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Algeriens celebres

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قديم 2011-03-25, 18:57   رقم المشاركة : 1
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amazighe15
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افتراضي Algeriens celebres

Biographie de Taos AMROUCHe

:
Marie Louise Taos Amrouche est une grande artiste amazigh-kabyle, écrivain d'expression française et interprète de chants traditionnels kabyles. Elle est née le 4 mars 1913 à Tunis[réf. nécessaire], et morte le 2 avril 1976 à Saint-Michel-l'Observatoire en France.

Taos, fille de Fadhma Aït Mansour Amrouche et sœur de Jean-El Mouhoub Amrouche, est la première femme algérienne romancière, avec Jacinthe noire, publié en 1947. Son œuvre littéraire, écrite dans un style très vif, est largement inspirée de la culture orale dont elle est imprégnée, et de son expérience de femme. En signe de reconnaissance envers sa mère, Marguerite-Fadhma Aït Mansour, qui lui a légué tant de chansons, contes et éléments du patrimoine oral, elle signe Marguerite-Taos le recueil Le Grain magique, en joignant à son prénom celui de la mère.

.

Taos Amrouche a œuvré pour la culture amazigh : elle participe à la fondation de l'Académie berbère à Paris en 1966.









 


آخر تعديل أم أشـرف 2014-07-23 في 12:59.
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قديم 2011-03-25, 18:58   رقم المشاركة : 2
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amazighe15
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Œuvres Taos Amrouche
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Œuvres littéraires

* Jacinthe noire, roman, 1947.
* Le Grain magique, recueil de contes et de poèmes, 1966.
* Rue des tambourins, roman, 1969.
* L'Amant imaginaire, roman autobiographique, 1975.
* Solitude ma mère, roman posthume, 1995.










آخر تعديل أم أشـرف 2014-07-23 في 12:59.
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Biographie de Rachid MIMOUNI :
né le 20 novembre 1945 à Boudouaou (Alma) (à 30 km à l'est d'Alger), mort à Paris le 12 février 1995 d'une hépatite aigüe.

Il étudie les sciences à l'Université d'Alger avant d'enseigner à l'École supérieure du commerce. Président de la Fondation Kateb Yacine, il a également occupé le poste de vice-président d'Amnesty International.

Auteur réaliste, il a décrit la société algérienne. En 1993, il quitte sa ville Boumerdès et son pays en proie à la guerre civile et à l'assassinat d'intellectuels. Rachid Mimouni reste l'auteur algérien le plus récompensé à ce jour.

Œuvres principales

* « Le printemps n'en sera que plus beau » (1978)
* « Le Fleuve détourné » (1982)
* « Une peine à vivre » (1983)
* « Tombéza » (1984)
* « L'Honneur de la tribu » (1989)
* « La ceinture de l'ogresse » (1990)
* « Une peine à vivre » (1991)
* « De la barbarie en général et de l'intégrisme en particulier » (1992)
* « La Malediction » (1993)

Prix littéraires

* Prix de l'Amitié Franco-Arabe pour « L'honneur de la tribu » (1990)
* Prix de la critique littéraire : Ruban de la francophonie pour « L'honneur de la tribu » (1990)
* Prix de littérature-cinéma du festival international du film à Cannes pour « L'honneur de la
tribu » (1990)
* Prix de l'Académie Française pour « La ceinture de l'ogresse » (1991)
* Prix Hassan II des Quatre Jurys pour l'ensemble de l'œuvre (1992)
* Prix Albert Camus pour « Une peine à vivre et De la barbarie en général et de l’intégrisme en
particulier » (1993)
* Prix du Levant pour « La malédiction » (1993)
* Prix Liberté Littéraire pour « La malédiction » (1994)
* Prix spécial Grand Atlas pour l'ensemble de son œuvre (1995)










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قديم 2011-03-25, 19:08   رقم المشاركة : 4
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salut
bon merci pour cette biographie
je la connais pas au par avant
j'ai bien aimé ta description
MAIS
la définition
ou bien les infos que vous les avez amené
je pense qu'il y a plusieurs choses entre les lignes !!!!
vous avez autres choses a dire
!!!!
pcq j'ai trouvé que la définition porte
des points obscure

wa allaho a3lam


merciiiii amazigh 15

salaaaaaaaaam










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قديم 2011-03-25, 19:10   رقم المشاركة : 5
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افتراضي

a bon
pardon pour le premier commentaire
j'ai cru que vous avez terminé la biogr. merciii
un autre fois
amazigh 15

salaaaaaaaam










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قديم 2011-03-25, 19:10   رقم المشاركة : 6
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amazighe15
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Houari BOUMÉDIÈNE

