier se trouvant à l’intérieur a été sorti avant d'être incendié. Les étudiants ont organisé une marche pour protester contre l’agression dont a été victime selon eux un de leur camarade de la part du recteur. Il s’agit d’un étudiant en première année de droit.

Par ailleurs, le front social à Bejaïa reste en ébullition cette semaine. En effet, plusieurs institutions publiques de la région sont paralysées par une grève de leurs travailleurs. La direction du commerce et des prix (DCP) celle de la chambre de l’agriculture (DCA), la CNAS sont notamment affectées. Les revendications sont presque les mêmes pour les différents grévistes. Les trois cents cadres techniques du secteur de l’agriculture de Bejaïa ont organisé une marche du siège de la DCA vers celui de la wilaya pour remettre leurs revendications au wali. Ces derniers exigent l’application du régime indemnitaire et un statut pour leur corporation. « Il est fortement regrettable de constater que le corps technique de l’agriculture soit aujourd’hui otage des négociations infructueuses des membres de la commission chargée de la refonte du régime indemnitaire, qui semble butés à trouver un consensus sur le taux à fixer, concernant les primes et autres indemnités », souligne la lettre adressée en ce sens au premier ministre.










قديم 2011-04-06, 14:38   رقم المشاركة : 367
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Universités de Béjaïa et de Boumerdès : Heurts, saccage et dégâts

le quotidien d'oran 06/04/2011

par Amine L. & K.R.
Des milliers d'étudiants de l'université Abderrahmane Mira de Béjaïa ont vivement protesté, hier, contre «l'agression d'un étudiant par le recteur et par un agent de sécurité», selon leurs propos. Les manifestants ont ob-servé une longue marche du centre universitaire Aboudaou situé à l'est de la ville vers le rectorat de Targa Ouzemour. Sur les lieux, les protestataires ont tenu un sit-in pour dénoncer cette « agression ». Ils ont saccagé le portail d'entrée avant de détruire le matériel bureautique et informatique qu'ils ont incendié près de l'enceinte administrative. O.Y. Mohamed Lamine, étudiant de première année de droit qui avait pris la parole durant ce rassemblement, a donné sa version des faits. «A l'appel du comité des étudiants de notre département de droit, nous avons tenu notre assemblée générale pour arrêter la démarche à entreprendre vis-à-vis du mouvement de protestation déjà enclenché par les étudiants. Avant l'entame des discussions, les étudiants ont fermé les portes des salles où se déroulait ce conclave. Les agents de sécurité sont violemment intervenus pour ouvrir les accès. En tentant de les dissuader, nous avons été pris à partie par ces derniers», raconte cet étudiant. «Nous leur avons rappelé que nous sommes dans notre droit le plus légitime d'observer des grèves», poursuit-il. «Le recteur, ajoute-t-il encore, m'a pris à partie et m'a tenu mes bras. Un agent de sécurité m'a donné un coup de son coude au visage». Cet étudiant relate avoir porté plainte contre ses présumés agresseurs et dit avoir un certificat médical après avoir subi une consultation à l'hôpital. De son côté, le recteur de l'université Abderrahmane Mira réfute complètement avoir agressé l'étudiant plaignant. A Boumerdès, et face à un dispositif sécuritaire très impressionnant, quelques centaines d'étudiants de l'université M'hamed Zougara de Boumerdès ont tenté de sortir dans la rue, hier matin. Vers 10h, des centaines d'étudiants se sont rassemblés devant le siège de la faculté des sciences de l'ingénieur, sise à la cité des 800 logements, alors que d'autres ont été bloqués dans l'enceinte même de la faculté. Toutefois, après quelques heurts sans gravité, ces étudiants ont réussi à sortir par une autre porte et rejoindre leurs camarades dans la rue. Quelques instants après, les protestataires ont été cernés par des policiers non loin de la cité Baya Hocine des filles. A cet endroit précis, ils se sont regroupés avant de se mettre à terre pour éviter le contact avec les agents de l'ordre qui semblaient ne pas céder à la pression des manifestants. Les étudiants n'ont pas cessé de scander des slogans hostiles aux responsables du ministère, allant jusqu'à exiger le départ du ministre de l'Enseignement supérieur. En début d'après-midi, les étudiants ont forcé le barrage des forces anti-émeutes pour organiser une marche qui les a conduits jusqu'au siège du rectorat de l'université de Boumerdès. Là, un sit-in a été improvisé. «Les Conférences sur les problèmes pédagogiques de l'université algérienne n'ont pas été suivies d'effet sur le terrain, c'est pour cette raison que nous demandons des garanties pour l'application des recommandations de la conférence du 27 mars dernier».

D'autre part, selon nos échos, l'option de la marche et du boycott des cours n'est pas partagée, dira un étudiant, par l'ensemble des étudiants car beaucoup d'entre eux, «les silencieux» comme certains se plaisent à les appeler, sont restés à l'écart de ce mouvement de protestation. Cependant, un délégué des étudiants nous a confirmé la poursuite du mouvement de grève au sein de l'université de Boumerdès à l'instar d'autres universités du pays.









قديم 2011-04-06, 14:40   رقم المشاركة : 368
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LibétrtéMercredi 06 Avril 2011)


Grève, sit-in et malaise des étudiants
Les jeunes, otages d’une mauvaise gestion du social
Par : K. REMOUCHE
Lu : (1010 fois)

De la perception d’incompétence et de corruption
Outre la série d’émeutes et de marches, les grèves, sit-in et autres mouvements de protestation se sont multipliés au cours de ces dernières semaines. Médecins, personnel paramédical, étudiants, fonctionnaires, salariés dans différents secteurs, postulants au logement aidé manifestent quotidiennement leur colère, ce qui dénote un malaise profond vécu par de larges franges de la population, dans un contexte de printemps des libertés en Afrique du Nord qui n’a, jusqu’à présent, pas fortement inspiré nos gouvernants. En effet, au moment où le vent de révolte souffle sur la région, les pouvoirs publics, face à cette inflation de revendications, répondent, soit par le silence, soit par la provocation. En tout cas pas par des solutions adéquates qui apaisent le front social. Sur nombre de questions, comme l’accès à l’emploi, au logement, les autorités adoptent des plans qui ne règlent pas de façon structurelle les tensions, en dépit d’une aisance financière sans précédent dans l’histoire économique de l’Algérie post-indépendante.
En particulier, à la suite d’un éminent économiste, les pouvoirs publics n’adoptent pas souvent le principe des 3 D, diagnostic, dialogue et décision pour solutionner ces problèmes. La seconde étape est carrément négligée, d’où des mesures actuellement fortement controversées.
Il est clair que l’État a besoin sérieusement d’améliorer sa gouvernance particulièrement du social qui consiste entre autres à anticiper les conflits.
À cet égard, des membres de la diaspora ont cité plusieurs facteurs qui n’incitent pas à leur retour au pays, voire à l’implantation de leurs entreprises en Algérie : la qualité de l’enseignement, l’efficacité du système de santé, la bureaucratie, les services bancaires, la chaîne logistique et même la prise en charge des questions environnementales. En somme, on enregistre des prestations médiocres teintées parfois d’odeur de corruption ou de népotisme que les citoyens dénoncent au quotidien sans réaction des autorités qui se complaisent souvent dans un mur de silence. À tel point que ces derniers n’hésitent pas à employer le mot incompétence, ou à pointer du doigt des auxiliaires de la République considérés comme corrompus ou plus portés sur la satisfaction de leurs intérêts personnels ou sur la répartition de la rente.
Paradoxalement, face à l’élargissement des mouvements de protestation, les pouvoirs publics hésitent à mettre en œuvre les réformes indispensables pour le maintien durable de la paix sociale : un dialogue permanent, y compris avec les syndicats indépendants représentatifs de la corporation ou du corps de métier ; un système salarial et de motivation des ressources humaines arrimé à la productivité et la performance ; des investissements dans la qualité de l’enseignement et non uniquement comme par le passé dans la quantité : infrastructures et nombre d’enseignants ; un appareil de formation adapté aux besoins du marché du travail ; la modernisation de l’administration et son corollaire l’efficacité de ses services ; la réorientation de la politique économique vers l’appui tous azimuts à l’entreprise de production, particulièrement privée, la principale source de création d’emplois et de richesses.
De grands chantiers sont donc à mener sans lesquels il faut s’attendre à une instabilité sociale fort coûteuse pour l’économie nationale et à un profond malaise des Algériens devant les injustices et les inégalités, entretenu par une attitude passive des gouvernants face à la montée des problèmes. Une situation en somme confuse qui annonce de nouveaux cycles de violence.

K. R.









قديم 2011-04-06, 16:00   رقم المشاركة : 369
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ايمان2009
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أنا و الله لن أسكت و لقد بعثت هذا الشئ لكل من أعرفهم و حتى أستاذنا نائب رئيس الجامعة .....أنا لن أسكت أنا إنسان فقير الحال و عانيت الكثير في الماجستير و بعده و لست مستعدا أبدا لأن أسمح في حقي
كيما انت تعبتي حتى احنا تعبنا باه دينا هدا الماستر وكل واحد حقو في روحه ماش زعمة صحاب الماجستير ام الفوق واحنا التحت والله كيفكيف وبالاك العكس
انا مافهمتش واش هدا الغيظ اللي حاكمكم من اصحاب الماستر
واللي ماقراش نظام الالمدي مايعرفش واش فيه على هاد الكل يستهين بيه يحبو فيه كي الكلاسيكي اللي رافدة وتمونجي










قديم 2011-04-08, 15:08   رقم المشاركة : 370
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Yacine Kh
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es étudiants désavouent Harraoubia
le 08.04.11 | 01h00
Rachid Harraoubia, ministre de l’Enseignement supérieur, l’a dit haut et fort hier à Constantine : «L’année blanche n’est pas à craindre.»


Et d’appuyer : «Toutes les universités fonctionnent normalement.» Ces propos ne reflètent cependant pas la réalité des choses. Farid, étudiant à Bouzaréah et membre de la Coordination nationale autonome des étudiants (CNAE), nous déclare à son tour que «s’il y a des gens qui doivent craindre l’année blanche, c’est bien le ministère». A propos du «bon fonctionnement» de toutes les universités, Farid indique que «ces allégations sont complètement fausses, la plupart des facultés n’ont pas repris et les examens sont gelés». Et d’ajouter : «La CNAE avait appelé au boycott de la conférence nationale et même les étudiants qui y ont participé en sont sortis en colère, certains ne sont même pas restés jusqu’à la fin».
Pour Farid, le mouvement doit passer à l’étape suivante : «La majorité des étudiants sont déterminés, le problème dépasse le LMD, il est plus profond, nous préparons déjà plusieurs actions, la prochaine étant la marche des étudiants le mardi 12 avril, dont le point de départ est prévu à 11h à la Grande Poste.» Les grandes écoles aussi montent au créneau. Houssem-Eddine Benzehra, délégué de l’Ecole des hautes études commerciales de Ben Aknoun, dément le bon déroulement de la conférence nationale : «J’étais présent à la conférence, nous avons refusé de signer le PV et nous sommes sortis profondément déçus.» Il nous confie également que même les écoles pensent à entreprendre des actions : «La coordination des étudiants hors université s’est mise d’accord sur un nombre de points, nous les soumettons à la base de chaque école et des actions seront bientôt entreprises.»

Zaki Hamouli








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main, on changera le monde à Oued Semar
le 08.04.11 | 01h00







Samedi 9 avril se tient pour la première fois à Alger l’événement international TED à l’Ecole supérieure d’informatique (ex-INI) de Oued Semar (Alger-Est), organisé par le club d’étudiants Etic. Ce concept américain de conférence verra la participation de grands noms de la cybercriminalité en passant par la musique ou l’économie. Objectif : donner envie à un large public de changer le monde.


