L'Année du bac
l'Automne c'est la saison que je préfère le plus, mais cette année, elle est exceptionnelle, unique dans la vie d'un lycèen ;pres douze année passée a réchauffer les bancs de l'école , année après année cette ascension verticale vers la terminale , bûcher sans relâche .Telle est la perspective proche pour cette année scolaire, qui ne ressemble en rien aux autres.
Cours au lycée, cours privés apprendre, apprendre et encore apprendre, bûcher ; potasser; mémoriser, il faut avoir une sacré caboche, ne rien négliger pas la moindre phrase pas le moindre mot, jusqu'aux points et virgules, Toutes les distraction sont mise en quarantaines le net, la chat ,télé; sports , foot ,surtout la sieste qui doit être bannit du programme journalier .
Pour cette année mémorable .Tout le monde était mobilisé, en premiers mes neurones, qui ont atteints leur vitesse de croisière ; mon disque dure avec sa faible capacité de stockage.( puntim 01) ,mes batteries qui doitvent être bien chargées ; mes parents et leur soutien morale et financier, leurs portefeuilles étant presque exclusivement réservé pour moi pour payer mes cours privé dcar ceux du lycée étaient souvent soit en vacances soit en grèves ( Allah
y samahoum)
Mon cerveau, mes yeux, mes muscles doivent être constamment
En alertes.Car je vais joué mon avenir sur un exercice de math ou de français de science ou de philo, sur une leçon apprise par cœur ou négligée par inadvertance ou alors me tromper ; commettre une erreur, et adieu Université , ingéniorat et doctorat, adieu steak et biftecks ,adieu salaire et fiche de paye .
Sentiment partager entre le calvaire, l'harassement ; tout ce mêle est s'emboîtes .j
je dois resté lucide et apprendre a distinguer et séparer en moi ce qui fait de moi; l'élève est le primate savant !!
Un soir, par une nuit noir et calme. Je veillais très tard tout seul pour réviser, et chatouiller mes neurones. un bébé pleurait au loin ,une voiture qui passait , Je m'efforçais de résoudre un exercice de géométrie .Devant moi; Angles et triangles s'enchevêtraient en dessins étranges , soudain , en marge de la page, une figure humaine m'apparue, me regardais et se moquais de moi; ; c'était ALMOUTANABI personnifié , au secours , yémmaaa , stop ,je suis en proie à des hallucinations.
Je suis extenué, à bout, je range tout pour enfin rejoindre mon lit pour me reposer, Zut j'ai oublié de faire la prière.
Tout cela c'est la faute a Napoléon
Ecris en ce jour le 07/11/2O11