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2013-04-21, 06:14 | رقم المشاركة : 1 | ||||
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La prise de notes موضوعي
بسم الله الرحمن الرحيم و الصلاة و السلام على اشرف المرسلين محمد رسول الله و على اله و صحبه اجمعين "يا رب : إذا أعطيتني مالاً لا تأخذ سعادتي .. وإذا أعطيتني قوةً لا تأخذ عقلي .. وإذا أعطيتني نجاحاً لا تأخذ تواضعي .. وإذا أعطيتني تواضعاًلا تأخذ اعتزازي بكرامتي يارب : لا تدعني أصاب بالغرور إذا نجحت .. و لا أصاب باليأس إذا فشلت بل ذكرني دائماً بأن الفشل هو التجارب التي تسبق النجاح وقل ربي زدني علما اما بعد احبتي السلام عليكم ورحمة الله تعالى وبركاته لقد اخترت هذا الموضوع الشيق الذي يخص كل الطلبة حتى يساعدهم في المراجعة والفهم والمذاكرة السريعة والحمد لله لقد كفيت ووفيت LA PRISE DE NOTES Les situations dans lesquelles les individus sont conduits à prendre des notes sont très fréquentes et très variées. On prend des notes pour Organiser son quotidien Lors d’un cours, d’une conférence afin de les travailler plus tard dans le cadre d’un projet professionnel ou de la révision d’un examen ; Pendant un entretien pour enquêter, évaluer une situation de travail . Pendant une réunion en entreprise pour en faire le compte rendu Dans des documents pour préparer un exposé technique Pour écrire un rapport, un essai, etc... Dans le monde du travail, de très nombreuses activités ne peuvent être bien accomplies sans dominer des techniques appropriées de prise de notes. Elles impliquent la saisie rapide de directives, leur transfert et leur transcription en comptes rendus ou rapports Définition : qu’est-ce que la prise de notes ? Le dictionnaire (Le Petit Robert, 1996), définit les notes comme « des marques faites pour garder mention, indication de quelque chose ». Les notes constitueraient donc une sorte de mémoire externe. Toujours selon le dictionnaire, ces notes seraient de « brèves indications recueillies par écrit en écoutant, en étudiant, en observant ». Ces écrits auraient donc pour fonction de « ramasser » l’information distribuée dont il faudra se souvenir. La prise de notes serait, alors, l’opération par laquelle un individu parviendrait à abréger des informations et à les restituer sous une forme résumée. Dans les manuels techniques de prise de notes, son efficacité ne réside pas simplement dans la capacité du noteur à accélérer la transcription de ce qu’il entend grâce à l’usage d’un code graphique dont les éléments abrégés sont tracés plus vite. Elle consiste aussi dans l’écrémage des idées à transcrire. Parmi les stratégies les plus couramment utilisées par les noteurs surtout quand ce sont des étudiants, il convient de citer . La stratégie de l’AIGLE : prendre des notes tout en sélectionnant et en mettant de l’ordre dans ce qui est dit afin de trouver une structure, une vue d’ensemble qui organise les notions qui sont lues ou entendues . La stratégie de la TORTUE : prendre des notes pas à pas afin de préserver et transcrire si possible la totalité de ce qui est dit sous forme de liste ou d’énumération L’étudiant noteur préfère le plus souvent cette dernière stratégie, en raison de l’inquiétude qui consiste à saisir le plus d’informations et de connaissances possibles en les cueillant une à une, mot à mot, et en renvoyant la réflexion et la réélaboration des notes à plus tard, au moment de leur restitution Comprendre en prenant des notes Quatre activités langagières fondamentales permettent d’échanger des informations complexes : écouter, parler, lire et écrire. Il est important de remarquer que, fonctionnellement, la prise de notes mobilise simultanément deux ou trois d’entre elles. Réalisée durant l’écoute d’une discussion ou d’une lecture, la prise de notes impose d’activer en parallèle L’écoute, afin de comprendre ce qui est dit par le ou les protagonistes L’écriture, afin de transcrire ce qui doit être conservé sur papier 3/ La lecture pour contrôler si ce qui est en train d’être écrit est conforme à ce qui est dit Procédés de transcription des mots La transcription graphique mot pour mot et en temps réel de la parole pose un problème psychomoteur incontournable. La vitesse d’émission du langage est beaucoup plus rapide en production orale qu’elle ne l’est en production écrite. En clair l’on parle plus vite que l’on écrit. Pour évoquer le même contenu, le débit de production verbale orale d’un individu adulte est environ de deux à trois mots par seconde. S’il dicte, l’adulte ne ralentit que de quelques centièmes de seconde, alors que la cadence d’écriture est de 0,3 à 0,4 mots par seconde. Aussi, le noteur doit-il réguler de très importants écarts de cadence entre l’oral et l’écrit. Sa stratégie peut consister à abréger ce qu’il a écrit, en sélectionnant des lettres, des mots entiers, des parties de phrase, des phrases entières. L’analyse des conseils