Innovation, partage, découverte : autant d’adjectifs pour expliquer ce qu’est un TED (Technologie Entertainment Design). A J-1 de cet événement d’envergure, nous connaissons la liste définitive des douze intervenants. Le programme de la journée de demain évoluera autour de quatre thèmes. «Entreprendre en Algérie» accueillera Hind Benmiloud, première avocate en Algérie, spécialisée dans la cybercriminalité.
Suivront dans la même thématique Abdelkader Aïssaoui, PDG de la filiale poids lourds de Renault Algérie ainsi que Mustapha Ferfaha, le nouveau DG de la Bourse d’Alger. Pour le thème «Entreprendre et technologie», on verra se succéder à la tribune Abdelhakim Bensaoula, professeur à l’université de Tlemcen, ayant plusieurs brevets à son nom, dont certains concernant la NASA, Fadhila Brahimi et enfin Nesma Houhou, fondatrice de Kyutai Conseil. Le troisième thème abordé sera celui des «Success Story». Les trois retenus pour cet exercice sont Hassan Khelifati, fondateur et DG de la compagnie d’assurances Alliance, Merzac Bagtache, journaliste et écrivain, et Akim El Sikameya, violoniste et auteur compositeur de musique andalouse. Le thème de clôture portera sur «Entreprendre pour changer le monde», vocation que toute conférence TED se doit d’avoir. Pour ce faire, le trio de fin sera composé de Rabah Ghezali, diplômé de Cambridge et d’Oxford, membre fondateur du Transatlantic Network, Hadj Khelil, fondateur de la société Bionoor et enseignant à Montpellier, et enfin Abdelkader Abid, docteur en cardiologie.
Les conférences TED sont des événements devenus incontournables, qui se déroulent annuellement en Californie et ayant comme intervenants des personnalités telles que l’ancien président américain Bill Clinton. Devant un tel succès, la fondation TED a décidé de créer la licence TEDx, afin que des événements TED puissent être créés partout dans le monde, sous l’aval de la maison maire, et ce sont les membre du club étudiant Etic de l’Ecole supérieure d’informatique qui en sont les premiers bénéficiaires en Algérie. La conférence sera filmée et les vidéos seront mises sur le site officiel de la fondation TED www.ted.com où il est possible de trouver toutes les vidéos des autres événements à travers le monde.



Pour plus d’information : www.tedxalger.com



Zaki Hamouli







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Tizi Ouzou

Rassemblements à l’université

le 07.04.11 | 01h00
Plusieurs rassemblements ont été organisés hier à l’université de Tizi Ouzou pour maintenir la mobilisation dans la perspective de la marche prévue mardi prochain à Alger.


Hormis la faculté de médecine et quelques départements où se déroulent les examens, les activités pédagogiques sont gelées dans la majorité des autres facultés de l’université Mouloud Mammeri. Les étudiants sont plutôt préoccupés par la préparation de la marche pacifique à laquelle appelle la Coordination nationale autonome des étudiants (CNAE) pour mardi 12 avril à 11h à Alger.
Les rassemblements de sensibilisation à la manifestation «pour la satisfaction de la plateforme de revendications des étudiants» se sont multipliés ces derniers jours au niveau des différents campus et cités universitaires.

Selon un membre de la Coordination locale des étudiants (CLE) de l’université de Tizi Ouzou, «la marche du 12 avril, qui démarrera de la Grande-Poste vers le Palais du gouvernement, sera le vrai test de la CNAE.
Cette action de rue permettra l’évaluation de la mobilisation estudiantine et de rejeter les solutions conjoncturelles auxquelles recourt la tutelle».
Les étudiants de l’université Mouloud Mammeri ont dénoncé aussi, durant les rassemblements, l’agression physique dont a été victime mardi dernier leur camarade de l’université de
Béjaïa.


Djemaâ Timzouert







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Actualités : MARCHE DES ÉTUDIANTS À ORAN
Brutalité policière et colère des protestataires


Des scènes d’interpellations (plus de 6) et de brutalité policière contre les protestataires ont émaillé la marche pourtant pacifique des étudiants de l’Ecole d’architecture de l’USTO, à la périphérie d’Oran, hier matin.
Alors que les étudiants en architecture du système classique sont en grève depuis près de deux mois, les dernières mesures du ministère de l’Enseignement supérieur les concernant ont été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase à Oran. Et pour cause, c’est en apprenant que selon un futur décret à promulguer, les étudiants en architecture du système classique dans les universités ne pourront pas obtenir de diplôme d’ingénieur d’Etat — celui-ci étant uniquement attribué aux étudiants des grandes écoles —, les étudiants de l’USTO ont décidé de sortir dans la rue. C’est spontanément qu’une centaine d’étudiants de l’Ecole d’architecture ont organisé une marche, en empruntant le grand boulevard qui mène vers le rond-point de l’USTO, où se trouvent les sièges des sociétés et des administrations. Aux slogans de «Harraoubia incompétent, Non au statut de la honte, étudiants en architecture lésés, marche pacifique… », les jeunes étudiants protestataires étaient déterminés à aller au bout de leur action avec ce souci de crier haut et fort leur sentiment d’angoisse et de frustration. Une première fois, les agents de police pris au dépourvu ont bien tenté de les dissuader de marcher, allant même jusqu’à leur demander «jusqu’où vous voulez aller !» Mais alors que les étudiants avaient atteint le rond-point, leur progression fut stoppée par des véhicules de police. Sur ce, les jeunes s’installent à même le sol, brandissant leurs cartes d’étudiant et donnant de la voix. L’arrivée des URS sonnera la charge. Très rapidement, des policiers, d’une manière extrêmement brutale, s’attelèrent à disperser les jeunes sans distinction entre filles et garçons. Coups de pied, coups de poing et même des insultes pleuvent sur les étudiants. Nombre d’entre eux ont été traînés sur plusieurs mètres sans aucun ménagement et jetés tout aussi brutalement dans les fourgons de police. D’autres ont reçu des coups qui les ont fait basculer sur le sol, alors que d’autres encore se protégeaient la tête. Des journalistes et des photographes présents sur les lieux ont pris des clichés et filmé les scènes, ce qui n’a pas été du goût de certains policiers en civil qui tentèrent de les empêcher de faire leur travail. Un journaliste d’ El Watan se verra confisquer son ordre de mission qui lui sera par la suite restitué. Durant la répression des étudiants un fait choquant n’est pas passé inaperçu : un agent de police fera passer les automobilistes et des bus en plein milieu des étudiants qui étaient encore en partie sur la chaussée leur faisant courir le risque de se faire faucher. D’ailleurs, une étudiante et un étudiant ont été légèrement bousculés par une voiture, provoquant crise de nerfs chez des étudiantes, ahuries face à une telle brutalité. D’autres ont été particulièrement choqués par les jurons et les insultes proférés à leur encontre. Après plus d’une heure, il y a eu une autre tentative de marcher mais cette fois pour demander la libération de leurs camardes arrêtés. Les jeunes étudiants n’ont pas réussi à aller très loin et c’est encadrés et encerclés par les policiers qu’ils ont rejoint leur université. Nous apprendrons, par la suite, que l’ensemble des interpellés ont été libérés au moment où des membres de la LADDH étaient venus s’enquérir de la situation auprès des protestataires.
Fayçal M.







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Jeudi 07 Avril 2011)

Les grandes écoles maintiennent le cap
Vers des actions de protestation communes
Par : MALIKA BEN
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Les étudiants des facultés de pharmacie d’Alger, de Blida et de Tizi Ouzou ont, de leur côté, tenu hier un sit-in devant le ministère de l’Enseignement supérieur.
La protestation estudiantine n’est pas finie. Les étudiants persistent et signent : pas de cours, pas de répit tant que nos revendications ne sont pas satisfaites. Le spectre de l’année blanche, brandi par ceux qui veulent pousser au retour dans les amphithéâtres, n’inquiète pas outre mesure les étudiants. D’autant, justifie un des délégués que “seuls les étudiants en fin de cursus sont sensibles à ce discours. Et leur problème a été réglé du moment que tous ceux qui doivent être présents aux ateliers ou reprendre les cours dans le cadre de leurs projets de fin d’études le font. Nous les représentons sur le terrain de la révolte sans problème”. Il faut savoir que si la question de la reprise des cours ou du maintien de la grève n’est toujours pas tranchée au niveau de certaines grandes écoles, le principe de la relance d’actions de protestation communes est acquis. Hier, les étudiants de l’école de commerce d’Alger où 67% se sont prononcés pour la poursuite du débrayage, se sont rassemblés à l’entrée de l’établissement en scandant les slogans que le département de Harraoubia croyait avoir enterrés par la Conférence nationale. À en croire les délégués de certaines écoles, les actions de contestation feront leur retour dès la semaine prochaine. Réunis avant-hier, les délégués de la majorité des grandes écoles ont, en effet, décidé de revenir à la case départ de leur combat. C'est-à-dire réinvestir le terrain par de nouvelles formes de protestation. Une panoplie de propositions est soumise à débat au niveau de ses établissements. “Cela va de la grève de la faim, sit-in non-stop devant la Présidence, rassemblement devant la tutelle… Nous ne sommes pas encore fixés mais ce sera fait d’ici la semaine prochaine”, confie un des délégués.
Les étudiants des universités ne comptent pas, également, se *******er de la poursuite de la grève. Eux aussi examinent en assemblées générales les meilleurs moyens de faire pression sur la tutelle. Assiéger de nouveau le département de Rachid Harraoubia est l’une des options envisagées par les grévistes de l’université d’Alger 3. Les étudiants en sciences économiques et gestion du système classique ne décolèrent pas : “Nous voulons un écrit : un nouveau décret en remplacement de celui qui a été abrogé”, souligne un représentant. Les étudiants en pharmacie des départements d’Alger, Blida et Tizi Ouzou sont passés à l’action en tenant hier un sit-in devant la tutelle. Ils réclament la satisfaction de la plate-forme de revendications communes dont la principale est l’octroi du statut de “docteur en pharmacie” et le classement dans la catégorie 16.
MALIKA BEN







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Bejaia après l’incendie du rectorat : Le recteur nie, les étudiants disent détenir des preuves vidéo

