مرسوم رئاسي : حامل ماستر يستطيع أن يصبح أستاذ مساعد صنف ب في الجامعة - الصفحة 19 - منتديات الجلفة لكل الجزائريين و العرب

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مرسوم رئاسي : حامل ماستر يستطيع أن يصبح أستاذ مساعد صنف ب في الجامعة

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قديم 2011-02-19, 08:05   رقم المشاركة : 271
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La conférence nationale des recteurs s’est terminée par des recommandations

Les étudiants envisagent de poursuivre la grève


le 19.02.11 | 01h00 Réagissez

zoom | © Salim M.

Les étudiants persistent dans leur mouvement de grève...

Les étudiants persistent dans leur mouvement de grève après les résultats de la conférence nationale des recteurs.

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Les étudiants sont déçus par les résultats de la conférence nationale tenue jeudi l Ils comptent riposter à partir de demain.


Les étudiants ne sont pas convaincus des résultats de la conférence nationale des chefs d’établissements universitaires tenue jeudi, au niveau du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifiques (MESRS). Cette conférence a plutôt suscité le désenchantement de nombreux étudiants, qui envisagent de continuer la grève entamée depuis deux semaines. Les étudiants se sont donné rendez-vous demain pour riposter aux résultats de cette conférence, qu’ils jugent décevants.
«Ils ne veulent pas admettre qu’on est conscients et déterminés», regrette Yahia, étudiant à Boumerdès, qui s’est déplacé hier à notre rédaction. «Il n’y a que des recommandations dans ce communiqué. Il n’y a rien de concret», a déclaré Mahfoud, délégué des étudiants de l’Ecole nationale d’informatique. Et celui-ci ajouter : «Une réunion avec le directeur de l’ESI est prévue pour dimanche. Après, nous déciderons avec la concertation des étudiants s’il faut continuer la grève ou passer à d’autres actions. De toute façon, moi, je suis pour la poursuite de la grève.»
Abrogation
La conférence nationale recommande l’abrogation des modifications apportées par le décret n°10-315 du 13 décembre 2010. Elle demande ainsi au ministre de l’Enseignement supérieur de transmettre les recommandations aux hautes autorités nationales pour leur mise en œuvre dans les plus courts délais. «Il n’y a rien de spécial. Ils n’ont pas traité nos revendications de manière objective. De plus, certaines recommandations ne sont pas claires», estime Athmane, étudiant à l’USTHB. Ce dernier dénonce la façon dans ces revendications ont été traitées : «Les étudiants dans tout le pays attendaient avec espoir les résultats de cette réunion. Mais il s’est avéré qu’elle a été organisée uniquement pour gagner du temps.» Athmane assure que la grève continue à l’USTHB en attendant la rencontre des étudiants demain pour discuter des actions à entreprendre. Même son de cloche chez les étudiants d’Oran, déçus par le contenu de cette conférence, bien qu’ils aient su à l’avance que les organisateurs de cette réunion n’avaient pas les prérogatives pour abroger un décret présidentiel.
Du «déjà-vu»
«La grève continue à Oran et dans toutes les universités d’Algérie. Jeudi passé, nous avions discuté avec les délégués de Blida, Chlef, Béjaïa et Boumerdès sur le contenu de cette réunion. Nous avions décidé de continuer la grève», affirme Mohamed, délégué de l’Institut de maintenance et de sécurité industrielle à Oran. Ce dernier a opté pour la relance des négociations entre les délégués et les responsables au niveau du ministère. «Nous allons revenir dimanche à Alger pour tenter de discuter. Si la situation demeure la même, nous allons appeler les étudiants à un sit-in devant le ministère», a-t-il conclu. Pour leur part, les étudiants de Boumerdès, qui ont campé durant la nuit de mercredi à jeudi devant le ministère, qualifient les recommandations de la conférence nationale de «déjà-vu». «J’ai passé la nuit la plus longue de ma vie pour exiger l’annulation de ce décret, pour que le lendemain, les recteurs sortent avec des recommandations. Les recteurs ne représentent pas les étudiants», prévient Yahia, estimant que le campement devant le siège de leur tutelle est la seule alternative qui reste.«Nous attendons la décision de l’ensemble des étudiants», a-t-il souligné.









