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قديم 2011-08-12, 14:08   رقم المشاركة : 1
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souad_alg
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افتراضي المكتبة الرقمية جامعة بومرداس

السلام عليكم ورحمة الله تعالى وبركاته
رمضان مبارك
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سلامي









 


قديم 2011-08-12, 14:09   رقم المشاركة : 2
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قديم 2011-08-15, 06:44   رقم المشاركة : 3
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maherbenahmed
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merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii










قديم 2011-08-15, 16:34   رقم المشاركة : 4
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Samir23booba
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بارك الله فيك أكبر مكتبة إلكترونية طحت فيها شكراااااا جزيلا










قديم 2011-08-23, 19:24   رقم المشاركة : 5
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epau
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looooooooooooooooook










قديم 2011-08-27, 03:55   رقم المشاركة : 6
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epau
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All rights reserved. by TaOuRiRi DZ");sQ1[3]=new Array("https://epau.funpic.de/mesopotamie.html","mesopotamie.html","","cour + td bibliotique 1er anne hca mesopotamie architecture_egyptienne grecque romaine Islam 2emeanne 3 eme anne 4 eme anne 5 eme anne architecture atulie plan module logicial autocad 2011 archicad skushup email : pass : Mésopotamie I/ Situation historico-géographique L'espace de la Mésopotamie s'étend entre les deux fleuves (le Tigre et l'Euphrate). Les plaines fertiles semblaient prédestinées à servir de berceau aux civilisations ; c'est dans de telles contrées, riches en argile, que l'art de bâtir devait naître. L'homme pouvait y avoir au moins un rudiment d'architecture avant même d'être outillé. Aspects géographiques : 1. La Mésopotamie du Nord est une première région vallonnée ; c'est une étendue, coupée de vallées fluviales, de bandes désertiques et de steppes. 2. La Mésopotamie centrale et méridionale est constituée par des terrains alluviaux des grands fleuves, au-dessus de l'ancienne plaine formée de terrains marécageux. Conditions historiques : Trois principaux royaumes ont donné naissance aux premières manifestations d'architecture en Mésopotamie : 1. Le royaume de Sumer, entre 3000 et 2500 AJC, est composé de cités états tel que : Uruk, Ur, ...etc. 2. A partir de 2015, les centres politiques se déplacent vers le centre et le nord. Désormais, l'histoire de la Mésopotamie se développe sous le signe de la rivalité croissante entre Assyriens (Assyrie) et Babyloniens (Chaldée), dont les périodes d'autorité alternent. Les programmes, types de bâtiments et formes architecturales reposent à la fois sur le climat, les matériaux de construction, la structure économique, mais encore sur la conception religieuse de l'Etat et de la société. Tandis que l'Assyrie possédait un peu de bois et quelques carrières, la Chaldée en était totalement dépourvue : l'argile n'en était que plus précieuse pour les Babyloniens, et la nécessité de la substituer entièrement à la pierre les a conduit à lui donner par la cuisson les qualités de la pierre. II/ Types d'habitat primitif a- La maison 1/ Les huttes en roseaux, dites Srefe (zarifès) : Il s'agit d'une voûte en berceau réalisé à l'aide d'arc et nervure en roseaux formant l'ossature. La couverture est formée de nattes de joncs et d'argile. Cette variante mésopotamienne associe déjà des éléments constructifs importants, comme l'arc en plein cintre, la nervure et enfin l'appareillage du toit, dans une forme primitive de la voûte en berceau. 2/ Les maisons circulaires, dites Gaura : Elle se forme à partir du cercle du foyer ou de la tente des nomades et sont construite en pisé ou en brique crue. Leur diamètre peut atteindre 5 à 10 m. 3/ Maisons ruches : Ces bâtiments circulaires sont partiellement combinés avec des avant-corps ayant la forme de petites maisons rectangulaires. 4/ Maisons à plan carré : C'est une typologie qui apparaît à la fin de l'époque préhistorique et s'impose comme forme plus fonctionnelle. La figure de base constituée par le carré est malléable. La composition d'espace à plan carré de différentes dimensions devient aisée. b.- Le palais Les principaux palais étudiés: AJC. A Kish : Palais A 2100 AJC. A Ur : Palais Echursag 1800 AJC. A Larsa : Palais Mari En Assyrie, le palais tient la première place, englobant comme annexes les temples dans son enceinte. C'est la résidence du souverain et centre du pouvoir politique et représente à l'origine le plan d'une maison à cour, qui constitue l'élément principal ou la cellule originelle du plan d'aménagement du palais. La disposition du plan repose sur la combinaison de systèmes de cours communiquant entres-elles. Il est conçu en vue d'établir l'indépendance la plus absolue entre les pièces de réception, les appartements privés les bâtiments de service. Ce même plan est tracé sans nul souci de la symétrie : sans autres préoccupation que celle des besoins à satisfaire. Les façades reprennent le vocabulaire architectural des ouvrages militaires : enceinte (remparts), tour, porte en chicane. Deux grandes cours forment généralement le centre des palais : La cour d'entrée et son ensemble de salles servant aux affaires publiques. Autour de la seconde cour, appelée cour du palais, se trouvent les appartements royaux et les salles d'apparat. Cour d'entrée et cour du palais sont situées l'une à proximité de l'autre, et la grande salle du trône sert de lien entre les deux. D'autres cours, autour desquelles s'organisent des bâtiments secondaires, sont liés à l'ensemble et aux édifices sacrés. En Assyrie, les palais sont généralement implantés par stratégie, en bordure de chaque ville, reliés à l'enceinte de la ville et fortifiées comme des citadelles. III/ Les variétés du temple Les temples n'apparaissent qu'à la fin d'un long processus religieux. Les premiers sanctuaires sont des enceintes sacrées dans la nature. A la fin de l'époque préhistorique, survient un type de temple archaïque qui comporte une cella en longueur avec des salles secondaires latérales et une entrée frontale comme pour la maison rurale. Les ensembles de constructions des temples devenus plus vastes avec leurs habitations, entrepôts et ateliers forment les centres de villes temples sumériennes. •Le Temple d'Eridou présente à l'état élémentaire les quelques éléments essentiels des premiers édifices sacrés : salle de forme rectangulaire à abside également rectangulaire, division par des murs de refend semblables à des contreforts, un autel dans l'abside, une table de sacrifice au milieu de la salle. •Le temple D d'Uruk est le plus vaste de la Mésopotamie ancienne. Le chevet est élargi par une nef transversale qui précède la cella allongée. Une chaîne de pièces secondaires entoure la cella. Les murs extérieurs épais sont rehaussés de pilastres et creusés de six niches profondes. Axialité et symétrie déterminent la composition générale. •Le temple de Tell Asmar reprend le principe de la maison à plan carré où les chapelles représentent des cellas en longueur avec une entrée latérale. •Ziggourat : Ces tours gigantesques, qui furent les principaux monuments de Babylone, étaient à la fois des temples et des observatoires. D'après les descriptions de Hérodote et Strabon, il s'agit de massifs sur plan carré affectant l'aspect général de pyramides. Sur ses flancs se développe une rampe douce qui permet d'abord de monter les matériaux lors de la construction, sans recourir à des échafaudages, et qui donne accès à la plate-forme supérieure où s'élève le principal sanctuaire. Les faces extérieures étaient ornés de rudentures et couronnés par des crénelages. La ziggourat se situe dans une vaste cour carrée, précédée d'un avant-corps. Sa terrasse inférieure, un rectangle de 52 m x 56 m de côté sur 15 m de hauteur, s'oriente, suivant ses diagonales, aux quatre points cardinaux. Deux terrasses plus petites et plus basses y sont superposées. L'ensemble est accessible à partir d'escaliers latéraux ou frontaux. IV/ Formes d'urbanisme L'urbanisme de a Mésopotamie se concentre en trois points : 1. Les villes du sud, comme Ur, Eridou, Uruk...etc, sont des villes temples sumérienne. 