Mercredi, 06 Avril 2011, 19:31 | Ali Saïdi


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A Aboudaou, ce mercredi matin, une atmosphère de gueule de bois, de celles glauques qui succèdent à une nuit des quatre cent coups. L’incendie survenu lundi 4 avril des bureaux du rectorat de l’Université de Béjaia est sur toutes les lèvres. Un souvenir aussi frais que traumatique. Le recteur se défend d’avoir agressé un étudiant et affirme vouloir porter plainte. Les étudiants accusent le recteur et affirment détenir des enregistrements vidéo.
Ici les animateurs de la CNAE, la coordination nationale autonome des étudiants, veulent rapidement oublier et réorienter les étudiants vers des formes de contestation plus raisonnables.
Les prises de parole portent essentiellement sur la marche nationale prévue le 12 avril à Alger. A Targa Ouzemmour, l’autre campus, des étudiants de certaines facultés, transis par l’hypothèse d’une année blanche, ont brisé le mot d’ordre de grève et rejoint les amphis.
Une rare bonne nouvelle pour le recteur Djoudi Merabet qui, la veille, était au centre d’une hallucinante « barbouzade » pour casser la grève de la CNAE.
Car deux faits paroxystiques ont marqué l’université mardi 5 avril. Un fait irréfragable d’abord, l’incendie du rectorat. Deux jours après l’incendie, chacun livre sa version des faits. Forcément contradictoire.
« Même en état de guerre, il n’est pas permis d’attaquer l’université», peste Djoudi Merabet, le recteur qui estime qu’il s’agit là d’un acte funeste qui jure avec « la vraie image de l’université de Bejaia ».
Djoudi Merabet jure qu’il ne passera pas l’éponge d’autant qu’il n’exclut pas que les animateurs de la CNAE soient derrière l’explosion de gaz qui, une heure avant l’incendie du rectorat, à soufflé une partie des équipements du centre de calcul.
« Nous avons décidé, dit-il, de saisir la Justice et d’exclure non seulement de l’université de Bejaia mais de toutes les universités algériennes les personnes impliquées dans les actes de saccage et d’incendie de bureaux du rectorat ».
Sur la « première violence », le recteur, tout en reconnaissant avoir été présent dans le périmètre des échauffourées, nie avoir agressé Ouedfel Younes Mohamed Lamine, étudiant de 1re année de droit.
« Je suis recteur et le recteur n’agresse pas les étudiants. C’est une énième rumeur qui est créée pour aggraver la situation», estime-t-il.
Il explique qu’une « minorité violente » a dressé des tables pour tenir un meeting et que les agents de sécurité du campus d’Aboudaou intervenus pour dégager le chemin aux étudiants désireux de rejoindre les amphis, ont été agressés et qu’une mêlée générale s’en était suivie.
Une version des faits que réfutent et l’intéressé et les animateurs de la coordination estudiantine d’Aboudaou. Pour Mohamed Lamine, les agresseurs sont le recteur et un agent de sécurité.
«Il était 9h30 lundi, raconte-t-il à notre confrère El Watan (édition du mardi 5 avril), Le comité des étudiants du département de droit a organisé une assemblée générale pour discuter des problèmes auxquels nous faisons face. Les étudiants ont bloqué tout accès au bloc 4 qui abritait cette réunion (…).
Les agents de sécurité sont venus pour forcer l’ouverture des portes. Nous avons tenté de les en empêcher en leur disant que c’est notre droit de faire grève. (…) Le recteur, qui est entré dans la salle, m’a lancé des propos désobligeants et m’a tenu par les mains pour m’immobiliser. C’est là qu’un agent de sécurité a surgi pour m’asséner un coup à la mâchoire avec le coude. Le sang a giclé. Je me suis rendu ensuite dans un centre de soins où on m’a délivré un certificat médical. J’ai porté plainte contre le recteur et l’agent de sécurité pour agression.»
Les animateurs de la coordination accusent également le premier responsable de l’université.
« L’agression perpétrée par le recteur sur un étudiant de 1er année de droit a mis le feu au poudre. Rapidement une immense marche s’est ébranlée depuis Aboudaou pour le campus de Targa où dans l’effervescence générale ces graves débordements sont en effet survenus », témoigne Kamel Atrouche, animateur de la Coordination.
Il indique que des étudiants ont même filmé l’ « agression » et que la CNAE va s’appuyer sur ces vidéos pour introduire une plainte en pénal contre le recteur.
L’étudiant agressé est introuvable sur le campus et son portable injoignable. Toutes les tentatives des journalistes de la DNA d'entrer en contact avec lui sont restées vaines.
Ghilas Bourzane explique que les animateurs de la Coordination avaient rapidement amené du matériel de sonorisation pour appeler à la cessation des actes de saccage et d’incendie.
« J’ai accouru moi-même auprès de la sous direction des affaires scientifiques pour demander une rallonge électrique pour faire fonctionner la sono mais son premier responsable avait prétendu qu’il n’en avait pas », raconte-t-il en guise d’illustration de la position de la CNAE.
Deux jours après l’incident, le fossé est creusé davantage entre les étudiants et le rectorat.







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Elle était en train de coller des affiches

Une étudiante agressée par un agent de sécurité à Ben Aknoun





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Sonia Lyes




Une soixantaine d’étudiants représentant plusieurs campus d’Alger ont tenu un sit‑in nocturne jeudi pour dénoncer l’agression dont a été victime une étudiante en début de soirée, a‑t‑on appris vendredi auprès d’un membre de la coordination nationale autonome des étudiants (CNAE). Selon cette source, la victime a été agressée « verbalement puis physiquement », en début de soirée, par un agent de sécurité alors qu’elle collait des affiches appelant à la marche du 12 avril initiée par cette structure estudiantine. Aucun incident n’a été enregistré. Nos tentatives de joindre les responsables de la résidence sont restées vaines. Cet incident intervient au lendemain de l'agression d’un autre étudiant à l’université de Bejaïa. En réaction, les étudiants ont saccagé et brûlé le mobilier du rectorat.







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طلبة المدارس العليا يواصلون الإضراب وطلبة الجامعات يتجندون للمسيرة

2011.04.06 زين العابدين جبارة



أسفرت، أمس، استفتاءات طلبة المدارس العليا عن مواصلة الإضراب المفتوح، في حين سيفصل ممثلو طلبة المدارس العليا في اجتماعهم التنسيقي اليوم في قرار المشاركة في المسيرة الطلابية التي دعا إليها عدد من طلبة الجامعات يوم 12 أفريل المقبل، حيث أشار الطالب علي ممثل طلبة المدرسة الوطنية للهندسة المعمارية وعضو اتحاد المدارس العليا أن قرار الإضراب المفتوح اتخذ بالإجماع في أغلب المدارس العليا على أن توّحد المواقف وآليات تصعيد الحركة الاحتجاجية اليوم في اجتماع الاتحاد الذي سيقرر المشاركة في المسيرة الطلابية الأسبوع المقبل أو مقاطعتها.
  • وكثف طلبة الجامعات عملية التنسيق والتشاور فيما بينهم قصد تعبئة أكبر عدد ممكن من الطلبة للمشاركة في مسيرة 12 أفريل المقبل التي يطمح الداعون إليها أن تكون مسيرة مليونية تسمع صوت الطلبة للقاضي الأول للبلاد وتنهي بشكل كامل أزمة الجامعة التي تدخل شهرها الثالث، كما جدد ممثلو طلبة مختلف المؤسسات الجامعية رفضهم لنتائج الندوة الوطنية للتعليم العالي المنعقدة في 27 مارس المنقضي داعين الوصاية إلى حلول أكثر عملية وليس إجراءات ترقيعية لتهدئة الأوضاع وتسيير المرحلة.
  • وأشار الطالب فداء الدين المتحدث باسم طلبة الصيادلة إلى أنهم لن يشاركوا في مسيرة 12 أفريل المقبل حتى لا يُلصق بحركتهم الاحتجاجية أي صبغة سياسية، في حين اعتصم المئات من طلبة الصيادلة القادمين من كليات الجزائر وتيزي وزو والبليدة أمام مقر وزارة التعليم العالي والبحث العلمي رافعين مطالبهم المتعلقة بالإفراج عن قانونهم الأساسي وإعادة صفة الدكتوراه لشهادة خريجي كليات الصيادلة وفتح فروع الصيدلة الصناعية، كما لوّح طلبة الصيادلة بتصعيد الحركة الاحتجاجية وتنويع الاعتصامات إلى أن تلبى جميع مطالبهم، كما انضم طلبة الطب إلى الحركات الاحتجاجية التي تشهدها كل من منظومتي التعليم العالي والصحة رافعين جملة من المطالب.






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الإضراب المفتوح متواصل.. وانقسامات حول اجتياز الامتحانات أو مقاطعتها

استفتاءات بالجامعات والمدارس العليا حول تنظيم مسيرات طلابية

زين العابدين جبارة



خلص، أمس، الاجتماع التنسيقي بين ممثلي المدارس العليا، إلى العودة إلى الطلبة قصد استفتائهم في تجمعات بساحات المدارس والمعاهد، حول طريقة التصعيد في حركتهم الاحتجاجية، التي تدخل شهرها الثاني في ظل رفض الوصاية تعديل نتائج الندوة الوطنية للتعليم العالي، المنعقدة في الـ27 من الشهر المنقضي، كما شهدت مختلف كليات وأقسام جامعات الوطن، تجمعات مماثلة قصد مشاورة الطلبة حول قرار الاستمرار في الإضراب المفتوح ومقاطعة الامتحانات، أو استئناف الدراسة لتجنب السنة البيضاء، كما شرع العديد من ممثلي الطلبة في التعبئة لمسيرات طلابية.
  • وأشار الطالب أبوبكر، أحد المتحدثين باسم اتحاد المدارس العليا إلى أن ممثلي الطلبة، رفضوا نتائج الندوة الوطنية للتعليم العالي، واعتبروها مراوغة من وزارة التعليم العالي بخلق لجان، قصد ربح الوقت وتهدئة الأوضاع لا غير، على حد تعبير المتحدث، الذي أشار إلى أن الاستفتاءات الجماعية التي سيشارك فيها جميع طلبة المدراس العليا، ستتمحور حول الاستمرار في الإضراب المفتوح أو استئناف الدراسة، وبخصوص السنة الجامعية البيضاء، وكذا مقاطعة الامتحانات أو اجتيازها، بالإضافة إلى اختيار أشكال تصعيد الحركة الاحتجاجية.
  • وباشرت التنسيقية المستقلة لطلبة الجامعات، عملية تعبئة الطلبة لمسيرة الـ12 أفريل، حيث من المقرر أن تنطلق من ساحة البريد المركزي باتجاه قصر الحكومة أو رئاسة الجمهورية، قصد إبلاغ مطالبهم للقاضي الأول في البلاد، حيث اعتبرت التنسيقية أن نتائج الندوة لم تستجب حقيقية للمطالب التي رفعتها الحركة الاحتجاجية لطلبة الجامعات على مدار الشهرين المنقضيين، في حين استأنف العديد من طلبة كليات جامعة الجزائر 1 و2 و3 الدراسة بشكل تدريجي، في ظل الانقسام الكبير بين الطلبة حول استئناف الدراسة، خوفا من شبح السنة البيضاء، والتمسك بالإضراب المفتوح ومقاطعة الامتحانات.
















قديم 2011-04-09, 13:18   رقم المشاركة : 371
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Ils défient Rachid Harraoubia

Les étudiants marcheront mardi à Alger

le 09.04.11 | 01h00
C’est confirmé, les étudiants vont marcher le 12 avril, à partir de 11h, de la Grande-Poste jusqu’au Palais du gouvernement.


La Coordination nationale autonome des étudiants (CNAE) campe ainsi sur ses positions depuis plusieurs semaines, en l’occurrence maintenir le mouvement de grève générale et surtout organiser une marche à Alger. «Nous avons donné, en vain, un préavis assez important au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique pour faire marche arrière dans sa politique de fuite en avant et de la manipulation. Les responsables du secteur ont fait exprès de fausser le débat. La crise de l’université algérienne est plus profonde qu’une question de passerelles entre le LMD et le système classique», a déclaré un étudiant à Bouzaréah, membre de la CNAE.
«Par cette marche, nous voulons prouver à la tutelle que notre détermination à ce que soient satisfaites toutes les revendications énumérées dans notre plateforme nationale, adoptée démocratiquement par la base estudiantine, est sérieuse», a-t-il ajouté. Lors de sa dernière réunion, marquée par la présence de représentants d’une dizaine d’universités et des grandes écoles, la CNAE a évalué la conférence nationale qu’elle a qualifiée d’«échec total, vu son déroulement et les résultats qu’elle a enfantés». A la fin de leur sévère réquisitoire contre le département de Rachid Harraoubia, les étudiants protestataires ont partagé les tâches entre plusieurs commissions pour préparer l’action de contestation de mardi prochain. Pour éviter toute mauvaise surprise, le mot d’ordre est de «ne pas répondre à la manipulation, quelle que soit sa nature». «Il y a beaucoup d’agitateurs qui travaillent au profit de l’administration pour porter atteinte à notre Coordination.
Nous allons leur démontrer que nous sommes plus responsables et plus pacifiques qu’eux. Même par rapport à une éventuelle répression policière de la marche, nous avons décidé de rester calmes et de protéger au maximum nos camarades», a expliqué un membre de la CNAE, avant de réaffirmer : «La marche n’est pas une fin en soi. Au-delà du 12 avril, si la tutelle ne réagit pas positivement en acceptant de dialoguer avec les vrais représentants des étudiants et de se soumettre à leurs doléances légitimes, d’autres actions sont déjà prévues. En plus des grèves cycliques, des sit-in seront organisés dans les campus et les institutions étatiques concernées par notre démarche nationale de contestation.» Par ailleurs, les étudiants ont entamé, dès la fin des travaux de leur réunion de concertation, une campagne de sensibilisation de leurs camarades pour les inciter à participer massivement à la marche, via des affiches diffusées dans les différentes enceintes universitaires et une présence renforcée sur ********.

