Khedira/Juifistes : H.B.R.C. : Tortures - N°86 : Entraves des plaintes judiciaires.
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TORTURES - N°86
(v.: 1.01)
Il s'agit de la description d'un fait de torture rentrant dans le cadre d'un ensemble d'actes d'atrocités et de barbaries commis à mes dépens par les juifistes (ou sous leur instigation), plus particulièrement français, le long de très longues années en faisant principalement usage d'un système de type "Mind Control" (système HBRC). Ces faits relatés ne sont qu'une part de la vérité, car la réalité dépasse toute imagination, les juifistes sont les êtres les plus criminels et les plus abjects qui puisse exister sur terre, toutes les dénonciations qu'on peut lire ici et là-bas à propos des juifistes sont bien incomplètes pour expliquer ce que c'est un juifiste. De plus, les crimes commis dans le cadre de mon affaire dépassent toute imagination, sont en bonne partie inédits, et ceux qui auront la chance de croire ou de saisir le sens de leur authenticité pourront comprendre la corruption que sèment de nos jours les juifistes sur terre ainsi que leur élévation dans le domaine de tout ce qui est crime.
"DEBUT:"
ELEMENTS D'UN TYPE D'ACTE DE TORTURE
INTITULE ou REFERENCE: Entraves des plaintes judiciaires.
AUTEURS: Juifistes.
TYPE: Torture Mentale ou Psychique.
DESCRIPTIONS: En plus de mes précédents textes liées aux atteintes aux avocats et à la justice (voir les textes : TORTURES - N°23 , et TORTURES - N°25), je présente en annexe de ce texte quelques détails liés à des plaintes que j'ai déposé au niveau de la justice en France et qui ont été sabotées avec beaucoup de sauvagerie par les juifistes.
N'ont été présentés en annexe que les plaintes que j'ai déposé au niveau des doyens des juges d'instruction. Mais les entraves judiciaires ou les instrumentalisations de la justice conduites par les juifistes ont touché aussi des plaintes déposées contre ma personne, des tribunaux civils, des tribunaux administratifs, des tribunaux liés aux rétentions des étrangers, la cour européenne des droits de l'homme, ...
Quand en Tunisie j'ai essayé de saisir la justice alors dés le départ les juifistes ont brutalement traité via le système "mind control" une célèbre avocate tunisienne, en se basant sur l'expérience acquise en France cela m'a découragé de continuer car entre autres la France est réputée pour être plus respectueuse du pays de droit que la Tunisie.
LIEUX: France.
FREQUENCES: Quelques dizaines.
OBJECTIFS: Permettre aux juifistes d'échapper à la justice, instrumentaliser la justice pour couvrir mon massacre, ...
MASQUAGES: Pour tenter de contrer et discréditer cette dénonciation les juifistes, munis du système "mind control", essaient vraisemblablement secrètement de faire imposer aux crédules que je souffre de troubles psychiatriques comme ils ne cessent d'investir dans cette direction (internements psychiatriques...), ou ils essaient de tenter de faire croire que je suis un anti-sémite comme tant de musulmans dont ils massacrent malignement à travers le monde les semblables en grande quantité (des centaines de milliers ou plus juste encore des millions) depuis des longues décennies à travers des pays dits développés qu'occupent et piétinent ces criminels juifistes, ou ils tentent de faire croire que le système "mind control" n'a jamais existé, ...
DOULEURS ET INCIDENCES: Annihilation quasi complète du pays de droit et de la démocratie devant les intérêts criminels des juifistes.
REMARQUES: Je rappelle que les juifistes ont opéré via le secret service de Contre-espionnage de la France de l'époque (la Direction de la Surveillance du Territoire), ils ont exploité en secret une fausse raison d'Etat dont le pouvoir est quasi infini, ils ont mis en œuvre le sophistiqué système "mind control". Dans aucun autre pays de monde, dans aucune des plus totalitaires des dictatures, il n'est possible d'écraser encore plus la justice. Mais évidemment quand il s'agit de juifistes même les médias sont aux ordres pour ne rien dévoiler des dérives juifistes.
":FIN."
Tous les commentaires, remarques, et interrogations sont les bienvenues.
Adel Ben Hassine Ben Abdel Kader KHEDIRA,
Ingénieur en télécommunications,
à la date du 16/12/2012.