2. Les villes du centre avec Babylone en Chaldée 3. Les villes du nord, comme Assur sont les domaines des Assyriens (Assyrie). Ces deux derniers groupes sont des cités palais et villes temples. Caractéristique de la ville temple Ville de type sumérien •Plan général déployé suivant un vaste ovale avec territoire entouré d'un mur garni de tours de défense et par des cours d'eau. •Des rues sinueuses et d'étroits passages traversent ses quartiers. •Le côté NE est réservé à une zone résidentielle privilégiée. •Le centre abrite les monuments religieux (ziggourat) et le palais, dont l'organisation orthogonale fait contraster avec le contour de la ville. La dominance va aux tours à gradins (ziggourats). Les cités palais mettent en exergue l'urbanisme babylonien que l'on associe aux principes assyriens •L'ordre géométrique d'ensemble. •La situation centrale du sanctuaire principal. •La position excentrique du groupe de palais, qui s'accroche à la manière de citadelle ou forteresse au rempart de la ville et à la voie navigable •Les voies principales suivent un réseau géométrique. Conclusion : Les influences Dans l'architecture mésopotamienne se vérifient tout d'abord les lois de rapports simples ou de proportions modulaires. Elle résulte comme conséquence obligée, de l'emploi de la brique. Les longueurs des salles et les épaisseurs des murs ont, par le fait seul de leur appareillage, des dimensions subordonnées à la dimension de la brique formant le module de base. Cette architecture avait ses racines dans le sol même, dans ses ressources si spéciales (terre). La Mésopotamie et l'Egypte ne furent jamais des centres de civilisation isolés : • De l'Egypte proviennent les motifs courants du dessin ornemental (palmette de lotus et la rosace). • Le système de voûte sans cintrage est probablement originaire de Chaldée • A Babylone s'arrête le domaine de l'architecture de brique cuite. Copyright © 2011 Sample. All rights reserved. by TaOuRiRi DZ");sQ1[4]=new Array("https://epau.funpic.de/architecture_egyptienne.html","architecture_egypti enne.html","","cour + td bibliotique 1er anne hca mesopotamie architecture_egyptienne grecque romaine Islam 2emeanne 3 eme anne 4 eme anne 5 eme anne architecture atulie plan module logicial autocad 2011 archicad skushup email : pass : architecture egyptienne I/ Paysage et implantation Le paysage égyptien fournit une première indication pour une meilleure compréhension de l'architecture pharaonique. Il est rare de trouver un pays d'une structure géographique aussi simple et aussi régulière. La vallée du Nil, longue et étroite, est bordée de chaque côté par des déserts qui définissent clairement les limites de l'espace réservé à l'homme. L'Egypte pourrait être décrite comme une large oasis longitudinale de caractère relativement uniforme. Le fleuve coule du sud au nord, indiquant une première direction spatiale. Le soleil se levant à l'est et se couchant à l'ouest trace l'autre direction. Ces deux éléments fondamentaux de la nature concourent à établir une structure spatiale simple : des enclos structurés orthogonalement et organisés selon l'axe, répartis, qui de plus, sont répartis le long du grand espace longitudinal de la vallée. 1. Ainsi, dans la région sud de la haute et moyenne Egypte, le Nil forme une large tranchée (2 à 20 km) où les villes sont peu nombreuses et le peuplement clairsemé. La concentration est visible à Thèbes au coude du Nil. 2. La région Nord de la basse Egypte comprend le Delta en forme d'éventail ; il se caractérise par un peuplement dense et de grandes villes : Memphis, Tanis, Héliopolis. L'Egypte, qui partage avec la Chaldée l'honneur d'avoir donné naissance à l'architecture, est dépourvue de bois à bâtir. Elle ne produit que des stipes de palmier, des sycomores et des roseaux. Ses matériaux de construction courante sont les terres argileuses ; pour les constructions monumentales, elle trouve dans les falaises qui bordent la vallée une chaîne continue de carrières de grès et de calcaire ; le granit vient de la région des cataractes. Son architecture paraît avoir connu le fer dès l'époque des pyramides. En résumé, l'architecture de l'Egypte participe de l'architecture à matériaux d'argile et de l'art mégalithique : à l'architecture d'argile s'identifient les constructions d'habitation et de défense ; à l'art mégalithique les monuments de culte et les tombeaux. II/ Fondement historique de l'architecture pharaonique L'isolement de l'Egypte par une ceinture désertique (désert libyen et désert d'Arabie) lui permet de connaître de longues périodes de développement dans la paix. L'économie est surtout agricole. La route commerciale intérieure est le cours du Nil. L'architecture est l'affaire de l'Etat. La construction de grands styles entre dans les attributions royales. Se référer à la table chronologique. III/ Habitat, palais et cité Habitat : Les premières habitations sont des huttes en roseaux et en argile. La typologie de maisons répétitives ou en bande apparaît pour la première fois en Egypte. Les villes ouvrières ou cités d'artisans nous apportent des indications sur cet habitat et font apparaître une planification rationnelle avec l'alignement de ces maisons en série. Cet habitat répétitif se développe en bande étroite dont le plus petit côté est tourné vers la rue. Il est conçu pour les artisans, artistes, constructeurs et fonctionnaires affectés à la réalisation de temples et de pyramides. Les maisons en bande ont 4-9 m de long sur 10-12 m, voire par endroit 30 m, de profondeur. Les pièces s'alignent en enfilade. Les cuisines se situent au bout. La classe supérieure habite de spacieuses maisons à cour. Palais Le palais consiste en des pavillons disséminés dans des jardins qu'enferment de hautes murailles. Non seulement une muraille d'enceinte enveloppe le parc, mais chaque quartier a son enceinte. Les jardins sont ornés de vignes et de bassins d'eau. Des kiosques se dressent de distance en distance : abri aussi ouvert que l'habitation proprement dite est close. Les façades sont composées de saillies en forme de tours (influence mésopotamienne). Le palais d'Aménophis III à Thèbes est composé de bâtiments spacieux, imbriqués les uns dans les autres et disposés autour de vastes cours, de place d'armes et de jardins. Les quartiers entre lesquels se partage le palais répondent à la division suivante : 1. Le pavillon d'audiences (selamlik) où le maître reçoit ses visiteurs et ses invités. 2. La demeure royale (harem) exclusivement réservée à la famille. 3. Les dépendances (khan) tels que écuries, étables, ateliers, magasins, logement des gens de service ; cette partie du palais est la plus développée. Cité : La ville en Egypte est d'abord une place forte, des marchés et résidences de princes locaux. Les idées directrices de l'urbanisme Egyptien : 1. Villes planifiées car bâties d'un jet. 2. Orientation d'après les points cardinaux : la direction sud nord est l'axe naturel le long duquel se développe la ville. 3. Régularité dans le tracé de la structure viaire : réseau de rues à angles droits avec coupe régulière des quartiers. 4. Situation centrale des sanctuaires et palais. 5. Présence de l'eau dans la configuration urbaine (canaux, étangs, plans d'eau associés aux jardins). 