 


قديم 2011-02-19, 08:07   رقم المشاركة : 272
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Ils saluent le mouvement des étudiants algériens

Des enseignants chercheurs lancent une pétition


le 19.02.11 | 01h00 Réagissez
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Après la réaction des enseignants de l’Ecole polytechnique en faveur des étudiants en grève, ce sont les enseignants chercheurs qui réagissent vis-à-vis de l’attitude des pouvoirs publics à l’égard de l’université algérienne.


Dans une déclaration rendue publique, les enseignants, qui ont lancé une pétition en faveur du mouvement des étudiants algériens, dénoncent la politique entreprise par les autorités. Les quatorze signataires qualifient cette politique de «démantèlement de l’université algérienne par les pouvoirs publics au profit d’une politique néolibérale sauvage de l’enseignement supérieur». «Le décret 10-315 du 13 décembre 2010 a dévalorisé les diplômes d’ingénieur d’Etat et de magistère», lit-on dans une déclaration commune. Les enseignants chercheurs rappellent que ces deux diplômes ont permis de jeter les bases de l’édification de l’université et de l’économie nationale de notre pays dans les années 1970 et 1980. Ils comparent l’impact de ce décret 10-315 sur l’université algérienne à celui du «plan d’ajustement structurel du FMI des années 1990 pour l’économie algérienne». «Nous rappelons que le plan d’ajustement structurel des institutions de Bretton Woods (FMI et Banque mondiale) a entraîné le démantèlement et la déstructuration de l’économie nationale», ont averti les rédacteurs de cette déclaration qui soutiennent les étudiants en détresse.
«Aujourd’hui, la société algérienne paie le prix fort de cette politique néolibérale sauvage», ont-ils regretté. «Le décret 10-315 est venu démanteler ce qui restait des acquis obtenus par les luttes du mouvement syndical autonome des étudiants et des enseignants algériens depuis 1963 dans l’enseignement supérieur, c’est-à-dire une université algérienne publique, performante, démocratique au service du bien-être de la société algérienne», déplorent les enseignants chercheurs qui saluent le mouvement autonome des étudiants algériens.
Les enseignants chercheurs demandent à leur tour, l’abrogation du décret 10-315 du 13 décembre 2010 exigeant le maintien du diplôme d’ingénieur d’Etat dans l’université algérienne. «Le diplôme d’ingénieur d’Etat est nécessaire à l’édification d’une économie nationale souveraine, productive et génératrice de richesses et de bien-être pour notre pays», ont-ils argumenté. Ils plaident en faveur de la valorisation du diplôme de magistère, qui selon eux, doit garder son statut défini par le statut de la Fonction publique du 15 juillet 2006. Ces universitaires affirment leur mobilisation «pour la défense d’une université algérienne publique, ouverte à tous les enfants du pays, performante et pour la défense des diplômes d’ingénieur d’Etat et de magistère».

Liste des premiers signataires
1- Farid Cherbal. Maître de conférences, USTHB (Alger) - 2- Daho Djerbal. Maître de conférences, Alger-Bouzaréah - 3- Rachid Sidi Boumediene. Directeur de recherche, CREAD - 4- Amar Heminna. Professeur, USTHB (Alger) - 5- Abdelhafid Afalfiz. Enseignant chercheur, USTHB (Alger) - 6- Ahcène Amarouche. Maître de conférences à l’ENSSEA, Ben Aknoun, (Alger) - 7- Abdelmalek Bouzari. Maître de conférences, ENS Kouba (Alger) - 8- Abdelkader Khelladi. Professeur, USTHB (Alger) - 9- Louisa Aït Hamou. Enseignante chercheur, Alger-Bouzaréah - 10-Ratiba Hadj-Moussa. Professeur de sociologie, York University, Toronto, Canada - 11-Djamel Baâli-Cherif. Maître de conférences, ENSA (ex-INA) Alger - 12- Ali Harfouche. Enseignant chercheur, USTHB (Alger) - 13- Aziz Boudjadja. Maître de conférences, USDB (Blida) - 14- HADJ Miliani. Professeur, université de Mostaganem










قديم 2011-02-19, 18:18   رقم المشاركة : 273
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السلام عليكم
أخي روستم هل تقصد هذا :
Une pétition en ligne a été crée,
s'il vous plaît faites circuler le lien et soyez nombreux à la signer:

Pétition en ligne pour : NON A L'ALIGNEMENT MAGISTER-MASTER
https://www.petitionenligne.fr/petiti...ter-master/901