donnés par les ouvrages d’aide à la prise de notes comme les résultats des analyses linguistiques des notes mettent en évidence une absence de consensus interindividuel sur les procédés abréviatifs concernant le mot et la phrase, ainsi qu’une forte variété intraindividuelle. Il est toutefois indispensable que le noteur prête attention au fait que le texte abrégé doit pouvoir, lors de sa relecture, rester compréhensible alors même que ce qui a été transcrit est tronqué. Autrement dit, ce qui a été « défait » par le noteur doit pouvoir être « refait », sans risque interprétatif, par le lecteur des notes. Ainsi, les procédés de raccourcissement doivent-ils être réguliers et stables afin de mobiliser chez le noteur qui lit ses notes des procédures automatiques de restauration de l’information manquante Les abréviations conventionnelles Quelques abréviations sont collectivement admises. Toutefois, au sein de l’Europe, elles peuvent présenter des variantes. Les indications qui suivront résultent de plusieurs modes de construction comme : préserver la première lettre ou la première syllabe, garder seulement deux consonnes, ou pour les locutions latines, garder la première lettre de chaque mot (P.S., N.B. etc...). Dans tous ces cas, l’objectif est identique : parvenir à une économie maximale quant au nombre de traces graphiques utilisées (de une à trois lettres maximum). Mais la très grande majorité des abréviations mises au point par les noteurs, ne peut être utilisée qu’à titre privé L’un des procédés de contraction communément utilisés consiste à supprimer les voyelles graphiques et à préserver la charpente consonantique du mot (consonne du début et de la fin), que la consonne soit prononcée ou non : dans, vous, mais, il faut, sont, sont transcrits : ds, vs, ms, il ft, st. Cependant, ce procédé de raccourcissement peut présenter deux difficultés. La première est que deux consonnes seules peuvent vouloir dire deux choses différentes, par exemple tt peut signifier tout mais aussi tant ou tôt. La deuxième réside dans la transcription des accords en genre et en nombre du mot à abréger. Le noteur peut décider – ou non – de rendre compte de ces accords. Il peut donc transcrire problème avec pb. Mais lorsqu’il est question de problèmes, il utilise alors pbs. Du coup, l’abréviatif tt deviendra selon les accords en genre et en nombre, tte, ttes,ts Un autre procédé souvent utilisé est celui qui consiste, en présence d’adverbes et de substantifs en ment de signaler ce suffixe par sa dernière consonne en surexposant le mot de la lettre t (actuellemt ; développement). Le suffixe ion peut être soumis à la même réduction : définition s’écrit donc définitⁿ. Toutefois, l’abréviation peut être signalée autrement que par sa dernière consonne : narration peut se transcrire alors narrat°. L’usage d’un point à la fin du mot peut éviter de mal interpréter le mot abrégé. Ainsi, par exemple, sol. pour solution ne peut pas renvoyer à sol qui désigne la surface terrestre. Enfin, le suffixe ique (caractéristiq) est souvent tronqué et le suffixe if (descript) souvent abandonné. Il est à noter qu’il est bien entendu possible de combiner plusieurs procédés d’abréviation entre eux (dvpt) Idéo-, picto- et topogrammes Un idéogramme (du grec idea qui signifie idée et de gramma signifiant lettre, écriture) consiste à choisir un symbole dont les éléments graphiques ne cherchent pas à transcrire la sonorité du mot, par exemple & ou + pour indiquer la coordination ou l’addition, mais l’idée. Le recours au pictogramme (du latin pictus, peint) est lui aussi très fréquent. Il consiste à transcrire non pas par des lettres ou des chiffres mais par un dessin, l’idée que l’on souhaite noter, telle que ↑ ou ↓ pour indiquer le déclin ou l’augmentation. Il est aussi possible d’utiliser un topogramme (du grec topos, lieu), c’est-à-dire un élément qui permet de donner un sens à différents mots en fonction de leur position dans l’espace graphique. Exemple : une suite de tirets comme topogrammes introducteurs d’une liste Les symboles mathématiques et logiques les plus utilisés sont les suivants # , ≈ à peu près, sensiblement égal à < inférieur à, plus petit que > supérieur à, plus grand que = égal à, équivaut à :, ÷ divise / par, sur + plus, s’ajoute à - moins, se soustrait à ± plus ou moins × multiplie ≠ différent de † mort, fin, supprimer ↑ augmente, croissance, s’élève, développement ↓ diminue, décroissance, baisse, déclin, chute → conséquence, jusqu’à (temps, lieu) ← découle de, provient de ↔ interaction ↔ opposé ∕∕ parallèle, concernant, à propos de ! attention Є appartenir, appartenance Є ne fait pas partie de, est en dehors de ∞ infini, très grand ∑ somme Il est important de noter que tous les mots prononcés ou tous les mots écrits dans un document ne se valent pas. Certains