ANNEXE
ATTEINTES AUX PLAINTES JUDICIAIRES DEPOSEES PAR MONSIEUR KHEDIRA EN FRANCE
Lors de toutes ces procédures judiciaires, les juifistes (à travers la D.S.T. , la raison d'Etat, système "mind control", etc.) subornent juges, officiers de police judiciaire, ... Et ils privent de surcroît Mr KHEDIRA de tout impartial avocat, de ressources financières, ...
Les atteintes juifistes à la justice ont évolué en crescendo. Lors des derniers mois avant l'expulsion effective de Mr KHEDIRA de France les juifistes ont transformés certains juges concernés par ses affaires en des automates ou des pantins contrôlés via le système "mind control".
L'injustice commise à l'encontre de Mr KHEDIRA au nom de la fausse raison d'Etat et via le système "mind control" est historique.
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@@@: PLAINTE déposée en 09/1997 auprès du Doyen des Juges d'Instruction au T.G.I. de Rennes contre X
(Dénonçant exclusivement les pratiques de racket à FRANCE TELECOM)
----- Les juifistes ont privé Mr KHEDIRA d'avocat bien avant le dépôt de la plainte en intervenant d'une façon massive et incessante au niveau du cabinet d'avocat contacté par Mr KHEDIRA. Et, c'est juste au démarrage de cette plainte que le dénommé Laurent RACCAH, un juifiste agent de la D.S.T., a été installé au voisinage de Mr KHEDIRA.
----- L'instruction de la plainte a été sabotée par l'arbitraire internement psychiatrique de Mr KHEDIRA (voir le texte : TORTURES - N°28), suite aux programmés agissements du juifiste agent de la D.S.T., le dénommé Laurent RACCAH, usant d'une fausse raison d'Etat dont l'emploi a débuté à l'époque de son prédécesseur (le dénommé Frédéric ANDRIOT) donc bien avant l'installation du dénommé Laurent RACCAH, lequel dénommé Laurent RACCAH après avoir agressé physiquement Monsieur KHEDIRA il l'a donc conduit vers un arbitraire internement psychiatrique grâce à la collaboration d'un juifiste commissaire de police (le dénommé Philippe PEREZ) dans l'objectif précis de saboter la plainte déposée par Mr KHEDIRA au T.G.I. de Rennes en subornant même au passage des magistrats au sein du parquet du même T.G.I.. Bien évidemment, les juifistes interviennent au niveau des juges et ils essaient de les tromper via tous types de faux et toutes sortes de manipulations (voir le texte : TORTURES - N°25).
----- L'appel a été saboté par l'empêchement de Mr KHEDIRA de déposer des pertinentes mémoires, par son empêchement de se présenter devant la Chambre de l'Instruction de Rennes, par sa privation de ressources financières (il ne disposait que de 15 francs) lors de la période de l'appel, par des interventions et des manipulations au niveau des juges, ...
----- Le pourvoi en cassation a été saboté par l'intervention des juifistes au niveau de l'avocat commis d'office, lequel a été empêché de produire de mémoires. Mr KHEDIRA n'a pas pu déposer à temps de mémoire personnel car il n'avait aucun accès au dossier de la plainte.
N.B. : Les juifistes laissent entendre aux crédules qu'il n'y avait point de pratiques de corruption! N'est-ce pas que les entraves à la justice sont plus que parlantes?
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@@@: PLAINTE déposée le 03/12/1999 auprès de Monsieur le Doyen des Juge d'Instruction au T.G.I. de Paris contre X
(Dénonçant des arbitraires arrestations et internement psychiatriques, atteintes à la plainte déposée à Rennes, espionnages industriels, violences, des faux, etc. ...)
---- Les juifistes ont suborné le Juge d'Instruction, Monsieur Jean-Baptiste PARLOS, en l'empêchant quasiment d'instruire la plainte et en le conduisant à rendre le 10/04/2002 une ordonnance de non-lieu, ne répondant point au minimum des exigences du droit, dont le courrier (lettre recommandée AR) a été même supprimé par les juifistes ! C'est seulement le 23/10/2002 que Mr KHEDIRA a par hasard pris connaissance de l'existence d'une telle ordonnance, contre laquelle il a le jour-même interjeté appel.