Ce n'est pas normal qu'on aligne un BAC+5 à un BAC+7 ou +9 pour les anciens Magister.
Ce n'est pas normal qu'on oriente les majors du BAC ayant 15 et 17 de moyenne vers les formations
dans les grandes écoles et leur attribuer un diplôme inférieur à ceux qui ont eu un BAC avec tout juste 10 de moyenne.


s'il vous plaît faites circuler le lien et soyez nombreux à la signer










قديم 2011-02-19, 18:50   رقم المشاركة : 274
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خبر جد مفرح بل هو طريق جد مختصر للالتحاق بالتدريس بالجامعة انا ماستر2 .ميكانيك و طاقة
مصائب قومـــ, عند قوم فوائد.. سبحان الله









قديم 2011-02-19, 20:52   رقم المشاركة : 275
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خبر جد مفرح بل هو طريق جد مختصر للالتحاق بالتدريس بالجامعة انا ماستر2 .ميكانيك و طاقة

le quotidien d'oran 17/02/2011
Entre le système classique et le LMD : observations et interrogations



par Abou-Bekr Nabil (Professeur en Génie Civil Université de Tlemcen


On se pose tous la question sur ce qui caractérise le système LMD et ce qui le distingue du système classique. La question ne vise pas à comparer les fondements et philosophies des deux systèmes, question qu'on devait se poser au moment des réflexions (qui n'ont jamais eu lieu) avant la mise en place du nouveau système.

On vise plutôt à comparer les deux systèmes tels qu'ils sont appliqués dans notre environnement. Cette comparaison est d'autant plus accessible que les deux systèmes vivent encore côte à côte dans nos espaces pédagogiques.

Première observation : La charge horaire hebdomadaire dans le système LMD est environ 50% de moins que celle de l'ancien système (de l'ordre de 24 heures/semaine pour un parcours LMD contre 36 heures environ dans l'ancien système). Le nouveau système laisse donc beaucoup de temps libre aux étudiants, car il se base sur une participation très active de l'étudiant à sa propre formation à travers beaucoup de travail personnel (projets, exposés, etc.).

1ère interrogation : l'étudiant algérien, produit d'un système éducatif défaillant, est-il en mesure de participer à sa propre formation et de gérer son parcours ?

2ème interrogation : notre environnement offre t-il les moyens pour une telle démarche ? (bibliothèques avec leurs contenus et leurs modes de fonctionnement, centres internet et espaces de travail dans les établissements et les résidences universitaires, etc.).

3ème interrogation : Les enseignants (et j'en fais partie) sont-ils prêts à changer d'approche et de méthodes pédagogiques pour s'adapter à l'esprit du nouveau système ? Ont-ils été sensibilisés et formés pour cela ?

Deuxième observation : Dans la majorité des cas, les contenus des licences et masters ne sont autres que les programmes du système classique avec des volumes horaires très réduits, ce qui fait de ces parcours des espèces de formations accélérées avec, paradoxalement, beaucoup de temps libre pour l'étudiant.

4ème interrogation : Les contenus et objectifs des programmes sont-ils adaptés aux volumes horaires calculés sur la base de 14 semaines par semestre qui ne sont que très rarement réalisées ?

5ème interrogation : Les contenus de ces formations ont-ils été réfléchis en fonction des besoins socio-économiques de chaque région et en partenariat avec les utilisateurs potentiels ?

Troisième observation : L'orientation précoce de l'étudiant. En effet l'étudiant du LMD est orienté vers une filière donnée de façon quasi-définitive en 3ème année (niveau licence). Cette orientation dépend du nombre de places pédagogiques disponibles. En france, par exemple, même le niveau M1 (1ère année de master) est souvent considéré comme un tronc commun de plusieurs filières, et la spécialisation ne se fait véritablement qu'au niveau M2.

6ème interrogation : Est-ce que l'étudiant en LMD choisit véritablement son parcours de formation, ou est ce qu'il continue à être orienté malgrés lui, comme dans le système classique ?

7ème interrogation : Si l'étudiant fait une erreur dans son choix, dans quelle mesure peut-il changer d'orientation, et dans quelle mesure le système de passerelles, principe de base du système LMD, est-il efficace et opérationnel ?

