ãäÊÏíÇÊ ÇáÌáÝÉ áßá ÇáÌÒÇÆÑííä æ ÇáÚÑÈ - ÚÑÖ ãÔÇÑßÉ æÇÍÏÉ - 55 sujets d'expressions écrites
ÚÑÖ ãÔÇÑßÉ æÇÍÏÉ
ÞÏíã 2012-07-04, 14:45   ÑÞã ÇáãÔÇÑßÉ : 2
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expressions écrites: 36 sujets
Sujets d'expression écrite
A RETENIR:
Dans le cas des sujets qui sont formulés sous forme de questions nous demandant notre point de vue (Que pensez- vous de...?/ Etes-vous d'accord avec...?/ Partagez-vous la position de...?/ Etc, il ne faut jamais commencer par répondre: Je suis d'accord avec.../ Je pense que.../ Je suis contre..., etc. Il est obligatoire de procéder à l'analyse des différents aspects du problème, d'exposer les multiples points de vue avant d'exprimer votre propre opinion. Par ailleurs, il ne faut jamais omettre d'introduire la rédaction et de la conclure.
Exemple:
Faut-il à votre, à votre avis, accorder une grande liberté aux jeunes, ou au contraire doit-on la limiter?
Introduction
(Annoncer le plan)
Certains disent qu'il faut accorder une grande liberté aux jeunes; d'autres soutiennent le contraire.
Développement
1ère partie: Accorder plus de liberté:
- L'homme est né libre; c'est un droit que reconnaissent les religions, les constitutions, les différentes cultures.
- Un individu dont on limite la liberté serait semblable à un esclave.
- La liberté est une condition de l'épanouissement de l'individu.
- La liberté permet au jeune d'apprendre lui-même, d'être autonome et responsable.
- Priver un enfant de liberté, ou la réduire, c'est en faire un citoyen lâche et peureux.
- La liberté est une condition nécessaire de la créativité.
2ème partie: Limiter la liberté:
- Il faut protéger les jeunes car ils ne sont pas assez mûrs.
- Les dangers qui menacent les jeunes sont de plus en plus nombreux.
- Une grande liberté peut conduire le jeune à s'adonner à la drogue, au tabagisme, à la prostitution...
- Parfois, on fait un mauvais usage de la liberté.
- La liberté débridée conduirait à la négligence des devoirs scolaires, familiaux, sociaux...
- Chaque société pose des limites d'ordre moral, religieux et social à la liberté de l'individu.
- Il n' y a pas de liberté absolue.
- Un grande liberté peut entraîner l'anarchie.
3ème partie: Point de vue personnel
A mon avis, il est utile d'accorder une grande liberté aux jeunes. Cependant, il faut leur faire comprendre qu'il y a une différence entre la liberté et l'anarchie. Ils doivent savoir qu'il n'y a pas une liberté absolue, mais une liberté conditionnée par la religion, la loi et les valeurs éthiques de la société.
Conclusion
Les partisans et les détracteurs avancent des arguments multiples. Mais, il faut doser la liberté.
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Sujet 1:
Faut-il ou non être curieux?
La curosité prend chez l'homme deux formes: curiosité intellectuelle et curiosité indiscrète.
La curiosité intellectuelle est une qualité:
- La curiosité intellectuelle est nécessaire pour savoir, comprendre.
- Le désir de découverte chez l'enfant est essentiel. L'enfant est naturellement curieux de tout ce qui l'entoure. Il a envie de connaitre et percer les secrets.
- Un manque de curiosité peut dénoter une timidité.
La curiosité indiscrère est un défaut:
- L'indiscrétion est une impolitesse. Aimerions-nous que les autres se mêlent de nos affaires?
- La curiosité quotidienne à l'égard de ce que font les gens est blâmable.
Elle peut avoir bien des causes: l'ennui, le plaisir de rapporter ce que l'on sait et que les autres ne savent pas, celui de médire, pour nuire ou pour satisfaire une envie dissimulée.
Il ne faut pas être curieux; il faut respecter la vie privée d'autrui.
La curiosité intellectuelle est une qualité qui mérite d'être cultivée.
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Sujet 2:
Faut-il avoir ou non de l'ambition?
L'ambition est un désir ardent d'avoir quelque chose ou d'être quelqu'un. Elle est souvent associée à la recherche du pouvoir et de réussite sociale.
Celui qui a de l'ambition a le désir ardent de s'élever au-dessus de sa condition et d'atteindre à la supériorité dans le domaine qui est le sien. N'est-ce pas grâce à l'ambition que beaucoup d'efforts sont fournis, que beaucoup de réussites sont obtenues, que le monde progresse?