6. Organisation spatiale analogue la structure hiérarchisée de la société. IV/ Monuments religieux et funéraires a. Temple Les égyptiens considéraient le temple comme la demeure de la divinité. Sur une plus petite échelle, le temple répète une organisation identique à celle de la cité ; il est organisé selon l'axe est-ouest, mais aussi structuré orthogonalement. Si l'on se réfère aux temples d'Horus à Edfou ou d'Amon à Karnak, leur plan est divisé fondamentalement en trois parties : une cour à colonnades précédée de pylône, une salle hypostyle et un sanctuaire disposés le long d'un axe. Cour et pylône : les bâtiments de la cour sont des portiques à colonnades quelquefois doubles ou triples en profondeur, et qui se développent le long des rives. Le pylône se dresse à l'entrée comme une masse monumentale qui annonce au loin le temple. L'aspect ordinaire du pylône correspond à une haute muraille à talus très accentué. Au-dessus de la porte, le massif s'interrompt car souvent on supprime le linteau et l'on réduit la baie à ses jambages. Les surfaces murales sont couvertes de bas-reliefs ; la sculpture enveloppe l'architecture sans toutefois l'écraser. Devant les pylônes sont plantés des mâts. Salle hypostyle : c'est dans cette salle située en avant du sanctuaire, que l'architecture s'exprime généreusement. Couvrir un tel espace est chose aisée grâce aux files de piliers qui le partagent en travées étroites : toute la question est de l'éclairer. Les murs latéraux ne sont pas percés de fenêtres : on tient plus élevées les deux files de colonnes du milieu, ce qui permet de ménager une claire-voie par où la lumière pénètre. Sous les dynasties thébaines, la façade consiste en une simple muraille, avec une porte unique. Dès la 18e dynastie, la grande salle s'annonce du côté de la cour par une colonnade ouverte. Ce parti architectural se généralise, et au moment où l'Egypte entre en relation avec le monde grec, la façade en forme de colonnade devient le type usuel importé en Grèce antique. Sanctuaire : il se présente généralement sous la forme d'une salle rectangulaire, sans autre décoration que la gravure de ses parois : des bas-reliefs ou des inscriptions. b. Mastaba et pyramide La première grande architecture pharaonique se forme à partir de tombeaux royaux. Dans la religion égyptienne, la vie n'est pas séparée de la mort de façon stricte. Cette conception de l'au-delà amène à superposer au tombeau souterrain une maison symbolique. Peu à peu, la construction supérieure prend la forme du mastaba, construction en longueur à toit plat surbaissé et à murs droits ou inclinés en briques d'argile qui sont animés de niches et de saillies aux allures de tourelles (influence mésopotamienne). L'intérieur peut contenir jusqu'à plus de 50 pièces, ordonnées systématiquement autour de la chambre funéraire centrale. La plupart de ces palais funéraires ont été découverts dans la nécropole de Saqqarah. Au milieu des mastabas se dressent dans les plaines de la basse Egypte les premières sépultures royales : il est question de pyramides classiques, construites à l'aide de forme géométrique simple (une base carrée, le sommet est situé sur la perpendiculaire au centre du carré. Les quatre faces qui sont des triangles isocèles sont orientées vers les points cardinaux. La pyramide qui sert de tombeau aux pharaons de l'ancien empire a évolué ainsi : 1. Pyramide à degrés (Djezer à Saqqarah) 2. Pyramide à profil brisé (Dahchour) : l'angle de pente se réduit à mi-hauteur, en passant de 54,15 à 43 degrés 3. La pyramide rouge (Dahchour) : l'inclinaison de 52,20 degrés est continue. IV/ Organisation spatiale et Forme architecturale a. Conception de l'espace et évolution historique En général, les édifices égyptiens représentent une synthèse de quatre vecteurs principaux (concepts formels) : 1. l'oasis clos : l'enceinte bien définie 2. la masse mégalithique durable 3. l'ordre orthogonal 4. l'axe transposé symboliquement dans l'architecture pour produire le cosmos égyptien : la salle axiale précédée d'une cour. Dans l'Ancien Empire, les différentes unités de chaque ensemble de pyramides forment une suite linéaire et la précision stéréométrique est amplement soulignée. Le développement pendant le Moyen Empire de structures répétitives, telles que colonnades et corniches continues marquent un progrès dans cette voie. La synthèse globale des grandes structures à entablements du Nouvel Empire est déjà prévisible. b. Détails architectoniques : la colonnade égyptienne L'architecture pharaonique emploie à la fois le pilier et la colonne. Si le pilier se réduit à un simple prisme de pierre sans base ni chapiteau, il en est autrement pour la colonne qui se présente entièrement composée. Elle n'empreinte pas ses formes à ses fonctions ou ses conditions de stabilité, mais elle les demande au règne végétal : la forme des premières colonnes rappelle celle du lotus. Les architectes donne au fût l'aspect de la tige du lotus, au chapiteau celui de la fleur. Tantôt la colonne simule une tige isolée, tantôt un faisceau de tiges. La base, le fût : le fût repose presque toujours sur un disque qui, chez les Grecs, deviendra la base. Il imite soit une tige isolée, soit un faisceau de tiges. Chapiteau : on reconnaît à ce niveau une fleur de lotus à l'état de simple bouton où les folioles de la corolle sont encore closes. Vers la 18e dynastie, on voit apparaître le chapiteau à corolle épanouie. L'architrave repose sur le chapiteau par l'intermédiaire d'un tailloir qui empêche les bords amincis de se briser sous la charge. En résumé : - les formes des colonnes égyptiennes découlent de l'abstraction et la géométrisation de modèles inorganiques (formation rocheuse) ainsi que la stylisation de la végétation (papyrus, lotus, palme). Une des caractéristiques constantes est le dualisme des formes tectoniques et organiques ; elle se voit nettement dans la conception des colonnes. - L'architecture sacrée est déterminante dans l'image de l'architecture égyptienne. - La géométrie, base de l'architecture, est appliquée d'une manière logique en Egypte : la pyramide est une forme géométrique pure, absolue avec des dimensions monumentales. - La symétrie et l'axialité sont deux principes d'ordre très fréquents dans le plan et l'élévation de chacun des édifices : mastaba, ou temple. - L'harmonie, la stéréométrie et les proportions caractérisent l'architecture pharaonique. - La précision de la construction en pierre de taille atteint en Egypte sa plus grande perfection. Conclusion a. L'art et le régime social L'art égyptien paraît né dans le delta du Nil ; ses premiers monuments connus se groupent dans la plaine de Memphis et ses périodes d'éclat (faste) correspondent aux 4e et 5e dynasties : c'est alors que s'élèvent les pyramides de Gizeh et de Saqqarah. La trace du travail organisé est empreinte dans l'aspect général des œuvres de construction. b. Les influences Du côté de l'Orient, la guerre mit sans cesse l'empire des Pharaons en relation en relation avec l'Asie : voir, sous la 18e dynastie ses rapports avec Chaldée ; les dynasties suivantes furent en lutte incessante et en continuel échange d'idées avec l'Assyrie et avec la Perse. Peut-être l'Egypte a emprunté à Chaldée son système de construction en argile. L'architecture de pierre représente par contre une innovation locale. Copyright © 2011 Sample. All rights reserved. by TaOuRiRi DZ");sQ1[5]=new Array("https://epau.funpic.de/grecque.html","architecture_egyptienne.html","","c our + td bibliotique 1er anne hca mesopotamie architecture_egyptienne grecque romaine Islam 2emeanne 3 eme anne 4 eme anne 5 eme anne architecture atulie plan module logicial autocad 2011 archicad skushup email : pass : L'architecture grecque I/ Paysage et implantation L'architecture grecque émerge en mer Egée, au milieu d'un paysage qui se caractérise par la grande variété de ses sites