:
de son vrai nom Mohamed Ben Brahim Boukharouba était un militaire promu colonel et un homme politique, qui est né le 23 août 1932 à Guelma et mort le 27 décembre 1978 à Alger.Il vécut dans une famille berbère pauvre du Constantinois, Boumédiène connut déjà très jeune les événements sanglants du 8 mai 1945 à Sétif et à Guelma, dont il dit plus tard : « Ce jour-là, j'ai vieilli prématurément. L'adolescent que j'étais est devenu un homme. Ce jour-là, le monde a basculé. Même les ancêtres ont bougé sous terre. Et les enfants ont compris qu'il faudrait se battre les armes à la main pour devenir des hommes libres. Personne ne peut oublier ce jour-là. »

Durant les années quarante, il entreprit des études coraniques à l'institut Kettania de Constantine, puis les poursuivit à l'institut Zitouna de Tunis ; il se dirigea par la suite vers l'institut al-Azhar du Caire.

En 1955, il retourne en Algérie où il rejoint les rangs de l'ALN (Armée de libération nationale). Très vite, il se fait remarquer et occupe le poste de Chef d'état-major. Une fois l'indépendance acquise, il devint vice-président et ministre de la Défense du Conseil de la Révolution qui est alors présidé par Ben Bella. Ne partageant pas les orientations politiques de ce dernier, il décide le 19 juin 1965 de mener un coup d'État au terme duquel il devient le nouveau président de l'Algérie. Sous sa direction, il entreprit plusieurs actions en vue d'estomper sur le plan intérieur, les tensions nées de la guerre d'indépendance. En 1968, il réussit à faire évacuer la dernière base militaire occupée par la France à Mers el Kébir (Oran) ; alors que sur le plan économique, il opte pour le modèle socialiste, il construisit sur la base de ce choix beaucoup d'usines et d'écoles, et contribua surtout, le 24 février 1971, au nom du principe de la récupération des richesses nationales, à la nationalisation des hydrocarbures, au grand dam de la France.

Cette nationalisation réussie conféra à Boumédiène une importante dimension internationale; En effet, Boumédiène venait de réussir là où l'Iranien Mossadegh avait échoué. L’année 1973 lui donne une nouvelle fois l’occasion d’affirmer son influence sur le plan international en organisant avec succès le sommet des non-alignés auquel les plus grands dirigeants du Tiers-Monde de l’époque ont assisté, il s’en suit dès lors une période durant laquelle l’Algérie de Boumédiène offrit un soutien très actif aux différents mouvements de libération d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine, et c’est en véritable leader du Tiers Monde qu’il se déplaça en 1974 à New York, pour prendre part à une réunion spéciale de l’Assemblée générale de l’ONU sur les matières premières qu’il a lui-même convoquée au nom des non-alignés, il prononça à cette occasion un discours par lequel il exposa une doctrine économique, appelant entre autres à l’établissement d’un nouvel ordre économique international plus juste, qui prendrait en compte les intérêts du Tiers Monde. En 1975 il accueille le premier sommet de l'OPEP par le biais duquel les membres du cartel ont pu définir une politique pétrolière concertée. Dans le sillage de cette même réunion, il parvint à sceller la paix entre l'Iran du Chah et l'Irak de Saddam Hussein. Sur le plan intérieur, il fit voter en 1976 une charte en vertu de laquelle il promulgue la constitution d'une Assemblée législative ainsi que la création du poste de président de la République, soumis au suffrage universel.

À partir de l'année 1978, les apparitions publiques du président Houari Boumédiène se font de plus en plus rares, il s'est avéré qu'il souffrait d'une maladie du sang, la maladie de Waldenström, mais il reste que très peu de choses ont été dites à propos des circonstances qui entourent sa mort, qui survint le 27 décembre 1978.

