Khedira/Juifistes : H.B.R.C. : Tortures - N°28 : Internements psychiatriques.
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TORTURES - N°28
(v.: 1.01)
Il s'agit de la description d'un fait de torture rentrant dans le cadre d'un ensemble d'actes d'atrocités et de barbaries commis à mes dépens par les juifistes (ou sous leur instigation), plus particulièrement français, le long de très longues années en faisant principalement usage du système "Mind Control" (système HBRC). ... ... et ceux qui auront la chance de croire ou de saisir le sens de leur authenticité pourront comprendre la corruption que sèment de nos jours les juifistes sur terre ainsi que leur élévation dans le domaine de tout ce qui est crime.
"DEBUT:"
ELEMENTS D'UN TYPE D'ACTE DE TORTURE
INTITULE ou REFERENCE: Internements psychiatriques.
AUTEURS: Juifistes.
TYPE: Torture Physique.
DESCRIPTIONS: En aspirant à m'exterminer les juifistes ont procédé à quelques occasions à mon internement psychiatrique tant en France (un mois à l'hôpital Sainte-Anne à Paris, quelques jours lors de 2 ou 3 occasions à l'Infirmerie Psychiatrique de la Préfecture de Police de Paris) via la police que contrôlait les juifistes qu'en Tunisie (un peu plus qu'en demi mois à l'hôpital El Raazi à Manouba près de Tunis) via la police de Monsieur Zine El Abidine BEN ALI que contrôlait les juifistes via le système "Mind Control". Les juifistes dégradent à l'extrême les pays occidentaux en les abaissant aux rangs des pays les plus totalitaires, ce sont les mêmes pays occidentaux qui n'ont cessé jadis de critiquer l'ex-URSS à propos de ce type d'internements psychiatriques perpétrés aux dépens des ayants droits et des opposants politiques. A souligner qu'à la première occasion de la procédure à mon internement psychiatrique en France en début 1999 j'ai réussi allégrement à piéger ces criminels avec des preuves contre eux, comme il est relaté à travers une ci-dessous Nota bene, ce qui aurait dû au sein d'un pays de droit conduire ces criminels vers de très lourdes condamnations pénales. Le dernier internement psychiatrique a été perpétré à mes dépens en Tunisie sous l'instigation des juifistes sur les mois de janvier et février 2007. A signaler qu'aux occasions de mes placements en psychiatrie les juifistes à travers le système "mind control" contrôlaient les médecins pour m'imputer des fausses maladies mentales et pour établir à mon propos de faux dossiers médicaux dans l'objectif de couvrir mon massacre par les juifistes : faire croire que je suis un malade mental dénonçant des non-vérités à propos des juifistes; tous ces mensonges baignent, à l'instar de ce que réalisent en général les juifistes, dans un charlatanisme des plus ridicules qui ne tient point devant un minimum de raisonnement et de logique.
N.B. : Je rappelle au passage les conditions de mon premier internement psychiatrique le 11 février 1999 à Sainte-Anne (Paris) et les conditions du démarrage de mes prétendus troubles psychiatriques. En effet, le juifiste dénommé Laurent RACCAH, un agent de l'ex-DST (Direction de la Surveillance du Territoire; ancien service de contre-espionnage de la France), qui a été installé en novembre 1997 exprès au niveau de mon voisinage direct dans mon immeuble de résidence dans le seul objectif d'œuvrer à mon massacre (ceci avec les menaces a été dénoncé dès le départ à plusieurs reprises par écrit à la justice), m'a gratuitement agressé physiquement le 06 octobre 1998 à treize heures et trois minutes grâce à un violent coup de poing donné par surprise au niveau de mon sinus maxillaire droit m'ayant fait perdre connaissance alors que je me trouvais au sein de mon appartement et alors que j'ai été une partie civile dans le cadre d'une plainte avec constitution de partie civile gérée par un juge d'instruction dénonçant des pratiques de corruption mettant en cause des juifs déposée en septembre 1997 (le dénommé Laurent RACCAH a été donc installé deux mois après le dépôt de cette plainte), cette agression physique a été attestée à l'heure même par un médecin, ce qui a été aussi dénoncé le 07/10/1998 à travers un courrier recommandé AR au commissariat de police, car au niveau de ce commissariat de police on refusait d'enregistrer mes main-courantes car je mettais en cause ce juifiste agent de la DST qui était donc couvert par la police locale. Après, au moins lors d'une occasion, tout en m'appâtant via de tas d'attirantes promesses on a essayé de me dissuader via des tiers de continuer à résister aux juifistes en faisant donc appel à la justice. Par la suite, après que bien sûr l'agresseur dénommé Laurent RACCAH a déposé une plainte (antidatée, semble-t-il, grâce à la magie de la fausse raison d'Etat) à mon encontre au niveau du commissariat de police où cela était interdit à moi, on s'est attaqué à ma santé via la ex-DST lors de quelques semaines à travers principalement des actions visant à m'empêcher de dormir tranquillement au sein de mon studio (donc en perturbant mon équilibre) en donnant à toute heure de la journée et de la nuit des coups sur les murs avoisinants mon studio, en claquant fortement des portes, en s'appuyant donc sur la collaboration des voisins que