naturels. Il se compose d'espaces définis qui semblent disposé au peuplement humain. Des vallées et des plaines fertiles de petites dimensions sont limitées par de hautes montagnes arides. Au centre et au sud, les îles forment des ponts reliant les continents. La protection assurée par les montagnes garantit à l'espace égéen un développement distinct et la position des îles favorise les échanges culturels et humains. Même s'il y avait une certaine régularité dans les implantations grecques, elles étaient toujours voulues comme endroits individuel, auquel on ne permettait pas de grandir au-delà d'une certaine dimension. A partir du 5e siècle AJC, c'est une grille orthogonale qui organisa le plus souvent la planification de la cité. Mais, contrastant avec l'importance symbolique de l'espace orthogonale adopté en Egypte, l'architecture grecque l'utilise uniquement pour faciliter l'élaboration des plans et la fondation de nouvelles colonies. Comme tel, il ne présentait nulle fonction symbolique au-delà de la définition d'une grille orthogonale, commune à tous les citoyens de la cité grecque. Son centre était réservé à l'agora, un espace circonscrit où se produisent les rencontres publiques. Il n'y a pas d'axes majeurs et la position des monuments principaux est toujours déterminée par le paysage environnant. II/ Courants artistiques et formes architecturales primitives En Grèce l'architecture se caractérise par une évolution complexe : l'invasion dorienne, venue du Nord peu après la guerre de Troie, a fait de la Grèce comme un monde nouveau. Les Doriens, une race de montagnards, favorisent une architecture épurée et qui vise avant tout à la sévère beauté des lignes. Désormais, le génie dorien et les traditions ioniennes vont s'associer sans se confondre. La double origine ionienne et dorienne dont le peuple grec est issu se manifeste à travers les ordres architectoniques. L'âge de bronze moyen (2600-2000 AJC) : En Crête, c'est l'époque des premiers palais (Cnossos, Mallia et Phaistos) ; une architecture minoenne en référence à Minoen est naît grâce à la construction de ces palais. Cnossos se développe et devient la première ville de la Méditerranée. Par son commerce maritime, la culture minoenne est en relation avec l'Egypte, la Phénicie et la terre mère grecque. L'architecture minoenne qui est naît de la construction des grands palais se caractérise par une complexité évidente sous forme de labyrinthe – qui désigne, en grec, une architecture à plan compliqué). Il se compose de constructions de différentes hauteurs et profondeurs qui ne sont pas réunies par un système d'axes de symétrie et d'alignement, mais par un ordre complexe d'ensemble. L'ordre minoen se présente sous forme d'un support en bois ; un fût rétrécis vers le bas, qui repose sur une dalle en pierre (plinthe), ronde ou angulaire. Le chapiteau est formé par un coussinet entre les annelets et les liens. Un abaque carré porte la poutre en saillie. L'âge de bronze récent (1600-1100) : La Crête dépend des rois de Mycènes et se rattache à la terre mère grecque. Les principales villes fondées sont Péloponnèse, Attique, Béotie, Mycènes. La culture mycénienne reprend beaucoup d'éléments de la culture minoenne, mais suit sa propre voie ne architecture. L'architecture mycénienne s'oppose à l'architecture minoenne dans ses types de construction comme le mégaron et dans la recherche de la monumentalité à l'instar de la technique monumentale du mégalithe. La porte d'entrée du Trésor d'Atrée à Mycènes demeure l'exemple classique de « la construction mégalithique » : quatre blocs monolithes pesant plusieurs tonnes forment un encadrement de pierre d'environ 3,25 m de hauteur te 3 m de largeur. Au-dessus du linteau, le triangle de décharge zest évidé. Il est fermé par une dalle de pierre triangulaire haute de 3 m, sculptée sur le côté face de deux lionnes. Le mégaron représente dans l'architecture mycénienne aussi bien la pièce principale de l'habitation que les bâtiments et les lieux de réunion. C'est un corps de bâtiment d'une simplicité élémentaire : rectangle long avec murs latéraux, subdivisé en une seule pièce principale et une ou deux secondaires. La façade s'ouvre en général par un vestibule ouvert, soutenu par des colonnes et avec des statues en saillie. Le mégaron est une construction à orientation nette ; les pièces sont disposées en enfilade alors que l'accès est placé dans l'axe central III/ Les édifices a. L'habitation A l'époque grecque se distinguaient trois types d'habitation : La maison à pastas : Sa parcelle de forme régulière d'environ 17 m x 17 m est desservie par un chemin central venant du Sud. Elle occupe une parcelle. L'ail avant de la maison est haute d'un étage ; elle comprend une cour précédée d'un vestibule et flanquée sur les deux côtés (Est et Ouest) de pièces d'habitations. Dans l'aile Nord s'élève un portique qui traverse la maison. Il s'ouvre vers la cour, par une colonnade et dessert les pièces principales de la maison. Un escalier mène à l'étage supérieur au-dessus de l'aile Sud. La maison à péristyle : Elle a une cour pour centre. Une colonnade qui en fait le tour sur 3 ou 4 côtés dessert les différentes ailes de la maison. La maison à cour avec mégaron : Derrière le vestibule, un étroit couloir conduit latéralement vers l'extérieur de la maison et s'ouvre par une colonnade sur la cour intérieure, autour de laquelle sont disposées selon la tradition les différentes ailes de la maison, à un ou deux étages. La pièce principale, le mégaron, en constitue la caractéristique avec son vestibule couronné d'un pignon et son toit saillant. b. Le palais Palais minoen : Le palais de CNOSSOS qui couvre une superficie de 22000 m² représente une conception en labyrinthe. Il est édifié autour d'une cour centrale de forme rectangulaire. L'aile Ouest englobe les espaces réservés au culte et aux cérémonies officielles. A la différence d'autres palais, dans l'aile Est, sont insérés les appartements royaux. Forteresse mycénienne : Vaste enceinte fortifiée, elle est construite en des endroits très difficiles d'accès. Dans la ville de Troie II, un ensemble de mégarons est bâti sur le sommet de la colline. Six grandes constructions organisées en longueur se côtoient en deux groupes parallèles. Pour marquer l'entrée, le plan du mégaron se transforme en propylée. La forme de la ville forteresse est circulaire avec remparts circulaires, les mégarons sont placés dans une situation permettant d'exercer le contrôle. c. Sanctuaire et temple Sanctuaire : la plus importante forteresse sanctuaire de l'Attique est au 12e siècle AJC l'Acropole d'Athènes. L'emplacement des temples dans ce lieu sacré ne suit aucun plan contraignant. Les portes monumentales (propylées) s'adaptent sans rapport direct avec le temple à un endroit convenable du mur du téménos. Temple : les temples primitifs (temple d'Apollon à Dreros) conserve la forme du mégaron mycénien. Les temples à péristyle présentent l'association des structures contrastées du mégaron fermé à orientation marquée et du péristyle ouvert sur tout son périmètre. Dans le noyau central du temple on remarque la construction orientée du mégaron tandis que son enveloppe présente un péristyle qui tend vers une uniformité esthétique. Le plan général est construit symétriquement aussi bien selon l'axe longitudinal que selon l'axe transversal. L'espace central appelé cella peut posséder une à trois nefs. En effet, des colonnades intérieures subdivisent en trois nefs la cella. A l'extérieur, ce qui donne au temple sa physionomie, c'est sa colonnade et son fronton. d. Les monuments de l'architecture civile Propylée : il constitue l'entrée à l'habitation royale ou au sanctuaire ; il se forme de vestibules antérieur et postérieur, chacun avec une colonnade dorique ou ionique ainsi qu'un mur de porche central. Le triangle du fronton se