Quatrième observation : Le parcours licence professionnelle est constitué de deux années où la formation est axée essentiellement sur les sciences fondamentales (maths, physique, chimie). La spécialisation n'intervient qu'en dernière année de formation. Contrairement à l'ancien système (cycle court DEUA), où la formation de la spécialité en question couvrait les trois années. C'est le cas aussi de la licence professionnelle en france qui recrute des étudiants titulaires de diplômes Bac+2 professionnels (diplômés des instituts universitaires de technologie notamment).

8ème interrogation : Peut-on former un professionnel opérationnel dans un domaine donné (chef de chantier de bâtiment, par exemple) en une seule année de formation ?

9ème interrogation : Y a-t-il un intérêt à suivre deux années de formation en sciences fondamentales pour déboucher sur une telle formation ?

Cinquième observation : On ne fait pratiquement plus de distinction entre le master professionnel et le master académique. Ce dernier qui permet l'accès au doctorat (D du LMD) ne contient presque pas d'initiation à la recherche. Contrairement à l'ancien système qui disposait d'un palier très important, en l'occurrence le magister, permettant à l'étudiant, d'une part, de passer progressivement d'une formation de graduation au monde de la recherche, et d'autre part, d'acquérir des compétences pédagogiques lui permettant, après l'obtention du magister, d'entamer une carrière d'enseignant chercheur.

10ème interrogation : Le titulaire d'un master est-il en mesure d'aborder directement une recherche dans le cadre d'un doctorat sans passer par un palier d'initiation à la recherche ?

11ème interrogation : Le titulaire d'un master est-il en mesure d'occuper la fonction d'enseignant chercheur et de se mettre de l'autre côté des bancs sur lesquels il était assis une année auparavant ? (allusion faite au decret du 13 décembre 2010).

Finalement, l'université algérienne se doit de se demander ce qu'elle a gagné en adoptant le système LMD. Certes, une lisibilité de nos diplômes au niveau international… Mais, ce système nous a-t-il permis d'améliorer la qualité de la formation ? La formation de master est-elle meilleure que la formation d'ingénieur ? C'est à travers ces questions et toutes celles posées dans cet article qu'on pourra dire si l'application du système LMD en algérie a été une réussite ou un échec…

Essayer de comparer le master au magister (cf. decret du 13 décembre 2010), en plus du fait que comparer l'incomparable est une aberration, c'est peut être aussi une façon de se voiler la face et passer à côté de toutes les questions qu'on doit avoir le courage de poser si on veut sincèrement une université meilleure !

*









قديم 2011-02-19, 22:22   رقم المشاركة : 276
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جاود صالح
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طالب الماجستير يعاني معاناة شديدة للحصول على الماجستير حيث تطبق عليه المعايير و الإجراءات المطبقة على أطروحات الدكتوراه فكيف يسوي بين الماجستير الذي اتى بموضوع جديد وبين حامل ماستر سرق مذكرته من احدى الجامعات المجاورة والظلم اشد بالنسبة لمن درس شهاد مهندس ثم الماجستير










قديم 2011-02-19, 22:26   رقم المشاركة : 277
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goutara250
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يا ناس الثورة على حراوبية يجب أن يرحل ياناس يا موتى أين أنتم أين العدالة هل 3 يساوي 4 و هل 5 يساوي 6 وهل 3 يساوي 5
عند حراوبية المساواة صحيحة










آخر تعديل محبة الحبيب 2011-02-20 في 22:11.
قديم 2011-02-19, 22:32   رقم المشاركة : 278
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وصلتني الرسالة التالية

Bonsoir.
je vous informe que la grève menée par les graduants et les post graduants a l'USTHB est maintenu jusqu'a l'Abrogation Officile de decrèt qui met l'*****alence illegale entre les diplomes de l'encien et de nouveau Systeme.
je vous rappele que L'Union fait la force et que votre participation dans l'annulation officile de ce decretne ne se limite pas a la signature de la pétition ,
il faut participer par votre presence très tot a l'université afin d'aider les personne qui ferme les accés .
Arret de l'encadrement des Masters.
Arret de vacation.

je vous informe aussi qu'il ya un rasseblement devant le rectorat à 15h00.