sont peu informatifs, d’autres beaucoup plus. En français, les mots outils comme les articles, les pronoms, les conjonctions et les prépositions représentent 50% des termes. L’autre moitié est constituée par les mots pleins, c’est-à-dire les substantifs, les verbes, les adjectifs et les adverbes. Les mots grammaticaux parce que fréquents et attendus sont facilement retrouvés. Il est utile de supprimer les mots fréquents comme les articles car ils sont pu informatifs. Toutefois, il est indispensable de conserver les mots organisateurs comme les connecteurs (et, ou, que etc...). Ils sont souvent courts, mais restent essentiels pour structurer les informations. Les transcrire à l’aide d’un symbole est capital Méthodes de transcription des idées Il y a trois grands types de méthodes de transcription des idées : la méthode linéaire, la méthode planifiante et la méthode des mots-clés La méthode linéaire consiste à transcrire mot pour mot ce que l’on entend. Le noteur linéarise le discours de l’orateur au sens propre du terme et il se *******e de recopier le texte. Les raisons pour lesquelles le noteur recourt volontiers à cette méthode sont liées, tout d’abord, au sentiment de sécurité qu’elle favorise. Elle permet de capitaliser le plus possible d’informations. Il semble possible de diminuer la fatigue qu’elle génère par l’usage de procédés abréviatifs très conventionnels, tout en ne transcrivant pas les éléments linguistiques jugés vraiment trop redondants. La méthode linéaire paraît avantageuse pour les notes fidèles et complètes qu’elle procure. Toutefois, lorsqu’il transcrit, le noteur fournit un réel effort attentionnel et l’importante fatigue physique (main, dos) provoque fréquemment des relâchements de l’attention. Ces abandons peuvent faire perdre le fil du discours Dans le cadre de la méthode planifiante, l’usage de titres et de sous-titres constitue une charpente capitale. Le procédé le plus efficace de mise en hiérarchie de l’information et de gestion des titres et des sous-titres est la numération appelée « numérotation scientifique ». Pour appliquer cette numération, il faut employer les chiffres arabes. En utilisant cette méthode, le noteur a comme objectif prioritaire d’élaborer, simultanément à son activité de transcription, une mise en forme organisée de l’information. Il ne se confine pas dans le rôle d’un sténographe car il est obligé de comprendre et d’analyser les informations qu’il écoute. Cette ambition doit bien entendu concorder avec la façon d’exposer de l’orateur. Certaines conférences, en raison de leur contenu et/ou de la personnalité de leur orateur, sont difficiles à prendre en notes avec ce type de méthode trop structurante. Dans l’une ou l’autre de ces deux méthodes, l’objectif du noteur est d’écrémer le moins possible les informations. Mais la méthode planifiée exige une vigilance très coûteuse en ressources attentionnelles car le noteur doit suivre la mise en structure tout en contrôlant la cohérence de l’ensemble et la bonne insertion de chaque détail. Prendre des notes consiste souvent à abréger. Ce resserrement de l’information peut être opéré de façon drastique en réduisant les informations à quelques concepts majeurs. Ce concept s’appelle la méthode des mots-clés. Ils sont souvent directement puisés dans le discours d’origine. Lorsque la prise de notes est envisagée comme une traduction en mots-clés de ce qui est entendu ou lu, le souci prioritaire est de réduire le plus possible la mise en forme lexico-syntaxique des informations. Les raisons pour lesquelles le noteur peut recourir volontiers à cette méthode sont diverses. L’objectif prioritaire n’est pas de produire des notes fidèles. C’est le cas si, par exemple, l’enseignant s’engage dans un cours peu structuré ou s’il s’agit d’une réunion très animée où les échanges se font de façon un peu désordonnée. De plus, le contenu des débats n’est pas toujours crucial, au point de mériter d’être noté in extenso. Conclusion Pour conclure, la prise de notes – activité quotidienne mais intellectuellement complexe – est d’autant mieux réussie que le noteur analyse le contexte dans lequel il la réalise et définit au mieux son objectif. Il est d’ailleurs inutile de donner aux noteurs des conseils de « bon sens » ou de leur prescrire une méthode plutôt qu’une autre pour qu’ils accroissent immédiatement leurs performances en prise de notes. Il est bien plus important d’aider les noteurs à prendre conscience des avantages et des inconvénients de chaque méthode afin d’adopter, en totalité ou en partie, celle qui leur semble la plus appropriée au travail qu’ils sont appelés à accomplir. Tiré de l’ouvrage La Prise de Notes Annie Piolat Collection Que sais-je Edition PUF تم بفضل الله طرح الموضوع
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