dresse en façade au-dessus de l'entrée. Théâtre : l'architecture des théâtres comme celle des propylées est une branche de l'art religieux des Grecs. Des gradins sans toiture, sont étagés sur le flan d'une colline suivant un plan concentrique. L'orchestre est une plate forme vide, réservé aux évolutions des chœurs. La scène proprement dite est une tribune étroite, isolée en avant d'une cour de service qui a pour fond une élégante colonnade dorique. Bouleutérion : c'est le siège du conseil de l'Etat et la commission exécutive. Il consiste en une salle rectangulaire avec des gradins en hauteur, sur les deux côtés. A la fin du Ve siècle AJC un autre type se dégage : une salle carrée avec des gradins en hauteur, disposés sur trois côtés, comme dans un théâtre. Stoa : espace d'échanges commerciaux, elle présente une longueur de 116,5 m et ferme le côté sud de l'agora. Haute de deux étages, elle est fondée sur un podium. Les galeries longitudinales desservent au niveau de chaque étage 21 boutiques. Conclusion : • conception de l'espace et évolution historique Les exemples ci-dessus ont montré que la caractérisation d' « hétérogène » s'applique à l'espace grec. - L'architecture sacrée grecque ne représente pas l'image d'un espace unique et global ; des significations particulières y sont symbolisées. - La forme de l'édifice individuel et le groupement de plusieurs de ces édifices se basent sur des principes d'organisation différente. - Le concept grec de l'espace est pluraliste. - L'interaction harmonieuse de plusieurs modes d'organisation spatiale dans l'architecture grecque classique résulte d'une évolution historique. - Le point de départ commun au temple et à l'habitation fut le simple mégaron se développant dans deux directions opposées. Le temple devient la manifestation d'un caractère bien défini alors que l'habitation évolue vers la différentiation fonctionnelle. IV/ Les ordres architectoniques a. Ordre dorique Les éléments caractéristiques de l'ordre dorique seront ainsi décrits : Soubassement : l'ordre repose sur un socle à forte saillie, fait d'assises en retraite qui règnent au pourtour de l'édifice. Au VIe siècle, ces assises de soubassement sont des escaliers (3 degrés). La dernière marche appelée stylobate sert de support aux colonnes. Colonne : leur degré d'élancement et leur espacement d'axe en axe déterminent le caractère plastic du temple. 1. /Base : cette plate-forme circulaire, observée au pied de la plupart des colonnes égyptiennes, n'existe dans l'ordre dorique qu'à titre exceptionnel. 2. /Fût : les fûts les plus anciens sont monolithes. On ne se décide que peu à peu à construire des fûts par tambours. Le diamètre décroît du pied du fût à son sommet. En surface, apparaissent des cannelures au nombre de 20 ou seulement 16 ; la section des cannelures est un arc de cercle très aplati et l'arête est en général vive. 3. /Chapiteau : il joue le rôle constructif de sous-poutre et, au point de vue décoratif, le rôle d'une transition entre la section circulaire du fût et les lignes droites de l'entablement. Il se compose de deux membres : un tailloir faisant sous-poutre ; une échine faisant raccord. Entablement (épistyle) : 1. Architrave : l'architrave, le poitrail qui porte les membres supérieurs de l'entablement, était de bois dans les temples primitifs. Vers le VIe siècle survient le changement des matériaux : une poutre de pierre prend la place d'un poitrail en charpente. La portée se réduit alors et l'architrave devient une poutre agissante. Sa décoration se réduit à un bandeau lisse. 2. Frise : interposée entre l'architrave et la corniche, elle est constituée par une alternance de triglyphes formant ou simulant une ossature, et de métope faisant office de remplissage. Les triglyphes sont des pillettes ou des monolithes ; et les métopes sont des dalles minces. Les triglyphes portent sur leur flanc des rainures verticales où les métopes se glissent à coulisse. Le tout donne une construction légère, chargeant peu l'architrave. Les métopes offrent une surface idéale pour les représentations figurées. Chaque métope offre un tableau. b. Ordre ionique Soubassement : C'est sous la forme d'un perron continu que se présente le soubassement des colonnades ioniques, avec 2 à 4 degrés. . Colonne : Avec ou sans podium les colonnes sont montées en trois parties 1. /Base : elle prend la forme, soit d'un disque ordinairement profilé, et débordant le fût, soit d'un disque reposant sur le soubassement par l'intermédiaire d'une plinthe carré. 2. /Fût : il est effilé et haut avec un léger rétrécissement au sommet. Ses cannelures sont au départ au nombre de 48, mais plus tard de 24 avec l'introduction de méplats. Ce qui donne un profil longiligne au fût. 3. /Chapiteau : Les premiers sont à feuilles enroulées, ensuite à volutes éoliennes. Entablement (épistyle) : Il s'agit d'un entablement mince dont les éléments sont une architrave à bandes, une frise sans triglyphe et une corniche peu saillante, sans mutules, généralement ornée d'une rangée de denticules. c. Ordre corinthien : se distingue par le chapiteau à corbeille de feuillage ; c'est une variété plus riche de l'ordre ionique. Conclusion : • les domaines propres des divers ordres, leurs rôles, leur association Le dorique, par son monumental aspect, est tout désigné comme l'ordre des très grands temples. C'est l'ordre ionique qui décore les édifices de modestes proportions. L'ordre corinthien convient aux édifices qui comportent l'élégance plus que la majesté. Dés le Ve siècle, l'ionique tend à devenir l'ordre des intérieurs (propylées d'Athènes p.ex.). L'ordre corinthien semble, par sa délicatesse, fait pour les intérieurs. Les ordres sont parfois superposés. Leur légèreté commande leur superposition. • l'articulation C'est l'ordre dorique qui a le mieux concrétisé la présence plastique du temple. Le caractère de l'ordre dorique peut exprimer une idée de poids enraciné dans la terre. Sans base les colonnes doriques reposent lourdement sur le sol et leurs fûts à cannelures semblent incarner la force musculaire masculine. L'ordre ionique personnifie la grâce et la beauté féminine. Le Corbusier disait « on s'est attendrit et on a fait de l'ionique ». V/ L'urbanisme L'ordonnancement urbain a comme référence désignée le système hippodamique (en référence à Hippodamos de Milet)/ - Le tracé des rues est régulier sous forme de damier. - L'occupation au sol est rationnelle. - Le réseau de voies se coupant à angle droit divise la ville en îlots (insulae) identiques. Conclusion générale La distribution géographique des styles répond à la répartition des races. A l'est de la Grèce l'ordre ionique règne sans partage ; l'occident du monde grec est le domaine du dorique. Et entre les deux groupes, la Grèce propre, où les deux races se sont mêlées, reste comme un foyer commun où les deux styles se perpétuent et se développent à la fois. L'Acropole d'Athènes n'appartient ni à l'un ni à l'autre, c'est l'art grec tout entier qu'elle résume. Copyright © 2011 Sample. All rights reserved. by TaOuRiRi DZ");sQ1[6]=new Array("https://epau.funpic.de/romaiane.html","architecture_egyptienne.html",""," cour + td bibliotique 1er anne hca mesopotamie architecture_egyptienne grecque romaine Islam 2emeanne 3 eme anne 4 eme anne 5 eme anne architecture atulie plan module logicial autocad 2011 archicad skushup email : pass : L'architecture romaine I/ Situation historique et géographique L'architecture romaine est essentiellement utilitaire : la construction des édifices est pour les Romains le moyens de domination. Pendant longtemps, on ne fit pas de distinction précise entre l'art grec et l'art romain. Par ailleurs, on ne peut pas associer l'architecture romaine à un type particulier d'édifice, comme ce fut le cas pour le temple dans l'architecture grecque. Celle-ci est le reflet d'une multitude