Une universitaire agressée par un agent de sécurité :


Une étudiante résidant à la cité universitaire des jeunes filles des Asphodèles, à Ben Aknoun, a été victime d’une agression perpétrée, jeudi soir, par un agent de sécurité de ladite cité U. Suite à cet incident, une centaine d’étudiants, filles et garçons, des résidences universitaires avoisinantes se sont rassemblés sur place.
«Sonia, déléguée de l’ITFC, a été malmenée et légèrement blessée par un agent de sécurité lorsqu’elle affichait des appels à la participation à la marche du 12 avril», a témoigné un étudiant. Bien qu’exaspérés, les étudiants ont gardé leur calme. Ils ont demandé le transfert de leur camarade vers l’hôpital, ce qui fut fait après hésitation de la part des responsables de cette cité U.


Samir Ghezlaoui










قديم 2011-04-11, 13:22   رقم المشاركة : 372
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طلبة المدارس العليا يواصلون الاحتجاج

تجمع للمهندسين أمام مقر ولاية وهران


11-04-2011 وهران: ل. بوربيع



تحول التجمع الذي نظمه طلبة الهندسة المعمارية لجامعة العلوم والتكنولوجيا لوهران، صباح أمس، من ساحة عيسى مسعودي، قبالة مقر الإذاعة، إلى سلم مقر ولاية وهران، حيث وجدوا طلبة معهد الصيانة الصناعية، الذين يطالبون هم أيضا بالاعتراف بشهادة تخرجهم ''مهندس دولة''.
أغلق الطلبة الجامعيون، صباح أمس مدخل ولاية وهران، في خروج جديد إلى الشارع، حيث قصدوا هذه المرة وسط المدينة، وفور وصول طلبة معهد الهندسة المعمارية إلى ساحة عيسى مسعودي حيث يوجد مقر التلفزة والإذاعة، حاصرتهم الشرطة وقامت بتوقيف 55 طالبا وطالبة، ثم فرقتهم. وبعد دقائق تم تسريح الموقفين. وكان طلبة هذا المعهد، الذين يتابعون دراستهم في ظل النظام القديم ويطالبون بالاعتراف بشهادة تخرجهم ''مهندس دولة'' قد خرجوا مرتين إلى الشارع في وهران، حيث نظموا الأسبوع الماضي مسيرتين من جامعة محمد بوضياف نحو ساحة ''النقاش'' بالضاحية الشرقية لمدينة وهران، وقرروا هذه المرة النزول إلى وسط المدينة. وفي نفس الوقت كانت الشرطة تفرقهم من ساحة عيسى مسعودي، احتل طلبة آخرون من جامعة السانية سلم مقر ولاية وهران، ورفعوا نفس مطلب زملائهم في الهندسة المعمارية، ليلتحق بهم هؤلاء ويتضخم التجمع.









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في انتظار تجمع أمام رئاسة الجمهورية الأربعاء

طلبة الصيدلة يودعون مطالبهم عند أويحيى


11-04-2011 الجزائر: أمال ياحي



اعتصم طلبة الصيدلة أمس بالعشرات قبالة قصر الحكومة وسط طوق أمني مشدد، وسلم المعنيون عريضة مطالبهم إلى مسؤولي المبنى، معلنين عن قرارهم معاودة الاعتصام يوم الأربعاء أمام مقر رئاسة الجمهورية. وقد تفاجأت قوات مكافحة الشغب بالوقفة الاحتجاجية التي قام بها طلبة قسم الصيدلة للجزائر العاصمة دون ''سابق إنذار'' حيث تقرر تنظيم هذا التجمع صباح أمس خلال جمعية عامة لمندوبي التنسيقية الوطنية لطلبة الصيدلة التي أودعت لائحة مطالب مماثلة على مستوى وزارة التعليم العالي منذ أيام، تضمنت حق الصيادلة في الحصول على لقب ''دكتور'' شأنهم في ذلك شأن باقي طلبة العلوم الطبية، كما يطالب هؤلاء بمراجعة تصنيف الصيادلة في الرتبة 16 عوض الرتبة 13 التي أقرها القانون الأساسي الجديد.
وردد المحتجون طيلة مدة الاعتصام شعارات تؤكد تذمرهم من نوعية البرامج والمناهج المعتمدة والتي يعود تاريخ إعدادها إلى 20سنة خلت حيث دعا الطلبة إلى تحيينها مع تخصيص كلية لطلبة الصيدلة و''هو حق لا يمكن التنازل عنه'' تماما مثلما هو الحال بالنسبة لمطلب فتح تخصص للصناعة الصيدلانية، قصد ضمان تكوين ناجع للصيادلة في هذا المجال وفق مشروع مدروس، ومنح مناصب أكثـر في مرحلة ما بعد التدرج. وقال ممثلو الطلبة بأن هذه المطالب ستكون محل مواعيد احتجاجية أخرى لاحقا، وهي الوسيلة الوحيدة المتبقية لديهم بغرض الضغط على المشاركين في جلسات الصحة المزمع تنظيمها يومي 17 و18 من الشهر الجاري على أساس أن مصير أرضية مطالب طلبة الصيدلة سيتحدد هناك.








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يعتصمون في الفاتح ماي بساحة أول ماي

البطالون ينضمون إلى مسيرة الطلبة غدا


11-04-2011 الجزائر: مصطفى بامون



قررت اللجنة الوطنية للدفاع عن حقوق البطالين، تنظيم تجمع يوم الفاتح ماي القادم بساحة أول ماي بالعاصمة. ودعت جميع التنظيمات النقابية والمدنية إلى الالتحاق بهذا الاحتجاج للتنديد بقرارت الحكومة الأخيرة المتعلقة بالشغل. وأكدت بأنها ستكون إلى جانب طلبة الجامعة في مسيرتهم المقررة يوم غد.
ودعت لجنة البطالين الحكومة لتقديم حصيلة موضوعية عن آليات القروض الممنوحة عن طريق وكالة دعم وتشغيل الشباب ومحاسبة الذين استفادوا سابقا منها. وأضافت أن ''سياسة الاعتماد على المؤسسات الصغيرة والمتوسطة لا تستطيع أن تدوم في الزمن، دون خلق نسيج صناعي مكثف''. وطالبت الحكومة بتخصيص هذه الأموال لبناء مصانع عمومية كبرى لخلق الثروة ومناصب عمل بدلا من هدر المال العام ودمقرطة السرقة والنهب متسائلة.. كيف يمكن توزيع الملايير من الدينارات في مشاريع أغلبها وهمية''. وانتقدت اللجنة ''التجاوزات'' التي تعرّض لها عدد من البطالين في ولايات مختلفة مؤخرا، على غرار ورقلة التي عرفت توقيف شباب لم يكونوا يطالبوا سوى بحقهم في العمل، باستعمال وسائل احتجاج قانونية ومشروعة. كما أكد رفضه القاطع توقيف عضو اللجنة الوطنية توات دليلة في مستغانم.
وحسب بيان صدر عن اللجنة أمس، فإن أعضاء هذه الأخيرة ينددون بالاستغلال الفاحش الذي تتعرض له النساء اللواتي تعملن في إطار تشغيل الشباب واعتبرته مساسا خطيرا بكرامة العمال على اعتبار أن الأجر الشهري لا يتجاوز 3000 دينار. وأعلنت اللجنة بأنها ستكون حاضرة بقوة في مسيرة الغد التي سينظمها طلبة الجامعة، كما أكدت تضامنه مع إضراب الأطباء المقيمين لتحسين ظروف العمل وتطوير الخدمات الصحية.








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يُحضِّرون لاعتصام أمام رئاسة الجمهورية هذا الأربعاء

طلبة الصيدلة يغلقون قصر الحكومة ويطالبون أويحيى بالتدخل

2011.04.10 زين العابدين. ج



اعتصم أمس، مئات طلبة الصيدلة القادمين من مختلف ولايات الوطن أمام قصر الحكومة بشارع الدكتور سعدان وسط الجزائر العاصمة، رافعين شعارات تطالب الوزير الأول بالتدخل لإنقاذهم من شبح السنة البيضاء وتلبية مطالبهم بعد أن عجزت الوزارة الوصاية عن اتخاذ إجراءات فعلية، حيث سبق وأن نظّم المعتصمون إعتصامات مماثلة على مدار الأسبوع المنقضي أمام وزارة التعليم العالي والبحث العلمي، على أن يعتصم طلبة الصيادلة يوم الأربعاء المقبل أمام رئاسة الجمهورية قبل تصعيد حركتهم الاحتجاجية في حال عدم استجابة الوصاية إلى مطالبهم.
وأكد الطالب فداء الدين، أحد المتحدثين باسم التنسيقية الوطنية لطلبة الصيادلة، على أنه تم استقبالهم من قبل رئيس ديوان الوزير الأول بعد ثلاث ساعات من الاعتصام، واعدا إياهم بتكفل الوزير الأول بجميع مطالبهم على حد تعبير المتحدث، الذي أكد أن طلبة الصيادلة لن يشاركوا في مسيرة 12 أفريل المقبل، حتى لا تلصق بحركتهم الاحتجاجية أي صبغة سياسية، موضحا أن مطالبهم متعلقة بالإفراج عن قانونهم الأساسي وإعادة صفة الدكتوراه لشهادة خريجي كليات الصيادلة وفتح فروع الصيدلة الصناعية.








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Sit-in des étudiants en pharmacie

Une plateforme de revendications remise à Ouyahia


le 11.04.11 | 01h00 1 réaction

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Ils étaient quelque 800 étudiants en pharmacie à observer un sit-in, dans la matinée d’hier, devant le Palais du gouvernement, à Alger. Ce rassemblement a été tenu à l’appel de la Coordination nationale des étudiants en pharmacie (CNEP), qui regroupe les universitaires des dix départements de pharmacie du territoire national.