Selon d'autres sources, les premiers ressentis de la maladie de Houari Boumédiene furent lors de son voyage du 20 septembre 1978 à Damas (Syrie) où, alors qu'il était accompagné de Taleb-Ibrahimi et de Bouteflika, ces derniers avaient remarqué sa fatigue inhabituelle. Le diagnostic avancé dès lors était « une hématurie avec tumeur maligne de la vessie ». Pour cela il choisit de se faire traiter en URSS du 29 septembre au 14 novembre 1978. Le 12 octobre, lors de la visite de son jeune frère Said venu le voir à Moscou, Boumediène n'apprécie pas que le voyage de son frère soit financé par de l'argent public et demande aussitôt qu'il soit retenu sur le salaire du président. Quelques jours après, il sera hospitalisé à l'hôpital d'Alger Mustapha Bacha où il décédera le 27 décembre 1978 à 4 heures du matin avec deux hématomes dans le cerveau. Les funérailles officielles auront lieu le 29 décembre 1978 au cimetière d' El Alia (à Alger).[5]

Selon l'ex-ministre des Affaires étrangère irakien Hamed Jabori, Boumédienne a été empoisonné par les services irakiens avec du thallium[6].










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قديم 2011-03-25, 19:30   رقم المشاركة : 7
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RAMDANE Abane

Né le 10 juin 1920
Décédé le 27 décembre 1957 (à l'âge de 37 ans)
Abane Ramdane (en Kabyle: Ɛaban Ramdan) (1920 - 1957) était un homme politique algérien qui joua notamment un rôle essentiel dans l'histoire de la révolution algérienne, et est considéré aujourd'hui encore comme le dirigeant « le plus politique » du FLN, surnommé « l'architecte de la révolution ».

Principal organisateur avec Larbi Ben M'hidi du congrès de la Soummam, il trace les grandes lignes du mouvement révolutionnaire consistant à créer un État dans lequel l'élément politique l'emporte sur l'élément militaire, et a opté pour le pluralisme politique et linguistique en Algérie. Victime des luttes internes entres les colonels, partisans du pouvoir militaire, et les défenseurs du primat accordé au politique, il est assassiné sur l'ordre des « colonels » du CCE en 1957.

Né le 10 juin 1920 à Azouza dans la commune de Larbaâ Nath Irathen, appelée alors Fort National (Tizi-Ouzou), dans une famille modeste. Il obtient le baccalauréat mathématiques avec mention «Bien» en 1941 au lycée Duveyrier de Blida. Au contact d'autres jeunes Algériens, il se forge alors et se cimente une conscience politique et nationale, dans une société villageoise rongée par la pauvreté et la misère.

Abane est ensuite mobilisé et affecté pendant la Seconde Guerre mondiale, avec le grade de sous-officier, dans un régiment de tirailleurs algériens stationné à Blida, en attendant le départ pour l'Italie. Démobilisé, il entre au Parti du peuple algérien (PPA) et milite activement tout en travaillant comme secrétaire de la commune mixte de Châteaudun du Rhummel (Chelghoum Laïd).

Fortement marqué par les massacres du 8 mai 1945, il abandonne ses fonctions, rompt définitivement avec l'administration coloniale et entre en clandestinité pour se consacrer à « la cause nationale » au sein du PPA-MTLD. Il est désigné, en 1948, comme chef de wilaya, d'abord dans la région de Sétif, puis dans l'Oranie. Durant cette période, il est également membre de l'Organisation spéciale (OS), bras armé du Parti, chargé de préparer la Révolution.

Recherché par la police française dans l'affaire dite du « complot de l'OS » (1950), il est arrêté quelques mois plus tard dans l'ouest du pays. Il est jugé en 1951, après avoir subi plusieurs semaines d'interrogatoire et de torture, et condamné à 5 ans de prison, 10 ans d'interdiction de séjour, 10 ans de privation des droits civiques et 500 000 francs d'amende pour « atteinte à la sûreté intérieure de l'État ».
Commence alors un long calvaire dans les prisons d'Algérie (Bougie, Barberousse, Maison Carrée) et de métropole. Après un court séjour aux Baumettes (Bouches-du-Rhône]) au début de l'année 1952, il est transféré à Ensisheim (Haut-Rhin, Alsace) dans une prison de haute sécurité. Soumis à un régime de détention, de droit commun, extrêmement sévère, il entame l'une longue grève de la faim. À l'article de la mort, il est soigné et sauvé in-extremis, et obtient gain de cause.

Prisonnier politique, il est transféré en 1953 à la prison d'Albi dans le Tarn (sud-ouest de la France) où le régime carcéral, plus souple, lui permet de s'adonner à son loisir favori, la lecture, qui lui permet de forger sa culture et sa formation politiques. Il y découvre, notamment, la condition injuste et dramatique faite à la nation irlandaise, à maints égards semblable à celle que subit le peuple algérien depuis plus d'un siècle, et le sort d'Éamon de Valera qui connut, comme lui, les geôles britanniques.