Diffusez l'information SVP









قديم 2011-02-19, 22:41   رقم المشاركة : 279
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يا ناس الثورة على حراوبية يجب أن يرحل ياناس يا موتى أين أنتم أين العدالة هل 3 يساوي 4 و هل 5 يساوي 6 وهل 3 يساوي 5
عند حراوبية
ر المساواة صحيحة م
واش بيك يا راجل .... مرات ممكن يطيح النيفو و مايطلعش المورال


ما تقلقش بزاف وحدة وحدة يتحققوا الاهداف ان شاء الله

ارجو تعديل المشاركة









آخر تعديل محبة الحبيب 2011-02-20 في 22:12.
قديم 2011-02-20, 16:27   رقم المشاركة : 280
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طالب الماجستير يعاني معاناة شديدة للحصول على الماجستير حيث تطبق عليه المعايير و الإجراءات المطبقة على أطروحات الدكتوراه فكيف يسوي بين الماجستير الذي اتى بموضوع جديد وبين حامل ماستر سرق مذكرته من احدى الجامعات المجاورة والظلم اشد بالنسبة لمن درس شهاد مهندس ثم الماجستير

إتقي الله والله أمثالك هم سبب إنحطاط الجامعة الجزائرية









قديم 2011-02-21, 07:00   رقم المشاركة : 281
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ELWATAN 21/02/2011

Oran
Les enseignants soutiennent les étudiants


le 21.02.11 | 01h00 Réagissez

Nous exigeons l’abrogation pure et simple du décret, désormais de la honte», ont dénoncé les enseignants de la section syndicale Coordination des enseignants du supérieur solidaires, CESS (ex-CNES-UST) d’Oran, dans une déclaration rendue publique hier.


«Nous ne pouvons qu’être solidaires avec des étudiants qui, au niveau national, ont enclenché des mouvements de protestation», ont écrit les enseignants de sciences et technique, proposant la mise en place d’«un système d’enseignement qui ne soit pas régi par la seule logique de la gestion des flux, mais plutôt par la recherche de l’efficience de la formation et ce, pour le bien des étudiants, de l’université algérienne et du pays». Les enseignants de CESS dénoncent l’alignement qu’ils qualifient d’«absurde» entre le mastère et le magistère. Ces universitaires dénoncent également «la différenciation faite entre les deux diplômes, mastère et ingéniorat, alors que les deux suivent le même cursus, c’est-à-dire 5 ans après le bac».

Ils estiment que cette situation est «le résultat de l’improvisation, de l’absence de concertation et de réflexion au niveau des pouvoirs publics» ; elle «découle de la soumission aux injonctions de l’Union européenne». Dans cette déclaration, les enseignants d’Oran ont évoqué les circonstances dans lesquelles s’est déroulée la présentation du projet LMD dans le cadre de la conférence des chefs d’établissements qui s’est tenue à Blida en 2004. «Le responsable du LMD au niveau du ministère avait dit il faut faire vite parce que l’Union européenne l’exigence», ont-ils témoigné.










قديم 2011-02-21, 15:00   رقم المشاركة : 282
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Ci-joint le communiqué de la réunion de la honte