En parallèle, des actions locales ont été organisées dans diverses facultés du pays. Lors du rassemblement algérois, qui a duré plus de deux heures, les représentants de la CNEP ont pu transmettre, via l’intermédiaire d’un conseiller, au chef de cabinet du Premier ministre, une demande d’audience. «Notre dossier a été remis au ministère, comprenant, en sus de la demande d’audience, notre plateforme de revendications ainsi que la déclaration de création de la CNEP», explique Rachid Chouitem, représentant de la CNEP et coordinateur d’Alger. Les forces de l’ordre n’ont pas empêché les protestataires de tenir leur sit-in.
«Les policiers ont toutefois été fermes, et ils ont tout fait pour nous encadrer et nous contenir», relate-t-il. «Cependant, nous avons réussi une marche spontanée lorsque les forces de l’ordre ont tenté de nous disperser. Nous avons marché du Palais du gouvernement au tunnel des Facultés», relate, enthousiaste, M. Chouitem. Car, pour eux, il s’agit avant tout de s’engouffrer par toutes les brèches, afin de faire «pression» sur les autorités. D’autres actions sont à venir. «Nous allons observer un autre sit-in, mercredi 20, à 10h, mais cette fois-ci devant la présidence de la République. Seront présents des étudiants venus des 48 wilayas du pays», prévoit le représentant de la CNEP. Par la suite, des actions communes sont envisagées avec les étudiants en chirurgie dentaire, dont les revendications sont quasi similaires.
Une réunion nationale des sciences médicales doit se dérouler les 17 et 18 avril à Sidi Fredj, durant laquelle des représentants des départements de pharmacie, de médecine et de chirurgie dentaire discuteront de leur situation avec les doyens et les chefs de département. Les étudiants en pharmacie demandent que leur soit attribué, à l’issue de leur cursus, un diplôme de docteur en pharmacie ainsi que leur classification à la 16e catégorie. Ils revendiquent aussi la création de facultés de pharmacie, l’ouverture davantage de postes de résidanat, l’ouverture de la spécialité pharmacie industrielle, ainsi que la levée des restrictions quant à l’exercice des nouveaux diplômés.

Ghania Lassal








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Actualité (Lundi 11 Avril 2011)


Sit-in de l’union des grandes écoles devant la Présidence et rassemblement des étudiants des universités devant la tutelle aujourd’hui
La colère des étudiants monte d’un cran
Par : MALIKA BEN
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Les étudiants en pharmacie ont tenu hier un sit-in devant le Palais du gouvernement et diverses actions de protestation ont été lancées hier par d’autres étudiants. La journée d’aujourd’hui sera également mouvementée puisque chaque université et école ou groupe d’établissements du supérieur y va de sa propre formule de protestation.
La tension au sein des universités monte au fil des jours et aucune des deux parties en conflit, étudiants et tutelle, ne comptent lâcher prise. Le département de Harraoubia persiste à croire que la Conférence nationale du 27 mars a statué sur tous les problèmes et les étudiants sont convaincus du contraire et poursuivent la protestation pour la satisfaction de leurs revendications. Hier, la colère des étudiants est montée d’un cran et diverses actions de contestation ont été lancées sur le terrain. Le même scénario se reproduira aujourd’hui encore puisque les étudiants comptent faire de cette semaine celle de la grande mobilisation sur le terrain. Chaque campus opte pour une forme de protestation pour tenter de faire entendre sa voix. Les étudiants de certaines grandes écoles, qui ont renoué hier avec les rassemblements devant le ministère de l’Enseignement supérieur, comptent revenir en force. En effet, l’union des grandes écoles a appelé les étudiants à un sit-in ce matin devant le siège de la Présidence. Une action qui se veut être une première réponse au mutisme de la tutelle face à la situation qui prévaut au sein de la majorité de ces écoles. “Rien de concret n’a été annoncé par la tutelle qui persiste dans sa politique de sourde oreille et mépris total des étudiants”, nous dit l’un des délégués. Et d’ajouter : “Cette attitude ne peut que nous inciter à lancer des actions d’envergure pour changer les choses.” Pour rappel, jeudi dernier, les étudiants des grandes écoles ont saisi par courrier le MESRS pour demander la concrétisation sur le terrain de la décision de Harraoubia de confier l’examen des passerelles dans les grandes écoles à un comité d’experts nationaux et internationaux. Mais aucune réponse n’a été donnée à cette demande et aucune annonce officielle n’a été faite sur le début des travaux de ce comité qui, selon le ministre, devrait rendre ses conclusions avant la fin de l’année.
Sit-in des étudiants en pharmacie devant le Palais du Gouvernement
Le Palais de gouvernement vient allonger la liste des sites officiels où les étudiants déversent toute leur colère. C’est suite à une AG au niveau de leur département que les étudiants en pharmacie ont décidé de tenir le sit-in devant la Palais du gouvernement. Ils y sont arrivés par petit groupe sous l’œil vigilant d’un important dispositif sécuritaire. Les étudiants, qui réclament le titre de “docteur en pharmacie et la 16e catégorie”, ont été conviés par un intermédiaire à déposer leur plate-forme de revendications au Palais du gouvernement. “Il nous a dit que le document sera transmis au département de tutelle”, rapporte l’un des délégués. Un autre sit-in est prévu mercredi devant la Présidence.
L’université de DÉly-IBrahim assiégée par les étudiants
De leur côté, les étudiants de l’université de Dély-Ibrahim ont, eux aussi, décidé de passer à la vitesse supérieure. Bloquer totalement l’université est l’option choisie par les grévistes des deux systèmes classique et LMD. Les étudiants, à leur tête les délégués des deux systèmes, ont carrément assiégé le campus en fermant le grand portail et en interdisant l’accès aux responsables et à tout le personnel administratif. “Quand les responsables ou les personnels arrivent avant nous, ils restent bloqués dans leurs bureaux et ne peuvent ressortir qu’en fin de journée. Et quand on arrive avant eux, on ne les laisse pas entrer”, déclare l’un des délégués.
Les menaces du doyen de recourir à la force publique n’ont, à aucun moment, fait fléchir les contestataires qui se sont également interdit l’accès à leur faculté pour empêcher les opposants à la contestation de reprendre les cours. C’est à l’entrée de l’université qu’ils ont tenu leur réunion hier pour décider de nouvelles formes de protestation.
Sit-in aujourd’hui devant la tutelle
Après concertation, les étudiants de Dély-Ibrahim et de son annexe du Caroubier, du département des lettres arabes et de Bouzaréah se sont donné rendez-vous, ce matin, pour un sit-in devant le ministère de l’Enseignement supérieur.
MALIKA BEN







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Actualités : Les étudiants d’Oran une nouvelle fois réprimés

Pour les étudiants d’Oran, les jours se suivent et se ressemblent puisque pour leur troisième action de protestation de rue, organisée hier matin, ils ont une nouvelle fois essuyé des coups de la part des forces de police qui les ont chargés sans aucune raison et avec une rare brutalité.
Des scènes de répression qui tendent à devenir quotidiennes dans les rues d’Oran, où des étudiantes sont projetées à terre, frappées, insultées et humiliées. D’autres parmi leurs camarades ont été traînés sur le sol et jetés sans aucun ménagement dans les fourgons de police ; d’ailleurs une trentaine d’entre eux ont été amenés dans des commissariats et relâchés au bout d’un moment. Le face-à-face entre les policiers, imperturbables et sans état d’âme, n’hésitant pas à arracher appareils photos et portables aux protestataires, et la centaine d’étudiants regroupés et serrés les uns contre les autres, chantant l’hymne national, a duré longtemps. Au même moment, mais un peu plus loin, ce sont d’autres étudiants, une centaine aussi, venus de l’Institut de maintenance et sécurité industrielle d’Es-Senia, qui observaient un rassemblement devant le siège de la wilaya. Eux aussi en grève depuis plus de deux mois et mobilisés contre le «décret de la honte» avec des banderoles sur lesquelles on pouvait lire «halte au bricolage, étudiants en colère». Finalement, les deux groupes d’étudiants feront, au bout d’une heure, jonction. En effet, ceux de l’USTO sont parvenus à rejoindre leurs camarades, installés sur les marches du siège de la wilaya. La manifestation durera jusqu’à 13 h passées. Avant de se disperser, les étudiants se donneront rendez-vous pour d’autres actions. A noter qu’au centre-ville d’Oran, une centaine de gardes communaux ont également choisi de se regrouper devant la direction de ce corps pour exiger l’application des points de la plate-forme de revendications arrachées après une forte mobilisation à Alger. Ce sont surtout les gardes communaux radiés qui ont entrepris ce mouvement. Il est à signaler que les forces de police ne sont pas intervenues.
Fayçal M.
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Au moins 25 étudiants ont été arrêtés

La police réprime une nouvelle manifestation d’étudiants à Oran





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Nawel Merouane




Les étudiants du département architecture de l’université des sciences et de la Technologie d’Oran (USTO) se sont rassemblés, ce dimanche 10 avril, devant le siège régional de l'ENTV à Oran en signe de protestation contre le décret présidentiel n°10/315 du 15 décembre 2010 qui dévalorise, selon eux, le diplôme d’ingénieur du système classique par rapport à celui du nouveau système LMD.

Un rassemblement qui a été vite réprimé par les forces de l’ordre qui ont tenté de disperser les manifestants avec violence et brutalité. Des étudiantes ont été jetées par terre et des étudiants ont été malmenés lorsqu’ils ont voulu résister aux policiers. Devant la détermination des manifestants, les forces de l’ordre ont procédé à des arrestations. Au moins 25 manifestants ont ainsi été interpellés.

Mais malgré cette répression, les étudiants n’ont pas baissé les bras. Ils ont décidé de poursuivre leur
action après avoir été rejoints par ceux de l’Institut de la Maintenance et Sécurité Industrielle (IAP). Ces derniers, également en grève depuis deux mois pour le même motif, ont tenu leur sit-in devant l’ENTV et perturbé ainsi la circulation automobile.

Au même moment, un autre rassemblement a été tenu devant la wilaya par les étudiants de l’USTO qui contestent eux aussi le même décret présidentiel sur les diplômes. Un regroupement qui a été aussi réprimé par les forces de l’ordre.













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Quoi de neuf pour l'univesité

الحركة من أجل الحقوق والحريات تؤيد مسيرة الطلبة اليوم


12-04-2011 الجزائر: ش. محمد



أيدت الحركة من أجل الحقوق والحريات قرار التنسيقية الوطنية المستقلة للطلبة، القيام بمسيرة وطنية، اليوم، بالجزائر. وأوردت الحركة، في بيان لها أمس، أن الساحة الوطنية تشهد غليانا اجتماعيا في مختلف القطاعات، مشيرة إلى تأييدها للمطالب البيداغوجية والاجتماعية المرفوعة من قبل الطلبة. كما أشارت أن الطلبة الجزائريين قرروا تأسيس تنسيقية مستقلة تظهر مدى وعيهم بالوضع السياسي، وسعيا لافتكاك الحقوق، كما أشارت إلى ''فشل التنظيمات الممثلة للطلبة بالجامعات، بينما ظهرت حقيقة ''انهيار التحصيل العلمي وعدم وجود فرص في سوق العمل''.
وأشارت الحركة أن مسيرة اليوم ستكون بمثابة استعراض قوة في مواجهة الرفض. وجاء في بيانها ''يجب علينا أن نرحب بهذه الحركة ذات المصداقية والتي تدل على النضج السياسي للطلبة''.. موضحة أن استمرار السلطة في خنق أي احتجاج في العاصمة ''دليل على عدم إخلاصها في قرار رفع حالة الطوارئ''.









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آلاف الطلبة ينظمون مسيرة من البريد المركزي إلى قصر الرئاسة

2011.04.12 زين العابدين . ج/ الشروق أون لاين

نظم الثلاثاء آلاف الطلبة الجامعيين في شوارع العاصمة ، للمطالبة بالإصلاحات و التنديد بسوء التسيير في الجامعات .
  • وتجمع الطلبة منذ الساعة العاشرة صباحا بشارع العربي بن مهيدي بمحاذاة ساحة البريد المركزي بالعاصمة وكسروا طوقا للشرطة التي أغلقت كل المنافذ نحو المكان منذ الساعات الاولى من النهار.
    ونقل صحفيو الشروق أن الطلبة لم يتمكنوا من الوصول الى قصر الحكومة وسدت اعداد كبيرة من قوات الامن المنافذ الموصلة الى مقر الحكومة ، لذلك غيروا وجهتهم نحو ساحة اودان أين نظموا وقفة أمام الجامعة المركزية مرددين شعارات تنديد بوزارة التعليم العالي مثل " خاوة خاوة زكارة في الوزارة " و " نطلب تدخل الرئيس " .
    و خوفا من عودة الطلبة نحو قصر الحكومة مجددا أغلقت قوات الامن نفق ساحة اودان ليجدوا أنفسهم مجبرين على السير غربا عبر نهج محمد الخامس دون أن تعترضهم مصالح مكافحة الشغب ، و كانت وجهتهم قصر الرئاسة بالمرادية .
    و قبل و صولهم إلى قصر المرادية أغلقت مصالح مكافحة الشغب نهج بكين المقابل للرئاسة لمنع اختلاط الطلبة بفئات مهنية أخرى معتصمة بالمكان مثل الأطباء المقيمين .
    و سجلت مشادات بعين المكان بين الطلبة و مصالح مكافحة الشغب بسبب التدافع سجل خلالها جرحى من الجانبين .