d'édifices : terme, basilique, amphithéâtre,...etc. Leur base d'organisation est axiale, l'axe se présente comme une caractéristique distinctive de l'architecture romaine. Dans l'empire Romain, des éléments orthogonaux et rotatifs sont combinés pour former des totalités complexes, organisées axialement. L'axe romain se réfère généralement à un centre résultant le plus souvent d'une intersection d'axes. L'ordre orthogonal et axial renvoie à l'Egypte, mais en faisant d'un centre l'origine de cet ordre, les Romains transformèrent l'image statique des Egyptiens en celle dynamique, d'un univers. L'architecture romaine réside dans l'utilisation étendue et variée des espaces intérieurs, ce qui fera caractériser l'architecture romaine de spatiale en contraste avec celle plastique des Grecs. En général, les Romains traitent l'espace comme une matière à modeler et à articuler. Au lieu du système à entablement des Egyptiens et des Grecs, ils employèrent une sorte de béton qui fut coulé pour former des murs continus, des voûtes et des dômes. Les Romains adoptèrent les ordres classiques ; ils s'en servirent cependant d'une manière fondamentalement nouvelle : des éléments qui, auparavant, étaient structuraux, furent réduits à une utilisation décorative des surfaces. Le monde romain fut toujours centré sur la capitale : Rome. L'empire romain entame son expansion à la fin du IVe s AJC, suite à la libération des Romains de la royauté Etrusque (grecque). Il assoit son autorité sur l'ensemble du bassin méditerranéen jusqu'au sud de l'île britannique : la chute de Carthage au cours d'une lutte décisive ouvre à Rome la voie de la Méditerranée dans la seconde moitié du IIIe siècle. L'architecture et l'urbanisme suivent d'abord les modèles étrusques et grecs. A partir du IIe s se développent des modèles de construction spécifique. II/ Edifices et articulation L'intérêt romain pour l'espace comme moyen actif d'expression architecturale, les pousse à accorder l'importance principale aux espaces intérieurs ainsi qu'à l'intégration des édifices dans le cadre urbain. Dés le départ le temple romain fut conçu d'une manière totalement différente de celle des Grecs. Le temple de Jupiter, par exemple, avec ses colonnes relativement minces largement espacées, l'intervalle plus prononcé encore entre les colonnes centrales, afin de souligner l'axe longitudinal matérialisé en un escalier frontal menant à un podium majestueux, ne peut se comprendre comme un corps plastique, car il manifeste avec évidence une orientation frontale. Au cours de son évolution, le temple assimilera des éléments de l'architecture grecque tout en conservant ses traits originaux et même en les accentuant. En général, le temple romain n'est pas isolé mais relié par derrière aux murs d'enceinte d'un espace organisé axialement, et qu'il domine. Le fait qu'ils soient recouverts d'une voûte, le symbolisme cosmique de l'image spatiale se trouve complété. La maison à atrium illustre aussi le concept romain de l'espace. La chambre principale apparaît comme un espace centralisé, éclairée par le haut, traversé depuis l'entrée jusqu'au jardin péristyle à l'extrême opposée, par un axe longitudinal. L'isolement caractérise la maison grecque, tandis que la maison romaine, par sa disposition axiale, fait partie d'un système spatial global : elle est à la fois fermée et reliée à son entourage. Par ailleurs, l'articulation du mur romain ne correspond pas à la structure technique de l'édifice. Bien qu'apparaissent des éléments techniques tels que les arcs, le traitement formel dur mur cache la construction plutôt qu'il ne l'explique. III/ Typologie architecturale a. Habitat Les Grecs en Italie du Sud et les Etrusques en Italie centrale construisent les premières demeures urbaines. • La maison à atrium s'affirme au IVe s AVJ comme la maison typique de toute l'Italie. Les formes de l'atrium diffèrent par la construction du toit : dans l'atrium tétrastylcum, quatre colonnes soutiennent la charpente. L'augmentation des colonnes de soutien donnera naissance à l'atrium corinthien de type péristyle. Le compluvium est l'ouverture du toit, dont les pentes inclinées vers le bassin dans le sol de l'atrium évacuent l'eau de pluie. Le plan s'ordonne symétriquement autour de l'atrium. Le tablium s'ouvre largement vers l'atrium et une large baie le relie au jardin. • La maison à péristyle naît des besoins croissants d'espace. A cet effet, la maison à atrium sera combinée avec la maison pompéienne à péristyle. • L'insula : L'augmentation de la population depuis le IIe s AVJ, nécessite la réalisation de grands immeubles urbains. Les premiers bâtiments (insulae) sont réalisés par transformation et assemblage de maisons à atrium. Des escaliers indépendants permettent d'accéder à des appartements de ******** en étage (cenacula). Une partie du rez-de-chaussée est réservée à des boutiques et ateliers. b. Villa et palais • Villa : La ferme romaine, la villa rustica est à l'origine des nombreuses villae, à la campagne et à la ville. C'est une construction à trois ailes en péristyle qui forme un rectangle fermé. La villa à portique se compose d'un long bâtiment central rectangulaire, situé entre les ailes latérales, où des pavillons forment saillie. • Palais : Dans le palais de Dioclétien à Split, les murs sont fortifiés et présentent une hauteur de 18 m, tournés vers la campagne, sont flanqués de tours carrées ou orthogonales. Les portails sont protégés par des donjons et marquent les extrémités des axes. Les rues à colonnades, cardo et decumanus divisent le palais en quatre secteurs : Les troupes et l'administration logent au Nord ; au Sud, se trouve le mausolée et la cour du temple. c. Architecture religieuse • Sanctuaire : A l'exemple du sanctuaire de Jupiter érigé sur le Capitole à Rome. Les sanctuaires romains suivent le schéma grec-étrusque mais, ils sont élaborés suivant les règles géométriques. La place est dominée par un temple sur podium. • Temple : La construction sacrée romaine réunit des éléments étrusques et grecs. C'est la forme de base des temples. Elle trouve son origine dans le mégaron. • Basilique : Il s'agit d'un bâtiment à multiples usages : marché, banque, bourse, tribunal et lieu de rencontre. Elle fait partie du forum et adopte une forme rectangulaire. Le progrès de la technique des voûtes permet d'abandonner la position serrée des colonnes et de passer à des conceptions larges de l'aménagement des espaces. d. Architecture utilitaire • Thermes : Les thermes avec leurs bassins et leurs piscines à différentes températures sont des établissements publics dans toutes les villes de l'Empire. A partir du bain, se développent des centres de relaxation destinés à la population : sport, jeu, ...etc. Les composantes du bain sont : - Vestiaires et salles de repos (apodyterium) - Piscine ouverte (natatio) - Bains chauds (caldarium) - Etuve (sudatorium) - Bain froid (frigidarium) Le schéma classique du bain romain : apodyterium ? tepidarium ? caldarium • Théâtre et amphithéatre : Contrairement aux grecques, le théâtre romain n'a pas de relation avec le fait religieux. La pièce de théâtre vise uniquement à distraire le public. Parmi les jeux et les exhibitions, se sont les combats de gladiateurs. Les lieux où se déroulent ces spectacles sont en général des amphithéâtres : tribune et arène. • Bâtiments commerciaux : A l'exemple de huileries ou encore de Marché de Trajan à Rome qui est constitué de six niveaux s'adossant à la colline du Quirinal. • Travaux routiers et hydrauliques : La construction d'un réseau routier stratégique (routes et ponts) débute en 312 AVJ. Qu'il s'agisse de pont ou d'aqueduc nécessaire à l'alimentation d'eau, l'élément à la base de leur structure est un arc appareillé en pierre que l'on superpose. • Panthéon : Le Panthéon réalise pleinement la conception de l'édifice à salle centrale