Transféré à la prison de Maison Carrée au cours de l'été 1954, il est régulièrement tenu au courant des préparatifs de Novembre 1954. Il est même désigné d'office comme l'un des douze membres d'un comité chargé de prendre en mains les destinées de la résistance algérienne contre le régime français, pour l'indépendance de l'Algérie.

C'est à ce titre que les dirigeants de la zone III (Kabylie, future Wilaya III historique) prennent contact avec lui quelques jours après sa sortie de prison, le 18 janvier 1955, alors qu'il est assigné à résidence à Azouza. Après quelques jours passés auprès de sa mère paralysée, il quitte Azouza, entre en clandestinité et prend en charge la direction politique de la capitale. Son appel du 1er avril 1955 à l'union et à l'engagement du peuple algérien, signe l'acte de naissance d'un véritable Front de libération et son émergence en tant que mouvement national. Il y affirme son credo unitaire, « la libération de l'Algérie sera l'œuvre de tous », qu'il n'aura de cesse que de mettre en œuvre.

Il obtient vite une grande influence dans direction intérieure installée à Alger. Chargé des questions d'animation de la « Révolution » au niveau national en assurant la coordination inter-wilaya, il anime également la liaison avec la Délégation Extérieure du FLN établie au Caire, les fédérations de France, de Tunisie et du Maroc. Il a ainsi, la haute main sur toutes les grandes questions d'ordre national et international.
Il consacre également son énergie à organiser et à rationaliser la lutte, et à rassembler toutes les forces politiques algériennes au sein du FLN pour donner à la « rébellion » du 1er novembre la dimension d'un grand mouvement de résistance nationale. Secondé par Ben Youcef Ben Khedda, il impulse la création d'El Moudjahid, le journal clandestin de la Révolution, de l'hymne national Kassaman (en contactant lui-même le grand poète Moufdi Zakaria), appuie la naissance des organisations syndicales ouvrière (UGTA), commerçante (UGCA) et estudiantine (UGEMA), qui deviendront, elles aussi, un terreau pour la Révolution.

Il met également en chantier et supervise la rédaction d'une base doctrinale destinée à compléter et à affiner les objectifs contenus dans la Proclamation du 1er Novembre 1954. Appuyé par Larbi Ben M'hidi, il fait adopter au Congrès de la Soummam du 20 août 1956 un statut pour l'armée de libération nationale (ALN) devant se soumettre aux « lois de la guerre », et surtout, devenir une plateforme politique dans laquelle est affirmée la « primauté du politique sur le militaire et de l'intérieur sur l'extérieur ». Il est désigné comme l'un des 5 membres d'un directoire politique national, le Comité de Coordination et d'Exécution (CCE), chargés de coordonner la « Révolution » et d'exécuter les directives de son conseil national (CNRA) créé à cet effet.

C'est Abane Radmane qui décide avec Larbi Ben M'Hidi et Yacef Saadi de déclencher la bataille d'Alger, durant laquelle, chargé avec Ben M'hidi de superviser l'action militaire, il coordonne l'action et la propagande politiques en direction de la population algérienne.
En mars 1957, après l'arrestation et l'assassinat de Ben M'hidi, et la traque de Yacef Saadi, les réseaux FLN à Alger, poussés par la 10e division parachutiste du général Massu, s'effondrent. Abane avec les trois autres membres du CCE doivent alors quitter la ville.

Il gagne Tunis via le Maroc, après une longue marche de plus d'un mois, et la traversée de tout l'ouest algérien. Dans la capitale tunisienne, il se heurte aux colonels de l'ALN. À ces derniers qui investissent en force les organes dirigeants de la Révolution (CCE et CNRA), il reproche une dérive autoritariste et l'abandon de la primauté du politique et de l'intérieur, adoptée à la Soummam, ce qui lui vaut des inimitiés.

Attiré dans un guet-apens organisé par les colonels du CCE (Krim Belkacem, Abdelhafid Boussouf, Lakhdar Ben Tobbal…) encouragés par Ben Bella alors détenu à la prison de la Santé, il est assassiné le 27 décembre 1957 dans une ferme proche de la ville marocaine de Tétouan. Son corps, disparu, est symboliquement rapatrié en Algérie, en 1984, pour être "inhumé" au carré des martyrs du cimetière d'El Alia, à Alger.










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