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يُحضِّرون لاعتصام أمام رئاسة الجمهورية هذا الأربعاء

طلبة الصيدلة يغلقون قصر الحكومة ويطالبون أويحيى بالتدخل

2011.04.10 زين العابدين. ج



اعتصم أمس، مئات طلبة الصيدلة القادمين من مختلف ولايات الوطن أمام قصر الحكومة بشارع الدكتور سعدان وسط الجزائر العاصمة، رافعين شعارات تطالب الوزير الأول بالتدخل لإنقاذهم من شبح السنة البيضاء وتلبية مطالبهم بعد أن عجزت الوزارة الوصاية عن اتخاذ إجراءات فعلية، حيث سبق وأن نظّم المعتصمون إعتصامات مماثلة على مدار الأسبوع المنقضي أمام وزارة التعليم العالي والبحث العلمي، على أن يعتصم طلبة الصيادلة يوم الأربعاء المقبل أمام رئاسة الجمهورية قبل تصعيد حركتهم الاحتجاجية في حال عدم استجابة الوصاية إلى مطالبهم.
وأكد الطالب فداء الدين، أحد المتحدثين باسم التنسيقية الوطنية لطلبة الصيادلة، على أنه تم استقبالهم من قبل رئيس ديوان الوزير الأول بعد ثلاث ساعات من الاعتصام، واعدا إياهم بتكفل الوزير الأول بجميع مطالبهم على حد تعبير المتحدث، الذي أكد أن طلبة الصيادلة لن يشاركوا في مسيرة 12 أفريل المقبل، حتى لا تلصق بحركتهم الاحتجاجية أي صبغة سياسية، موضحا أن مطالبهم متعلقة بالإفراج عن قانونهم الأساسي وإعادة صفة الدكتوراه لشهادة خريجي كليات الصيادلة وفتح فروع الصيدلة الصناعية.







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Algérie: La marche des étudiants vers la Présidence tourne à l'affrontement, plusieurs blessés


le 12.04.11 | 11h09 Réagissez
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13h: Les affrontements entre policiers et étudiants ont redoublé d'intensité. Le bilan s'est alourdi, on déplore une trentaine de blessés. Au moins cinq policiers ont été également blessés, a constaté un journaliste d'El watan.com.


Les étudiants qui sont actuellement à l'avenue Pékin, continuent d'avancer vers la Présidence de la république en dépit d'un dispositif sécuritaire renforcé. Les forces de l'ordre résistent vainement, ils n'ont pas réussi à faire reculer les étudiants qui tentent d'avancer vers la Présidence en scandant des slogans anti pouvoir et criant à tue tête "le peuple veut la chute du système" et "pouvoir assassin"
Les étudiants ont réussi leur marche vers la Présidence de la république. Il sont actuellement au niveau de l'Avenue Pékin, plus près du Palais d'El Mouradia et tentent de presser encore en enlevant les barrières métaliques de la police. Mais, les policiers, présents en nombre important, resistent et empêchent les étudiants de progresser vers la Présidence de la république.
12 h 15: La marche des étudiants vers la Présidence de la république à tourné à l'affrontement au niveau de l'avenue Pékin, non loin de la Présidence de la république. Les policiers tentent de bloquer la procession des étudiants. Notre journaliste qui se trouve sur place, parle de dizaines de blessés parmi les étudiants.
11 h 30, les étudiants sont bloqués par un impressionnant cordon de sécurité au niveau du Boulevard Souidani Boudjemâa. Ils tentent de progresser dans leur procession vers leur distination en scandant notamment "Oulach Smah Oulach" (pas de pardon, ndlr) et "Haraoubia bara (Haraoubia dehors, ndlr)".
11 h passé, des milliers d’étudiants ont foncé sur des barrières métalliques, érigées par la police au niveau de la Grande poste, et entament leur marche vers la Présidence de la République, à El Mouradia, sur les hauteurs d'Alger.
Dans leur action, ils n'ont rencontré au début aucune résistance, selon un journaliste d'El watan.com qui se trouve sur place.
Près de 2000 étudiants se sont rassemblés au début de la matinée à la Grande Poste, à Alger, et cernés par un impressionnant cordon de sécurité, a constaté sur place un journaliste d’El watan.com.
Ils sont venus des différentes écoles supérieures du pays pour tenter une marche vers la Présidence de la République. Les policiers, qui n’arrivent pas à les contenir, selon notre source, ont fait usage de leur matraque pour faire échouer l’action des étudiants. Des échauffourées ont même éclaté vers 11 h.

Abdou S et Rabah B







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Etudiants en architecture et de l’ISMI

Une marche de nouveau empêchée devant la wilaya


le 12.04.11 | 01h00 Réagissez
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Les étudiants du département architecture et de l’IMSI ont encore une fois essayé de marcher, hier aux alentours de midi, et, encore une fois, la police est intervenue, en grand renfort, les empêchant d’effectuer toute circulation.


Alors qu’au départ, il ne devait s’agir que d’un simple sit-in devant la wilaya, les étudiants ont au final opté pour la marche. Et cette décision a été prise, aux dires des étudiants, à cause de «l’attitude» de l’administration wilayale. «On nous a promis que le wali recevra une délégation de quatre étudiants, deux de chaque branche; mais finalement, cette délégation est restée à poiroter pendant deux heures dans la salle d’attente, avant de ressortir bredouille». Dans un premier temps, la présence policière s’est faite très discrète ; ce n’est que lorsque les étudiants ont décidé de battre le pavé que, d’un coup, le dispositif sécuritaire s’est alourdi. Aussi, à deux reprises, les étudiants ont tenté de briser le cordon policier, mais vainement. Face à cet état de fait, les étudiants, assis sur le perron de la wilaya, se sont mis à clamer en chœur : «on est des étudiants, on n’est pas des voyous» ; et d’autres encore, qui visaient le ministre de l’Enseignement supérieur. Enfin, beaucoup d’étudiants nous ont fait savoir qu’ils prendraient part, aujourd’hui, à la grande marche des étudiants organisée à Alger.


Akram El Kébir







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Actualités : LES ÉTUDIANTS DES UNIVERSITÉS D’ALGER TOUJOURS MOBILISÉS
Ils ont observé hier un sit-in devant le ministère de tutelle




Les étudiants poursuivent sans relâche leur mouvement de protestation initié il y a de cela plus de deux mois et se sont rassemblés hier devant le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique pour ce qui est des universités et instituts d’Alger. Ils comptent aussi se joindre aujourd’hui à la grande marche à laquelle ont appelé les coordinations autonomes des étudiants.
F.-Zohra B. - Alger (Le Soir) - Les étudiants des instituts et universités de la capitale, notamment celles de Dely Brahim, de Bouzaréah et de Caroubier, poursuivent leur mouvement de grève et une centaine d’entre eux se sont rassemblés hier devant le ministère de tutelle. Arrivés sur les lieux à dix heures du matin, ils ont accroché leurs banderoles à la grille de l’entrée principale de l’institution. Criant leur colère, ils ont interpellé le premier responsable du secteur exigeant la satisfaction de leurs revendications. «Nous sommes dans la rue depuis deux mois et d’autres étudiants depuis plus longtemps encore, nous sommes fatigués des fausses promesses, nous voulons du concret. Qu’un décret soit signé concernant les décisions promises par la tutelle et nous reprendrons dès demain le chemin des salles de cours», crie un délégué des étudiants de Dely-Brahim. Les protestataires rappelleront, encore une fois, que les passerelles promises entre l’ancien système et celui du LMD ne sont pas clairement définies. Ils signaleront par ailleurs le fait que s’il y a eu promesse du passage de l’échelon de 11 à l’échelon 12, il n’y a eu ni signature ni cachet sur le document qui reprend cette mesure. «Nous pensions que la conférence nationale et les débats qui ont suivi nous permettraient de voir le bout du tunnel mais cela n’a pas été le cas et nous resterons mobilisés jusqu’à la satisfaction de nos revendications», expliquent les étudiants rassemblés devant le ministère de l’Enseignement supérieur. Les étudiants dépendant du système LMD se sont aussi joints au mouvement de protestation et réclame également la prise en charge des problèmes pédagogiques spécifiques à leurs universités. Les étudiants demandent aussi l’application rapide de la décision d’annulation du décret 10-315 du 13 décembre 2010 conformément à l’instruction du président de la République. Ils demandent aussi la valorisation des diplômes et l’ouverture de postes supplémentaires au niveau du magister, et ce, selon le nombre des étudiants. La facilitation pour les étudiants en LMD d’accéder au master et la possibilité à ceux de l’ancien système de pouvoir s’inscrire au magister font partie aussi des revendications des étudiants.
F.-Z. B.
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Actualité (Mardi 12 Avril 2011)


Leur sit-in a été dispersé par la police
Des étudiants malmenés devant la Présidence
Par : MALIKA BEN
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Tabassés à coups de matraques et de bâtons, les étudiants des grandes écoles ne sont pas prêts d’oublier ce qu’ils ont vécu hier à El-Mouradia. Ils ont réussi à affronter tous les coups et manifester leur colère pendant six longues heures. Les médecins résidents, qui étaient également sur les lieux, ont eu droit au même traitement.
En décidant de tenir un sit-in devant la Présidence, les étudiants ne se doutaient certainement pas de ce qui les y attendait. Jamais une manifestation, notamment celle des derniers mois, n’a été réprimée de la sorte. Arrivés en masse pour solliciter l’intervention du premier magistrat du pays en vue de la satisfaction d’une revendication pédagogique que leur tutelle ignore toujours, les étudiants des grandes écoles ont été violentés, agressés physiquement et verbalement. En fait, l’avenue Pékin d’El-Mouradia s’est transformée, en l’espace de six longues heures, en un véritable champ de bataille.
D’un côté, près d’un millier d’étudiants et, de l’autre, des policiers qui ont pour instruction de bloquer la foule depuis le lycée Descartes. Les manifestants ont eu droit à des coups de pied, des coups de poing et toutes sortes d’insultes et de grossièretés sans aucun respect aux nombreuses oreilles chastes. Des étudiantes agressées verbalement puis violentées et tabassées par les femmes policières venues en renfort une demi-heure avant la fin de la manifestation. Les coups portés aux étudiants étaient tellement forts que de nombreux blessés ont été évacués vers le CHU Mustapha-Pacha.
Le premier étudiant, qui a forcé la ceinture de sécurité des forces antiémeutes, a eu droit à 15 jours de maladie en raison des coups de bâtons portés aux jambes. Le nombre des blessés augmentait au fil des tentatives des étudiants de forcer le cordon sécuritaire. Personne n’était en mesure de donner un chiffre exact mais nombreuses étaient les étudiantes qui se sont évanouies à la suite d’un coup de bâton. Le fait de pousser violemment les manifestants en usant des boucliers provoquaient des blessures au visage.
L’un des étudiants avait le visage ensanglanté suite à une blessure juste au-dessus de l’œil. Il faut signaler aussi que plus d’une dizaine d’étudiants ont été arrêtés. Les cinq, qui ont été interpellés dans la matinée, ont été relâchés suite à la pression des manifestants. Cependant, ceux qui ont été violemment embarqués dans les nombreux fourgons immobilisés tout au long de l’avenue Pékin n’ont pas été relâchés. En fait, tout se passait tellement vite et les scènes de violence étaient telles que même les passants n’hésitaient pas à reprocher aux policiers leur attitude. “Nous sommes des étudiants, pourquoi vous nous tabassez comme des animaux ?” fulminent les étudiants. Il faut dire que l’attitude des policiers dépêchés en force sur les lieux ne faisait qu’accentuer la colère des étudiants. “Dégage d’ici avant que je ne t’explose”, menace un policier ou encore “vous vous croyez instruits alors que vous n’êtes rien”. Les insultes ne sont qu’une infime partie de ce que les étudiants ont vécu hier à El-Mouradia. Même les journalistes et les photographes de presse n’ont pas échappé aux foudres. Un journaliste s’est même vu confisquer son téléphone portable car un des policiers l’a surpris en train de filmer la bastonnade des étudiants.