la ex-DST via entre autres le dénommé Laurent RACCAH, qui étant muni de la fausse raison d'Etat et éventuellement bénéficiant de l'usage du système "mind control", leur dictait leurs actions et qu'elle manipulait au passage; quand dans les rares cas où j'intervenais auprès de ces voisins pour leur demandait de bien vouloir cesser ce tapage alors on me faisait comprendre que je les importunais, dans d'autres cas j'ai cru comprendre qu'on m'endossait à moi-même des tapages (auparavant pendant des mois en s'appuyant sur un agent de la justice le dénommé Laurent RACCAH en me provoquant à moult occasions a voulu vainement faire enregistrer une quelconque réaction de ma part), et donc dans la quasi totalité des cas on détruisait ma santé comme on le faisait en ex-URSS et dans les régimes totalitaires; tous ces agissements ont débuté comme par hasard après qu'on m'a agressé physiquement. Par la suite, malgré tout, après même avoir fait refuser des courriers que j'ai permis de les adresser au commissariat de police et à quelques voisins, après avoir attiré l'attention du parquet de Paris sur l'agression physique dont j'ai été victime et d'autres importants éléments, le 11 février 1999, au matin alors que je dormais, après avoir ouvert la porte, j'ai été arbitrairement arrêté au sein de mon domicile par un juifiste commissaire de police qui a prétendu à travers un faux rapport qu'il m'a trouvé au sein de mon domicile en état de folie et importunant les voisins et il a même prétendu que je n'avais point de travail (j'étais en registré en tant que profession libérale et j'avais même réalisé une invention que les membres du réseau juifiste de ce commissaire de police m'ont volé); j'ai réussi à piéger ce commissaire de police en enregistrant mon arrestation sur un magnétophone que j'ai mis en marche avant d'ouvrir la porte, l'enregistrement prouve que j'ai été en bonne santé et calme et que celui qui n'étais pas bien était ce juifiste commissaire de police, qui lors du trajet en voiture menant au commissariat de police m'a fait clairement entendre que si je ne suis pas ******* (comprenez : à propos de la criminalité juifiste que je dénonçais en partie en faisant appel à la justice) alors je devais rentrer chez moi (en Tunisie). Sans rire, tout en étant qualifié de psychopathe, après un passage par l'Infirmerie Psychiatrique de la Préfecture de Police de Paris, j'ai été par la suite interné le long d'un mois à Sainte-Anne, où soit via la fausse raison d'Etat soit via le système "mind control" soit les deux on m'a endossé d'adéquates maladies imaginaires : paranoïa, etc. . En fin de compte, concernant ma plainte avec constitution de partie civile visant des pratiques de corruption et à laquelle ils ont déjà à quelques reprises tenté avec acharnement de porter des atteintes à son bon déroulement, les criminels juifistes ont réussi de la saboter en conduisant le juge d'instruction via une intervention du procureur de la république à rendre une ordonnance de non-lieu en prétextant principalement qu'en tant que plaignant j'ai perdu la tête ! En bref, un dressé criminel faisant partie de la ex-DST vous agresse physiquement, vous fait subir tant d'autres actes de barbarie, vous interne par la suite en psychiatrie en prétendant que vous êtes psychopathe, et en fin de compte il entrave une plainte en justice visant des personnes de son groupe tout en vous endossant au passage d'adéquates troubles psychiatriques. Il faut souligner que je n'ai fais que subir, il a tout commis et organisé, je n'avais aucune chance d'échapper à ce qui a été décidé contre moi, c'est comme cela qu'on perd la tête quand on fait face aux juifistes français : il suffit tout simplement d'exister en tant que tel, un non-juif, ce qui constitue pleinement une provocation.
LIEUX: France et Tunisie.
FREQUENCES: 4 ou 5 fois et pendant environ une durée en total de 7 semaines.
OBJECTIFS: M'enterrer vivant en France et en Tunisie en espérant occulter les vérités que j'avance à propos des juifistes par mes prétendus troubles psychiatriques : sabotages de mes plaintes judiciaires, masquage de la réalité de l'existence du système "Mind Control", ...
MASQUAGES: Mensonges, troubles psychiatriques, anti-sémitisme, ...!
DOULEURS ET INCIDENCES: Atteintes à mes libertés, atteintes à ma personne psychique, tentatives d'extermination, les séquelles de ces internements se sont faits sentir le long de plusieurs mois après ces internements, rudes conditions d'internement psychiatrique, ...
REMARQUES: Les juifistes avancent mes prétendus troubles psychiatriques pour saboter mes plaintes judiciaires, mais pour m'expulser de France ils occultent bien évidemment ces prétendus troubles psychiatriques (car on n'expulse pas facilement une personne malade) et ils avancent le fait que je dénonce des juifistes (les plus criminels du monde, les plus grands ennemis des démocraties et des pays de droit, et les plus destructeurs de la France) à travers un site Internet qu'aucune justice n'a condamné!
":FIN."
Tous les commentaires, remarques, et interrogations sont les bienvenues.
Adel Ben Hassine Ben Abdel Kader KHEDIRA,
Ingénieur en télécommunications,
à la date du 04/08/2012.