c'est que ce que j'ai trouvé c'est un plaidoyer et vous pouvez continuez le réquisitoire ( NB : l'avocat a utilisé dans son plaidoyer des arguments qui touchent aux sentiments pour convaincre l'auteur vous pouvez ajouter des arguments logiques pour mieux convaincre le juge )
Le sujet : Tu es l’avocat du condamné et tu va jouer un plaidoyer.
« La salle d’audience »
C’était une belle matinée de Mars.
Les rayons de soleil pénètrent les cœurs, une brise fraîche arrose les esprits.
Tout le monde dans cette place, les témoins, les avocats, les procureurs de roi, les juges.
Une bruit sourd caractérise la salle. L’avocat du condamné se leva.
Avocat : Bonjour à tous les présents. Mon président, les procureurs de roi
Mon président, le coupable que vous voyez, ce n'était pas un assassin inexorable, un homme maudit, qui a versé du sang. Absolument non. C’est un homme comme tous les hommes.
Un homme raffiné par l’éducation. Son casier judiciaire est vide, il n’a jamais eu d'antécédent.
C’était au-delà de sa volonté. Qui n’a jamais commis une faute, c’est un caractère humain
Mon chef, accusé a une petite famille, une mère veille, une femme assez jeune. Il a un petit ange, une petite fille, belle, innocente. Une beauté extrême, si vous avez la voir, vous allez l'aimer, avec son petit corps, son visage rond, ses cheveux bouclés. Elle n’est pas fautive pour être une orpheline, seule dans cette solitude lugubre, sans tendresse et sans sécurité dans une société implacable. Elle va recevoir toutes les sortes d’insultes, d’affronts. Pourquoi ? parce que son père a été) exécuté, il est considéré comme un criminel!
De même, sa famille va énormément souffrir. Elle a perdu l’homme de la famille, la sécurité et la tendresse, elle sera pauvre, sans caution … Vraiment cela est malheureux.
Mes professeurs, le condamné a beaucoup souffert, pendant ces six semaines, il a passé de longues et insoutenables moments de souffrances, dans une cellule humide, sinistre, sans pitié. Je pense que cette souffrance est suffisante pour expier la faute qu’il n’a pas commis.m
De surcroît, l’échafaud, ce monstre qui blanchit les cheveux des enfants est insupportable. Le moment où vous le voyez, vous sentirez le vertige. Vraiment c’est un cauchemar. Ils disent qu’il s’abaisse les souffrances physiques, mais les moraux sont les plus importants.
D’autre coté, notre société est inexorable. Elle considère un homme comme un animal qu’on le tue sans pitié en pleine joie. Elle est fière de cette cérémonie! Toutefois, un condamné est un homme qui a un cœur qui sent et un âme !
Notre unique Dieu a dit clairement : « Il n'appartient pas à un croyant de tuer un autre croyant, si ce n'est par erreur. Quiconque tue par erreur un croyant, qu'il affranchisse alors un esclave croyant et remette à sa famille le prix du sang, à moins que celle-ci n'y renonce par charité. » Il nous décrète qu’il ne faut jamais tuer ou exécuter un croyant que son crime est en erreur. Alors Monsieur, soyez miséricordieux.
Avocat donne un papier « L’histoire de condamné » au juges et il prend sa place.