Impressionnant dispositif sécuritaire
Le dispositif sécuritaire, mis en place à partir de la place Addis-Abéba jusqu’à la Présidence, ne laissait aucun doute sur l’accueil qui allait être réservé aux manifestants. Des policiers postés dans chaque ruelle, d’autres qui descendaient à pied pour bloquer les étudiants aussi loin que possible, des stations-services du Golfe… Les policiers en civil n’hésitaient pas à s’approcher de chaque jeune ayant l’allure d’un étudiant pour le dissuader de descendre vers le lycée Descartes. Et c’est finalement un peu plus bas de ce lycée que les étudiants seront immobilisés par les policiers. Ces derniers ont tenté de les cantonner dans une ruelle pour les empêcher de bloquer la route.
Au départ, les policiers, qui ont constitué le cordon de sécurité, n’avaient ni bouclier ni bâton. Ils repoussaient les manifestants qui n’ont pas cessé de rappeler qu’il ne s’agit que d’une action pacifique. Mais vers 12h, les choses “sérieuses” ont commencé d’autant que les étudiants avaient réussi à forcer la ceinture de sécurité. Les forces antiémeutes, équipées de matraques et de boucliers, arrivent en renfort. Matraqués, bastonnés, blessés… les étudiants étaient décidés à bloquer complètement la route. Ils réussiront vers 13 heures. Assis par terre en scandant : “Nous sommes des étudiants pas des voyous.”
Après près d’une heure de blocage total de la route, la décision est prise d’évacuer les lieux par tous les moyens. La situation dégénère et un groupe d’étudiants réussira à s’échapper du cordon et se rassembler non loin des médecins résidents qui ont eu droit à quelques coups. Pendant près d’une heure, l’avenue Pékin était le théâtre de scènes de violence et de dépassements qui auraient pu être évités.








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DIRECT : marche des étudiants à Alger

Affrontements entre étudiants et policiers à proximité de la Présidence





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Mohamed Belalia


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Les étudiants à proximité de la Présidence de la République. PHOTO : Sofia Djama
14h10. Les affrontements ont gagné en intensité entre policiers et étudiants. Les policiers, qui ont reçu des renforts, ont réussi à éloigner les étudiants de la Présidence et les repousser jusqu’à proximité de l’hôtel El Djazair (ex-Saint-Georges). Les affrontements ont fait de nombreux blessés parmi les étudiants et plusieurs policiers ont également été touchés.

13h15. La police empêche toujours les étudiants de progresser vers la Présidence de la République. Les affrontements se poursuivent. Plusieurs dizaines d’étudiants ont été blessés. Au moins cinq policiers ont également été blessés, a-t-on constaté sur place. Les policiers utilisent les matraques pour tenter de disperser les étudiants.
12h30. Affrontements entre étudiants et policiers à proximité de la Présidence de la République. Plusieurs dizaines d’étudiants ont été légèrement blessés. Les policiers ont bloqué les accès menant à la Présidence, empêchant les étudiants d’avancer.
12h05. Les étudiants marcheurs non loin de la Présidence de la République. Les premiers groupes de marcheurs sont arrivés avenue Pékin, à proximité d’El Mouradia. Un important dispositif policier est déployé sur place pour les empêcher de progresser vers le Palais présidentiel.
11h50. Le nombre d’étudiants marcheurs a fortement augmenté. Ils sont désormais plusieurs dizaines de milliers – Parmi les organisateurs, on parle de plusieurs centaines de milliers de participants mais le chiffre est impossible à vérifier. La police a tenté de stopper les manifestants à proximité du Palais du Peuple. Au moins trois étudiants ont été blessés. Les policiers ont fini par renoncer. La marche se poursuit.
11h45. La marche des étudiants se poursuit. Les premiers marcheurs sont arrivés à Télémly. Selon notre journaliste sur place, les policiers sont discrets et le service d’ordre est assuré par les étudiants eux-mêmes. La population se montre solidaire avec les marcheurs, en leur offrant notamment de l’eau.

Plusieurs milliers d’étudiants – plus de 20 000, selon Adel Boucherguine, membre de la coordination qui a appelé à la marche – ont réussi à briser l’impressionnant dispositif de sécurité déployé par la police et marchent actuellement à Alger en direction de la Présidence de la République, a constaté un journaliste de TSA sur place. Partis de la Grande Poste, les étudiants étaient, vers 11 h 15, au niveau de la Place Audin, située à quelques centaines de mètres de la Grande Poste. Ils scandaient des slogans hostiles au pouvoir et en faveur de la démocratie. Au moins quatre étudiants ont été blessés, après avoir été frappés par des policiers devant la Fac centrale, selon un témoin.






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على المباشر: مسيرة الطلبة بالجزائر

مواجهات بين الطلبة و قوات الأمن بمحاذاة قصر رئاسة الجمهورية





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محمد بلعليا


إضغط هنا لرؤية الصورة بحجمها الطبيعي.


سا 14 و 20: تمكنت قوات الأمن من دفع حشود الطلبة للتراجع من قصر رئاسة الجمهورية نحو محيط فندق الجزائر (سان جورج سابقا)، بعد امدادها بقوات إضافية. و حسب صحفينا في عين المكان، أصيب 10 طلبة على الأقل في مواجهات عنيفة مع قوات الأمن.

سا 13 و 15: أصيب عشرات الطلبة بجروح و خمسة من عناصر الشرطة على الأقل في عملية صد قوات الأمن لزحف حشود الطلبة إلى مقر رئاسة الجمهورية. كما لا تزال المواجهات متواصلة حسب ما وقفنا عليه في عين المكان. و تستعمل الشرطة الهروات لتفريق جموع الطلبة.

سا 12 و 40: إصابة عشرات الطلبة بجروح في مواجهات بينهم و بين قوات الأمن على بعد حوالي 100 متر من ساحة محمد الصديق بن يحيى، التي يتوسطها مقر رئاسة الجمهورية. و حسب صحفي "كل شيء عن الجزائر" المتواجد بعين المكان، فقد قطعت قوات الأمن الطريق أمام مسيرة الطلبة و تقوم حاليا بمحاولة منعهم من الوصول إلى رئاسة الجمهورية.

سا 12 و 10: وصول الفوج الأول من الطلبة المشاركين في مسيرة 12 أفريل، إلى شارع بكين المحاذي لمقر رئاسة الجمهورية، وسط تعزيزات أمنية مشددة.

سا 11 و 57: إصابة ثلاثة طلبة على الأقل بجروح في محاولة وقف مسيرة الطلبة من طرف قوات الأمن أمام قصر الشعب. إلا أن قوات الأمن تراجعت أمام الحشود الطلابية التي قد تتعدى عشرات الآلاف. المسيرة متواصلة و في طريقها لقصر رئاسة الجمهورية.

سا 11 و 45: الصفوف الأولى من مسيرة الطلبة تصل إلى تيليملي بتواجد محتشم لقوات الأمن حيث يتولى الطلبة أنفسهم تنظيم المشاركين في مسيرتهم. و في المقابل، أظهر السكان تضامنهم مع الطلبة بتقديمهم الماء للطلبة.

و حسب ما أكده عادل بوشرقين، عضو التنسيقية الوطنية للطلبة الجزائريين-التي دعت للمسيرة- أكثر من 20 ألف تمكنوا من تجاوز الحاجز الأمني المشدد لقوات الأمن و واصلون مسيرتهم باتجاه قصر رئاسة الجمهورية.







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بالرغم من التعزيزات الأمنية المشددة

الجزائر: ألاف الطلبة يحاولون الخروج بمسيرة حاشدة بقلب العاصمة





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من ساحة الأمير عبد القادر: محمد بلعليا





يحاول منذ الساعة التاسعة و 40 دقيقة من صباح اليوم الثلاثاء 12 أفريل، ألاف الطلبة الخروج بمسيرتهم من ساحة الأمير عبد القادر بقلب العاصمة الجزائر باتجاه رئاسة الجمهورية بالمراداية، حسب ما وقف عليه صحفي "كل شيء عن الجزائر" في عين المكان.

و في المقابل، طوقت قوات الشرطة المكان و شكلت حاجزا أمام جماهير الطلبة بغرض منع من ولوج البريد المركزي. و ردد الطلبة في مسيرتهم شعارات مناهضة للنظام و أخرى منادية بالحرية و الديمقراطية: "جزائر حرة ديمقراطية"، "كرهنا من هذا النظام" و "الطلبة مازالنا كاينين".

و كان من المقرر أن تنطلق مسيرة اليوم 12 أفريل، الذي دعت إليها التنسيقية الوطنية للطلبة الجزائريين في حدود الساعة الحادية عشر، من البريد المركزي بالجزائر الوسطى باتجاه مقر رئاسة الجمهورية بالمرداية، إلا أن التواجد المكثف لقوات الأمن و غلقها للمكان و تفريقها لأي تجمع يفوق ثلاثة أشخاص، أجبر على يبدو الطلبة على تغيير مكان تجمعهم.

و حسب ما وقف عليه صحفينا في عين المكان، لا زال الطلبة يتدفقون على ساحة الأمير عبد القادر عبر المسالك الجانبية.







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Un important dispositif a été déployé

Des milliers d’étudiants tentent de marcher à Alger





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Mohamed Belalia




Plusieurs milliers d’étudiants sont actuellement rassemblés entre la Place Emir Abdelkader et la Grande Poste, au centre d’Alger et tentent de marcher en direction de la Présidence de la République, a constaté un journaliste de TSA sur place.
A une demi-heure du début de la marche, à 11 heures, les étudiants continuent d’affluer par petits groupes au milieu d’un important dispositif policier. Les étudiants appellent à une marche pacifique. Ils scandent des slogans en faveur de la liberté et de la démocratie et contre le régime algérien. Des échauffourées ont éclaté vers 10 h 30 entre étudiants et policiers. Elles ont duré quelques minutes.

Initialement, la marche devait démarrer de la Grande Poste vers la Présidence de la République. Mais dès les premières heures de la matinée, un important dispositif policier a été déployé. La place de la Grande Poste a été fermée par les policiers et tout attroupement est systématiquement empêché. Une vive tension règne sur place.