---- En appel, les juifistes ont empêché physiquement Mr KHEDIRA de pouvoir déposer le 15/03/2003 son principal mémoire en lui interdisant via des subornés (contrôlés via le système "mind control") gendarmes l'accès au greffe de la chambre de l'instruction. L'arrêt attendu pour le 12/05/2003 a été en réalité rendu le 08/09/2003, ne répondant point au minimum des exigences du droit, confirmant le non-lieu, disant principalement que Mr KHEDIRA souffre de troubles psychiatriques révélés par son internement psychiatrique contre lequel il n'a pas déposé plainte, alors que la plainte en question porte essentiellement sur cet internement psychiatrique! Dans les délais, Mr KHEDIRA a formulé un pourvoi en cassation et il a pu déposer un manuscrit mémoire personnel.
N.B. : Lors de cette plainte Mr KHEDIRA apporte des preuves et des pièces à conviction devant logiquement conduire quelques juifistes vers de très lourdes condamnations pénales. Les fats aveugles juifistes laissent croire aux crédules le contraire, mais n'est-ce pas que les entraves à la justice sont plus que parlantes?
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@@@: PLAINTE déposée le 05/09/2000 auprès de Monsieur le Doyen des Juge d'Instruction au T.G.I. de Paris contre X
---- Les juifistes ont suborné le Juge d'Instruction, Monsieur Jean-Baptiste PARLOS, en le conduisant à rendre le 09/02/2001 une ordonnance de refus-d'informer.
---- Les juifistes ont suborné la Présidente de la Deuxième Chambre de l'Instruction, et à ce jour l'arrêt de la Chambre de l'Instruction n'a pas été signifié à Mr KHEDIRA.
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@@@: PLAINTE déposée le 20/08/2001 auprès de Madame le Doyen des Juge d'Instruction au T.G.I. de Paris contre ...
---- Les juifistes ont suborné Madame le Doyen des Juges d'Instruction en l'obligeant à laisser entendre que la plainte n'était point fondée et à rendre par conséquent une ordonnance fixant une montant de consignation bien élevé (5000 Frs). Après, le rejet de la demande en appel contre l'ordonnance, Mr KHEDIRA a retiré cette plainte et il l'a annexé à sa plainte déposée le 30/08/2002.
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@@@: PLAINTE déposée le 30/08/2002 auprès de Madame le Doyen des Juge d'Instruction au T.G.I. de Paris contre ...
---- Les juifistes ont empêché l'audition de Mr KHEDIRA à titre de partie civile, en le faisant arrêté par la police environ une heure et demi avant l'heure de l'audition, et en le plaçant illégalement dans un centre de rétention administrative pendant douze jours après lui avoir notifié une procédure d'expulsion de FRANCE vers la TUNISIE.
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@@@: PLAINTE déposée le 26/03/2003 auprès de Madame le Doyen des Juge d'Instruction au T.G.I. de Paris contre Mr Laurent RACCAH (agent de la D.S.T.), la D.S.T., et les autorités tunisiennes
---- Les juifistes ont suborné Madame le Doyen des Juges d'Instruction, Madame Michèle COLIN, en la conduisant à rendre une ordonnance fixant une consignation de partie civile où l'inique phrase suivante a été insérée : "attendu que la plainte de M. KHEDIRA reste confuse et inexploitable en l'état malgré nos courriers visant à la lui faire clarifier". Le 30/04/2003 Mr KHEDIRA a interjeté appel contre une telle ordonnance.
---- En plus de suborner la présidente de la Deuxième Chambre de l'Instruction, les juifistes ont illégalement placé Mr KHEDIRA dans un centre de rétention administrative du 05/06/2003 au 12/06/2003 lors de la venue le 12/06/2003 de l'affaire dans un délai record devant la Deuxième Chambre de l'Instruction de la Cour d'Appel de Paris, ce qui a empêché par conséquent Mr KHEDIRA de produire des mémoires. Mr KHEDIRA a formulé le 30/06/2003 un pourvoi en cassation contre l'arrêt du 26/06/2003. Par la suite, Mr KHEDIRA a retiré cette plainte et il l'a annexé à sa plainte déposée le 21/07/2003.
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@@@: Plainte déposée le 21/07/2003 auprès de Madame le Doyen des Juge d'Instruction au T.G.I. de Paris contre Mr Laurent RACCAH (agent de la D.S.T.), Mr Nicolas SARKOZY (ministre de l'intérieur), et les autorités tunisiennes
---- Madame le Doyen des Juges d'Instruction, Madame Michèle COLIN, a rendu le 02/09/2003 une ordonnance fixant une consignation de partie civile d'un montant de 100 €. Le 08/10/2003 Mr KHEDIRA s'est acquitté du montant de la consignation.
N.B. : Mr KHEDIRA a été effectivement expulsé de France vers le début du mois de décembre 2003.