entamé en 118. En plus du lieu de culte, il est aussi le tribunal. La forme de coupole correspond dans sa symbolique complexe à l'union de la fonction de culte et de l'Etat. Conclusion : • Conception de l'espace et évolution historique Quelle que fût la tâche de construction ou le niveau de l'environnement, les Romains utilisèrent toujours la même image spatiale fondamentale. Cette image représentait un ordre universel synthétisé à partir, d'une part, de certains phénomènes naturels, tels que les points cardinaux et, d'autre part, de symboles très anciens comme la verticale « spirituelle » et l'horizontale « profane » et les concepts de centre et de parcours. L La caractérisation la plus évidente de l'architecture romaine et son uniformité. • Signification et architecture L'organisation romaine se fondait sur une attitude religieuse. Alors que nous ignorons la date de fondation des édifices grecs importants, tous les monuments romains furent construits à l'occasion d'événements historiques. L'environnement construit devient donc une concrétisation de l'état romain spatial et historique. IV/ Formes architectoniques : construction et décor a. Ordre toscan L'ordre toscan s'inspire de l'architecture dorique. Les colonnes toscanes sans cannelures se dressent sur une base formée d'une plinthe et d'un tore. Les chapiteaux présentent différentes variantes du modèle dorique. Sous la République, la préférence va à l'ordre dorique alors que sous l'Empire est retenu b. Ordre composite La forme flexible et végétale du chapiteau corinthien se combine à l'occasion avec des éléments du chapiteau ionique pour donner naissance aux chapiteaux de l'ordre composite. c. L'arc et son utilisation L'arc sans appui surmonte les ouvertures faites dans la maçonnerie. Les Romains associent la colonne et l'arc pour des raisons formelles. On assiste à une fusion progressive d'éléments hétérogènes qui se révèle à l'extérieur de l'amphithéâtre. Conclusion : • La superposition des ordres et leur application à l'arcade L'exemple le mieux connu de l'utilisation romaine des ordres est ce qu'on appelle la « surimposition », où des colonnes doriques, ioniques et corinthiens, des, des demi-colonnes ou pilastres étaient placés les uns au-dessus des autres. La colonne dorique, porte l'ionique plus gracieuse qui, à son tour, soutient le mince corinthien. V/ L'urbanisme Le principe d'orthogonalité, symbole de l'ordre cosmique, inspire les grandes structures de la Rome antique et des villes romaines. C'est encore lui que l'on utilise pour le partage des terrains ou le tracé des plans d'urbanisme. L'urbanisme romain est n'est du développement des camps. Les Romains utilisèrent dans le tracé des villes camps la « grille hippodamique » en référence à l'urbanisme grec. Le tracé réticulaire conduit dans presque tous les cas à une forme rectangulaire, composée sur deux axes : - le premier est orienté est-ouest, il a une largeur de 14 à 15 m (mais peut atteindre 30 m) et est appelé « decumanus ». - le second, perpendiculaire au premier a une largeur de 7 à 8 m. Des voies secondaires parallèles ou perpendiculaires aux deux axes majeurs, d'une largeur minimum de 2,50 m et espacées les uns des autres de 60 à 70 m, complètent la trame viaire et délimite des « insulae » de périmètre carré ou rectangulaire. Au point de l'intersection des deux axes, se trouvait le forum qui représente l'aire des activités publiques. Conclusion générale Pour Rome l'architecture était l'expression de la puissance. L'Etat, qui avait un monopole sur les matériaux et disposait de ses propres briqueteries, faisait édifier par l'armée des bâtiments publics à travers tout l'empire. L'arc fut l'élément le plus marquant de l'architecture romaine. En appliquant leur technique de construction des voûtes et des coupoles à une échelle sans cesse plus grande, les Romains réussissent à créer de grandes salles sans supports intermédiaires. Copyright © 2011 Sample. All rights reserved. by TaOuRiRi DZ");sQ1[7]=new Array("https://epau.funpic.de/Islam.html","Architecture en terres d'Islam","","cour + td bibliotique 1er anne hca mesopotamie architecture_egyptienne grecque romaine Islam 2emeanne 3 eme anne 4 eme anne 5 eme anne architecture atulie plan module logicial autocad 2011 archicad skushup email : pass : Architecture en terres d'Islam Architecture en terres d'Islam I/ Aire géographique et historique : L'architecture de la période musulmane, dont l'apparition date du VIIe siècle, remonte à la source d'où les procédés des territoires conquis sont issus. En s'inspirant des principes qui avaient dominé notamment l'architecture grecque, romaine et persane, il est arrivé à des combinaisons, à des formes entièrement étrangères à ces Empires. Le berceau de l'architecture, pendant les VIIe et VIIIe est à Damas et au Caire ; vers le IXe siècle il se transporte à Bagdad puis à Cordoue. II/ L'urbanisme : L'islam est une religion citadine qui se fonde sur la mosquée qui est le centre de la vie urbaine. 1- Les villes créées : Anjar et Baghdad Les Omeyades s'inspirent des édifices romano-byzantins et assimilent également les principes urbanistique romains lorsqu'ils fondèrent de nouvelles cités. La ville d'Anjar (nouvelle ville dessinée suivant le plan carre de la ville romaine partagée en 4 parts par le Decumanus et le Cardo. Bagdad, capital des Abbassides, est fondée sur un plan circulaire, mesurant 2.6 Km de diamètre ; elle comportait trois enceintes concentriques. Les quartiers d'habitations étaient circonscrits entre la 2ème et la 3ème enceinte, Ils étaient distribués par une surface annulaire et partagés en sections rayonnantes. Quatre portes donnaient accès à la cite. De longs bazars couverts de voutes suivaient les 4 axes de pénétration à partir des portes fortifiées. Le centre politico-administratif et religieux est séparé des quartiers résidentiels par la dernière enceinte et par une vaste étendue de jardins. On y trouvait le palais et la Grande Mosquée, construite en briques crues et cuites. 2- Ville camps : Kairouan et Fustat La ville camp est d'implantation militaire née des impératifs de conquêtes et d'islamisation de nouveau territoires (futuhât). Les emplacements de militaires par ethnies (Khitat) donnera naissances aux quartiers. 3- Ville fonde sur une structure antique : Damas, Alep, Alger Ces villes s'appliquent sur la structure viaires antiques et remploi les fondations, les matériaux, voire les édifices encore conservés. 4- La ville palatine: Abbassia, Madinat El Zahra Al-Abbassiya Raqqada, Madinat Al Zahra sont des structures fortifiées, se composant d'un palais avec hammam, des marches, d'une Grande Mosquée, d'un Hôtel de la Monnaie (dar el-dahab) et d'une esplanade (maydan) servant d'hippodrome pour les défilés de troupes. II/ Composition de la ville : 1- Zone publique : Centre religieux et culturel, commerces, centre politico-administratif. 2- Quartier résidentiel (Hara, Houma) 3- Dispositif de défense. 