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VENUS POUR UN SIT-IN DEVANT LA PRÉSIDENCE
Les étudiants bastonnés
12 Avril 2011 - Page : 4
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Cette élite issue des grandes écoles a opté pour la sagesse comme parade à la matraque.
Vulgarités, intimidations et bastonnades. C’est ce qu’ont réservé hier les policiers aux étudiants qui ont tenté de se rassembler devant la présidence de la République. Trois étudiants sont gravement blessés et admis aux urgences du CHU Mustapha-Pacha. Deux autres ont été arrêtés puis libérés quelques heures plus tard. C’est avec cette brutalité sans limites que les forces de sécurité ont empêché un millier d’étudiants de rejoindre le Palais présidentiel, prévu comme lieu du sit-in organisé, hier, par les grandes écoles. Filles et garçons ont été malmenés avant d’être roués de coups.
«Notre action est hautement pacifique, on n’est pas des voyous», lance un étudiant à l’encontre d’un policier. Et l’autre de rétorquer: «Respectez au moins notre statut.» Les chauffeurs et les piétons ont subi des violences verbales. A l’instar du sit-in organisé devant le département de tutelle, cette élite a prôné la sagesse comme meilleure parade à la matraque. Des slogans sont scandés. «Ulac Smah Ulac», et le fameux «Dégage Harraoubia», sont entendus de très loin.
Aux multiples incohérences de leur ministre «dépassé par l’évolution des événements», ils sollicitent l’intervention immédiate du chef de l’Etat. Les minutes s’égrènent. Les étudiants multiplient les tentatives de forcer le cordon sécuritaire. Le mouvement annonce la couleur pour la marche grandiose qui sera tenue aujourd’hui de la Grande Poste au Palais du gouvernement.
L’agressivité et la violence inqualifiables dont ont fait usage les policiers, n’ont fait qu’exacerber les universitaires, déjà au summum de leur colère après les récentes déclarations du ministre de l’Enseignement supérieur Harraoubia. Lors de la conférence nationale tenue à l’Usthb, le ministre n’a pas convaincu.
Rachid Harraoubia a promis de constituer un comité formé d’experts nationaux et internationaux pour examiner les problèmes des grandes écoles. «De la poudre aux yeux», rétorquent les étudiants. «On est contre cette ingérence, le problème de l’Université est vu de loin», explique M.Ahras.
Comme la plupart des autres établissements, les examens sont boycottés au niveau de cette école. Il reste que même avec cette violence, les étudiants ne baissent pas les bras. Venus par dizaines, ils rejoignent leurs camarades.
La route qui mène au lycée Descartes (Alger) est complètement bloquée. Des voitures, camions et d’autres engins s’alignent en files interminables. La circulation est déviée vers El Biar.
On entend des klaxons et des youyous pour soutenir ces centaines d’étudiants. Approché, Rabah Noël, délégué de l’Ecole supérieure du commerce (ESC), lance un énième message de détresse: «On approche de l’année blanche qu’on a tout fait pour éviter.» Ayant rejoint les siens après avoir subi les premiers soins à l’hôpital Mustapha-Pacha, Aghiles porte-parole de la Coordination nationale autonome des étudiants (Cnae), résume ainsi la situation: «Je me suis senti privé de ma liberté. La manière dont nous ont traités les forces antiémeute est injuste». Pour Abed Mahfoudh, délégué de l’Ecole supérieure de l’informatique (ex-INI), des ambiguïtés persistent quant à certains points inhérents aux grades de master et de l’ingéniorat.
«Ni les mécanismes ni encore la durée de la procédure ne sont définis», avance-t-il en guise d’arguments. Refusant de retourner bredouilles après des mois de contestations, les étudiants veulent-ils leur propre révolution?
Fouad IRNATENE







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Alger: Marche des étudiants aujourd'hui
par Moncef Wafi
Rachid Harraoubia, le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, au cœur de la tourmente, depuis près de trois mois, est revenu, hier, sur la marche estudiantine prévue pour aujourd'hui à partir de 11h, à Alger, de la place du Premier Mai jusqu'au Palais du gouvernement.

Tout en affirmant que les cours se déroulaient normalement au niveau des universités et centres universitaires du pays, le ministre reconnaît que le problème persiste au niveau des Grandes Ecoles. Une déclaration faite à la presse, en marge des travaux du colloque international sur les sondages d'opinion et les mesures d'audience en Algérie, à moins de vingt quatre heures de la tenue de cette marche voulue « millionnaire » par la coordination nationale autonome des étudiants, qui représente plus de vingt facultés et Ecoles supérieures à travers le pays. Au cœur de la contestation estudiantine, outre le rejet du décret présidentiel du 15 décembre 2010 portant sur l'équivalence des diplômes universitaires LMD, l'unification de la carte d'étudiant, le maintien des systèmes classique et LMD en laissant le libre choix aux étudiants, la valorisation des diplômes universitaires, entre autres revendications. Au sujet des écoles, le ministre de tutelle a rappelé l'accord portant sur « la création d'une commission technique chargée de l'examen des contenus de certains diplômes », une déclaration qui répond certainement à celle des étudiants des grandes écoles qui avaient saisi, dernièrement, par courrier le ministère pour demander la concrétisation sur le terrain de la décision de Harraoubia de confier l'examen des passerelles dans les grandes écoles à un comité d'experts nationaux et internationaux.

A propos des nationalités engagées pour ce processus, le ministre, tout en soulignant que cette commission est en cours de création, évoquera la participation d'un groupe d'experts français, canadiens, américains et britanniques. Il affirmera qu' «aucune partie ne peut prendre une décision relative au diplôme universitaire sans consulter les compétences du secteur». Cette commission apparaît, aujourd'hui plus que jamais comme le consensus recherché pour mettre fin à la crise des grandes écoles puisqu'il a appelé les étudiants de certaines écoles à patienter jusqu'à l'annonce de ses conclusions. A propos de la marche d'aujourd'hui, le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, a exhorté les étudiants à ne pas sortir dans la rue, leur promettant au passage d'ouvrir le dialogue et d'appeler au débat pour discuter des questions pédagogiques, scientifiques et sociales liées à l'université. Pourtant, malgré toutes ces promesses, les étudiants restent mobilisés et la coordination nationale autonome des étudiants, sensibilisait jusqu'à hier, l'ensemble des étudiants à travers le pays sur l'importance de la marche.

De nombreuses villes, à l'image d'Oran, d'Alger, Béjaïa ou encore de Sidi Bel-Abbès ont connu des manifestations estudiantines dispersées souvent dans la brutalité par un important dispositif sécuritaire qui sera certainement au rendez-vous pour ce matin. Par ailleurs, M. Harraoubia a rappelé les décisions de la conférence nationale des recteurs des universités tenue le 27 mars avec la participation de 120 étudiants représentant l'ensemble des universités du pays, qui a été sanctionnée par 11 décisions.

Une conférence tronquée qui n'aurait pas donné satisfaction aux étudiants d'où leur décision de transposer leur mé*******ement sur la voie publique. Rappelons que les recommandations de cette conférence prévoient, entre autres, l'évolution séparée du système d'enseignement supérieur classique et du nouveau système LMD et l'ouverture d'écoles doctorales notamment dans les spécialités accusant un manque en matière d'encadrement pour ce qui est du système classique.






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Sit-in des résidents et des étudiants devant la Présidence
par Salah-Eddine K.
Deux sit-in ont été tenus hier sur la grande avenue de Pékin menant au siège de la Présidence de la République à El-Mouradia, celui des médecins résidents qui reviennent à la charge pour la seconde fois et celui des étudiants « des grandes écoles » qui voulaient faire entendre leurs revendications. Si le regroupement des résidents était plutôt calme, celui des étudiants, qui ont élu domicile à une centaine de mètres plus bas, a été émaillé par des échauffourées avec les agents de l'ordre. Quadrillés dans une ruelle mitoyenne au lycée Bouamama, ils ont pu atteindre le grand boulevard et tenté d'atteindre la Présidence. Empêchés par les forces de l'ordre, ils se sont alors assis à même le sol, bloquant la route et obligeant les automobilistes allant vers El Mouradia de faire un grand détour. Dans une ultime tentative de marcher, les manifestants sont empêchés une nouvelle fois par les forces de l'ordre qui les repoussaient plus bas. S'ensuivirent alors des échauffourées qui ont duré quelques minutes. Trois blessés sont évacués par la protection civile. La route n'a été rouverte que deux heures après aux environs de 14h 30m, puis les étudiants se sont dispersés.

Les étudiants des grandes écoles réclament que leur diplôme soit revalorisé pour avoir les mêmes droits quant à l'accès à la post-graduation ainsi que leur classement à la catégorie 16. Une étudiante à l'école d'économie et de statistiques de Ben-Aknoun résume cette colère des étudiants: «Nous sortons dans la rue, car les promesses de la tutelle ne sont pas près de se concrétiser ».

Quelques mètres plus haut, les résidents en blouse blanche manifestaient. Moins nombreux que lors de leur dernier sit-in du mercredi dernier, ils tenaient à faire parvenir une lettre ouverte au Président de la République pour lui faire part de leurs revendications sur la nécessité d'un statut, d'une reforme liée à leur formation et à l'abrogation de la loi sur le service civil. Une grande banderole est étendue le long du trottoir et sur laquelle est écrit : «12 années d'études égal 12 années de travaux forcés».






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Des milliers d’étudiants affluent vers le centre d’Alger et la Présidence de la République.

Posté par D B le avr 12th, 2011 // 0 Commentaire - Imprimer PDF
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[IMG]https://www.lequotidienalgerie.org/wp-*******/uploads/2011/04/poing_leve.png[/IMG]
La manifestation des étudiants appelée par la Coordination Nationale Autonome des Etudiants devait s’ébranler à 11h00 depuis l’esplanade de la Grande Poste d’Alger, pour se diriger vers le Palais du Gouvernement. Mais dès l’aube, des forces considérables de police antiémeute ont commencé à se déployer dans tous les quartiers environnants, et ont commencé à filtrer les passants, pour interdire tout attroupement. Très vite, les policiers ont commencé à brutaliser des groupes épars qui tentaient de se rendre à la Grande Poste. Bastonnades, arrestations et charges se multiplient depuis la matinée, et tendent à s’aggraver. Plusieurs étudiants ont été blessés.
La CNAE, qui conserve toute sa capacité, malgré des arrestations de plusieurs de ses membres, selon des rumeurs persistantes, semble avoir lancé des mots d’ordre à tous les manifestants, pour affluer vers la Présidence de la République.
Des renforts en grand nombre sont dirigés vers la présidence, pour tenter de barrer la route aux manifestants, et une grande nervosité est perceptible dans tout Alger.
Le régime semble craindre une explosion de colère dans les quartiers populaires et donne des signes évidents de panique. Il semble que la contestation du régime à commencé à s’exprimer. Soudainement et très fort. L’Algérie va-t-elle entrer dans le cycle des révolutions populaires qui ont bouleversé tous les pays de la région? Il semble que oui. Nos compatriotes devront être particulièrement vigilants. Nous savons qu’un plan visant à déstabiliser ces manifestations est prêt à l’usage, pour infiltrer les manifestants par des agents provocateurs, et envoyer un grand nombre de bataldjias contre eux.
Les agents provocateurs du DRS, recrutés par centaines parmi des voyous, seront chargés de s’attaquer au mobilier urbain et aux biens des particuliers, pour monter la population contre les manifestation. Il faut absolument les repérer, les isoler, et les empêcher de nuire.
Nous prions tous les membres de la communauté LQA et du FCN, qui résident à Alger, de nous faire parvenir toute information utile. Et tout particulièrement des photos et des vidéos. Merci par ailleurs, de nous informer dans l’immédiat, si des évènements similaires ont lieu dans les autres régions du pays.
DB













قديم 2011-04-12, 22:43   رقم المشاركة : 374
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الطالب الجزائري اصبح يسلك سلكات منافية لقيمما يتلقاه ما هكذا يا طالب اذا ما مديتش قدر لروحك واحد ما يمدلك قدر بالعكس تتضرب وتتحاوز
ما هكذا تسترجع الحقوق
سلام










قديم 2011-04-13, 11:58   رقم المشاركة : 375
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