قديم 2011-02-21, 15:32   رقم المشاركة : 283
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Beaucoup d’étudiants ont appelé hier à tenir un sit-in devant la présidence de la République si la tutelle s’obstinait à bafouer leurs «droits».
Irane Belkhedim - Alger (Le Soir) - «Nous n’avons plus d’espoir. Nous sommes ici depuis deux semaines. On nous reçoit tous les jours et ça ne donne rien. Les responsables du ministère de l’Enseignement supérieur refusent même de nous établir un P-V de réunion», confie, tristement, Zaki, étudiant à l’Ecole supérieure de commerce d’Alger (Tafourah). Comme la plupart de ses camarades, il ne comprend pas la réaction de la tutelle. «Nous avons rencontré jeudi dernier les gars du ministère, ça a duré quatre heures et ça s’est terminé en queue de poisson», soutient Mohamed. Les protestataires ne croient plus au dialogue. Les étudiants ont désigné des délégués pour être les représentants de ce mouvement qui n’est pas encadré. «Aucune représentation estudiantine n’est derrière nous. Ni l’Union générale des étudiants libres ni l’Union nationale des étudiants algériens. Ces organisations ne nous représentent pas», s’écrie Hicham. Sept véhicules de police cernent les lieux. Des pancartes ainsi que des caricatures sont accrochées au portail du bâtiment. «Mercredi dernier, de nombreux étudiants ont passé la nuit, ici, sous le froid et la pluie. Nous ne partirons pas avant le règlement de nos préoccupations», disent-ils. Des voix s’élèvent et proposent de tenir un rassemblement devant la présidence de la République si au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique on s’obstinait à piétiner leurs «droits». «Visiblement, c’est l’unique solution. Le président de la République doit intervenir», explique Zaki. La protestation des étudiants, venus de différentes villes du pays (Alger, Boumerdès, Blida et Chlef) devant le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, entame sa troisième semaine. Une seule revendication est brandie abrogation du décret présidentiel 10-315 du 13 décembre 2010 qui dévalorise les étudiants du système classique (licence, magistère, DEUA et doctorat). Le problème ne se limite pas aux diplômés d’ingénieur d’Etat. En effet, l’application du système LMD met les étudiants de l’ancien système, en particulier ceux des écoles nationales supérieures, au même niveau que les autres universitaires qui ont suivi un cursus plus court et qui ont été sélectionnés selon des critères moins sévères. «J’ai eu 14 de moyenne. On m’a proposé de choisir entre le LMD et le système classique. J’ai opté pour le système classique. De quel droit m’imposer le LMD ?», s’exclame Ilhem, étudiante en quatrième année, à l’Ecole supérieure de commerce. «Nous n’avons pas les mêmes moyennes, les mêmes charges horaires et les mêmes années d’études. Nous n’avons rien contre le LMD, mais il n’est pas possible d’être dans la même catégorie !», proteste Nora. Selon le décret 10-135, les étudiants du master ou du magistère sont dans la même catégorie. Ainsi, les magistères de l’Ecole supérieure de commerce (bac+5) ont été déclassés de la 16e à la 14e catégorie (bac+ 3). «Après le magistère, on pouvait accéder à l’enseignement supérieur comme maître-assistant B. Ce décret nous oblige de s’inscrire en doctorat. Pourquoi ?», se demande Mohamed. La Conférence nationale des chefs d’établissements universitaires s’est tenue jeudi. Elle a été élargie aux vice-recteurs et aux sous-directeurs chargés des enseignements. Plusieurs décisions ont été annoncées, dont le maintien du diplôme d’ingénieur d’Etat et la formation en magistère pour les étudiants de l’ancien système. Les conférenciers ont également recommandé l’abrogation des modifications apportées par le décret 10-135. Cependant, ces décisions ne calment pas la colère. «Y en a marre des promesses, nous voulons du concret», peste Mohamed, étudiant en troisième année, à la Faculté hydrocarbures et chimie de l’Université de Boumerdès. Découragé et épuisé, le jeune universitaire affirme que les six départements de sa faculté (gisements miniers et pétroliers, économie et commercialisation des hydrocarbures, transport et équipement des hydrocarbures, automatisation des procédés et électrification, génie parasismique, géophysique et phénomènes aléatoires, génie des procédés chimiques et pharmaceutiques) sont à l’arrêt. «Nous sommes en grève. Pas d’examens si le problème n’est pas résolu.»
I. B.










قديم 2011-02-21, 15:34   رقم المشاركة : 284
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Alors que la grève se poursuit dans les universités d’Oran avec, comme toujours, le blocage des campus empêchant ainsi le déroulement des examens, les étudiants viennent de recevoir l’appui de leurs enseignants.
Dans une déclaration parvenue à notre rédaction, le tout nouveau syndicat des enseignants du supérieur, la Coordination des enseignants du supérieur solidaires (CESS) anciennement CNES-USTO, réagit face à cette situation. Les enseignants se disent «solidaires avec les étudiants qui ont enclenché au niveau national des mouvements de protestation pour revendiquer l’abrogation du décret de la honte n°10- 315 (…) Cette solidarité est fondée sur notre refus de l’alignement absurde entre le master et le magister, ainsi que la différenciation faite entre les deux diplômes master et ingéniorat, alors que les deux suivent le même cursus c'est-à-dire 5 ans après le bac». C’est exactement les propos des étudiants qui sont mobilisés depuis près de 10 jours, mais pour le CESS, cette situation est aussi le résultat de l’absence de concertation et de réflexion au niveau des pouvoirs publics et qui est à l’origine, liton dans la déclaration, «d’une soumission aux injonctions de l’Union européenne…». En 2004 à la conférence des chefs d’établissements, le responsable du LMD au niveau du ministère avait dit : «Il faut faire vite parce que l’Union européenne l’exige.» Pour le CESS, il est temps de donner la priorité à un système d’enseignement qui ne soit pas régi par la seule logique de la gestion des flux.
Fayçal M.










قديم 2011-02-21, 15:35   رقم المشاركة : 285
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