4- Infrastructures et espaces de services en position périphérique. III/ Le Palais : Khirbat al (Mafdjar) (739-743) Il comporte plusieurs parties entourées d'une enceinte à tours rondes ou semi-circulaires. IV/ Les Mosquées Composantes des mosquées Salle de prière Elle adopte généralement un plan rectangulaire et se décompose en nefs et travées La cour, ses bassins et ses fontaines aux ablutions : Des éléments qui participent largement à la composition architecturale de la cour. Ils se trouvent généralement au centre de la composition. Qibla et mihrab : La Qibla indique la direction vers la Mecque en revanche le mihrab signale l'emplacement de la qibla dans la mosquée. Son emplacement est privilégié en général dans l'axe de l'édifice, les nefs sont soit parallèles ou perpendiculaires au mur de Qibla. La nef principale menant au mihrab est plus large et plus haute est couverte par une ou plusieurs coupoles. - Il peut se trouver plusieurs mihrabs sur le mur de qibla (Grande Mosquée de Cordoue) - Dans Les mosquées à iwans, La qibla est le mur (de fond d'un des iwans) - L'axe de mihrab est parfois marquée par le même que celui du minaret (Ibn Touloun au Caire, Grande Mosquée de Samarra). - Le mihrab est particulièrement décoré de marbre, stuc ou tapissé de céramique. Le Minbar : Le minbar originel fait référence à l'escabeau en bois utilisé pour la première fois dans la mosquée de Médine par le prophète (Muhammad qsl) محمد صلى الله عليه وسلم. Ce meuble en bois à l'origine, sera ensuite construit en marbre. Galeries portiques : Elles ceinturent les cours sur un ou plusieurs côtés, elles peuvent compter un ou plusieurs travées et sert même d'une extension à la salle de prière. L'Iwan : Salle voûtée en berceau, fermée sur 3 côtés et s'ouvrent sur le 4ème par un arc son origine se situe dans le Khorasan (Iran) et entoure les faces intérieures de la cour. S'il se trouve a l'entrée : Elément formant la portait d'entrée sur la façade principale, il est appelé « pichtage ». Les types de mosquées ( 1. Mosquée hypostyle de tradition arabe. 2. Mosquée à iwân d'influences persanes La mosquée du vendredi à Ispahan Sa première fondation remonte à l'époque abbasside, mosquée hypostyle, elle ressemble à la première mosquée de Médine avec ces deux salles nées du changement d'orientation de la Qibla. Les seldjoukides ont intervenu à 3 reprises sur l'agrandissement et l'embellissement de cette mosquée et la dotent des caracéristiques suivantes : Elle se caractérise par une cour à • Présence de 4 iwans aménagée a partir du XIIe siècle. • Existence d'une nette hiérarchie des iwans : les seldjoukides ménagent au milieu de chaque façade sur cour, un grand iwan. Le plus important même vers la salle de prière et par conséquent le mihrab. • La mosquée à 4 iwans détermine une double symétrie axiale .cette disposition sera adoptée pour les madrasas. 3. Mosquée à plan carrés ottomanes Madrasa de l'époque seldjoukide: A` partir du XIe siècle les deux fonctions de prières et d'enseignement furent séparées au sein de la mosquée. D'où la naissance de la madrassa réservée à l'enseignement des sciences religieuses et de la jurisprudence Au XIIe elles se répandirent en Syrie et en Egypte puis au XIIIe en Anatolie et au Maghreb, Le plan de la madrassa reflète nettement celui de la mosquée persane à Iwans. On trouve le plus souvent autour de la cour carrée, dans l'axe de chaque côté 1 a 4 iwans. Les iwans servent à l'enseignement et les cellules réservées aux étudiants sont reparties entre eux sur 1 ou 2 niveaux. La salle de prière avec son mihrab est située dans l'iwan sud, en direction de la Mecque. Au Maghreb, les cellules des étudiants occupent seulement les deux côtés latéraux .La salle de prière à une position privilégiée prenant la totalité de l'espace central en face de l'entrée. Les madrasas en orient sont des monuments qui se dégagent dans la ville avec leurs façades imposantes. En occident elles font plutôt parties du quartier, s'intégrant à l'ensemble architectural seul un auvent richement décoré permet de la distinguer. Elle peut être adjacente à une mosquée, ou peut servir de lieu de culte avec son minaret pour le quartier. La madrasa du sultan Hassan : Fondée a l'époque Mamelouk, en 1356/1363, mesurant 150 m x 70 m. la coupole du mausolée culmine a plus de 50 m et le minaret avoisine 80 m de hauteur. La Medersa proprement dite est caractérisée par une double axialité, la cour comporte 3 iwans identiques, celui orienté vers le sud (la Mecque) est plus important, il précède la salle de prière (21 m x 27 m et 26 m d'hauteur). Sa conception est née à partir de la cour (du dedans). A l angle nord-est s'élève le grand portail d entrée à stalactites. Articulation axiale entre la medersa et le mausolée car ce dernier est disposé dans la stricte axialité de la cour. C'est une structure qui permet de mettre en place l enseignement des 4 rites sunnites orthodoxes Les éléments architectoniques et de décors Les stalactites Le passage du plan carré au cercle formant la base de la coupole se fait à l'aide de pendentifs ou de trompes. Le pendentif issu de l'architecture byzantine marque l'intersection d'une demi-sphère avec un cube. Trompes : arc en plein cintre. Les Turcs et les Indiens ont exploité une autre solution : les stalactites ou le système alvéolaire. La construction des stalactites étaient matérialisé par la disposition des briques ou des pierres en saillies : formation de cubes décalés que l'on remplissait de stuc. Copyright © 2011 Sample. All rights reserved. by TaOuRiRi DZ");sQ1[8]=new Array("https://epau.funpic.de/atulie.html","Untitled Page","","cour + td bibliotique 1er anne hca mesopotamie architecture_egyptienne grecque romaine Islam 2emeanne 3 eme anne 4 eme anne 5 eme anne architecture atulie plan module logicial autocad 2011 archicad skushup email : pass : Copyright © 2011 Sample. All rights reserved. by TaOuRiRi DZ");sQ1[9]=new Array("https://epau.funpic.de/soft.html","soft architecture","","cour + td bibliotique 1er anne hca mesopotamie architecture_egyptienne grecque romaine Islam 2emeanne 3 eme anne 4 eme anne 5 eme anne architecture atulie plan module logicial autocad 2011 archicad skushup email : pass : Copyright © 2011 Sample. All rights reserved. by TaOuRiRi DZ");sQ1[10]=new Array("https://epau.funpic.de/taouriri/photoshop/cour1.html","Untitled Page","","");sQ1[11]=new Array("https://epau.funpic.de/taouriri/gddow.html","epau downald by TaOuRiRi","","*GéOMETRIE DESCRIPTIVE");sQ1[12]=new Array("https://epau.funpic.de/taouriri/dow.html","epau downald by TaOuRiRi","","* NEUFERT8 fr Auteur: Ernst Neyfert | Edition: Dunod | French | 18 novembre 1996 | ISBN-10: 2100027166 | PDF | 557 Pages | 282 Mo Plus de cinquante ans après la parution de sa première édition en Allemagne, le livre Les Eléments des projets de construction, plus connu sous le nom de &quot; NEUFERT &quot;, du nom de son auteur, est le classique obligé des étudiants et des professionnels du bâtiment. Il fournit les bases méthodologiques et un recueil extrêmement riche d'exemples et de mesures pour tous les problèmes qui peuvent être posés au concepteur, de l'aménagement d'une cuisine au tracé d'une voie de transport en passant par l'organisation des divers types de programmes, du logement à l'équipement collectif le plus complexe. Avec de nombreux tableaux et plus de 6000 dessins rigoureusement légendés et cotés, le NEUFERT est un véritable guide pratique de conception : sa place est sur la table à dessin et non dans la bibliothèque. Cette septième édition en langue française - qui reprend la trente-troisième édition en langue allemande - paraît treize ans après la précédente. C'est dire l'ampleur des changements dans la technique de construction qu'elle prend en compte. L'organisation des chapitres a été revue : la lecture est considérablement facilitée par un système d'onglets repérant les 42 grandes rubriques thématiques qui structurent l'ouvrage. Enfin la bibliographie a été entièrement refondue et adaptée au public français..");sQ1[13]=new Array("https://epau.funpic.de/taouriri/nerdow.html","epau downald by TaOuRiRi","","* les TD de GD 6 TD TD 3 TD 4 TD 1 TD 5 TD 2 TD 6");sQ1[14]=new Array("https://epau.funpic.de/taouriri/RDMDOW.html","epau downald by TaOuRiRi","","*RESISTANCE DES MATERIAUX DE BASE");var sQb=0;var sQc=1;var sQd=2;var sQe=3;var sQf=4;var sQg=5;var sQh=6;var sQi=7;var sQj=8;var sQk;var sQdl;var sQm;var sQn; var sQ98 ; var sQB=true;var sQC=1;var sQE=2;var sQD=3;var sQF=4;var sQP=false;var sQQ=true;var sQ46=true;var sQ83=true;var sQ73=true;var sQ14=true;var sQ17=false;var sQ90=-1;var sQ45=0;var sQT;var sQ38=""; function SMPSetFocus() { document.formSearch.txtSearch.focus(); }
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