Mais, l'ambition peut être nuisible. N'est-elle pas responsable de beaucoup de vanités, de rivalités et des fureurs qui agitent le monde?
Il est bon d'êtrte ambitieux. Cependant, il faut souvent modérer ses désirs, les adapter aux possibilités.
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Sujet 3:
La résignation est-elle une qualité ou un défaut?
La résignation est une attitude qui consiste à se soumettre, à accepter sans protester.
La résignation est une qualité:
- La résignation n'est pas une faiblesse ou une impuissance, mais
elle témoigne de la sagesse.
- Il faut préférer la résignation à la révolte.
- De la révolte naît le progrès.
la résignation est un défaut:
- Quand on se résigne, on accepte toujours d'obéir à une autorité, aux événements. On peut donc accepter des choses injustes ou contre lesquelles on pourrait agir d'avoir tort quand on a raison...On perd donc l'habitude d'avoir l'esprit critique, de lutter.
"Je n'y peux rien", "Le destin l'a voulu"...
- La résignation est synonyme de démission, de renoncement, donc de faiblesse.
- Il faut préférer la révolte à la résignation.
La résignation est donc un défaut.
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Sujet 4:
L'optimisme aide-t-il à vivre?
L’optimisme désigne chez l’être humain un état d’esprit qui perçoit
le monde de manière positive. C'est une attitude qui consiste à
prendre les choses du bon côté.
Les optimistes bénéficient de certains avantages sur les gens qui ne le sont pas. Ils voient la vie du "bon côté" et minimisent les échecs, les malheurs. Ils sont moins atteints dans leur sensibilité et dans leur vitalité.
En cas de difficulté, ils peuvent mieux réagir et rester actifs. Pour
leur entourage, ils sont "sécurisants" (solidarité, sérénité, santé morale...).
Donc, l'optimisme aide à vivre.
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Sujet 5:
Le travail est-il une servitude?
Le travail est une servitude. Il est parfois pénible, parfois peu rémunéré, parfois humiliant (être commandé, être peu considéré dans certains métiers), parfois sans attrait (métier non choisi), parfois ennuyeux (routine), parfois absorbant (peu de temps libre).
Le travail n'est pas une servitude. C'est un service; chacun profite
du travail de tous. Il libère d'autres soucis:le besoin, l'ennui, le vice.
Il apporte l'indépendance financière et la responsabilité. Il permet de gagner sa vie et celle de la famille.
Le travail n'est pas une servitude, mais c'est une nécessité vitale et sociale.
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Sujet 6:
Le travail éloigne de nous le vice, l'ennui et le besoin. Qu'en pensez-vous?
De par sa nature, l'homme est un être actif, mais vulnérable, il est toujours disposé à faire n'importe quoi pour s'épargner du vice, de l'ennui et du besoin. Donc, le travail constitue en général son refuge. L'oisiveté accule à la fréquentation des lieux malsains. Là, il sera la cible de gens sans scrupules qui, pour lui soutirer de l'argent, vont lui faire miroiter des délices paradisiaques. Il vivra dans la débauche, la luxure. Il passera des nuits orgastiques. Le futur délinquant s'adonnera également au vol et au jeu. Beaucoup de nos camarades malchanceux dans leurs études n'ont pas échappé à cette tentation. Ils constituent cette classe de malfaiteurs et de parasites qui déstabilisent la société. Au bout de quelques années, ils sont exclus du corps social et deviennent des gens abrutis, des épaves.
Le travail nous préserve donc du vice, mais il constitue aussi un rempart contre un autre mal non moins nuisible, à savoir l'ennui. Faute d'occupation, l'homme s'ennuie, se réfugie dans l'anonymat en marge de la collectivité. Il devient apathique, irritable, susceptible. Il nourrit des complexes. On est dégoûté par tout ce qui nous environne. On épreuve une extrême lassitude morale et physique. Qui parmi nous pendant les grandes vacances
n'a pas éprouvé ce vide et la mélancolie et n'a pas souhaité retrouver l'école pour mettre fin à ce calvaire.
Si l'élève déploie aujourd'hui beaucoup d'efforts, c'est qu'il escompte vivre plus tard une vie décente.
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Sujet 7:
Préférez-vous lire un roman ou voir un film?
Dans le roman, le lecteur a la possibilité de relire et il a le temps de
réfléchir. Mais, la lecture impose un effort d'attention soutenue. La
lecture exige du temps et de la patience.
Dans le film, le spectateur est frappé par les images, il est séduit par
la présence physique des personnages et il est entraîné par l'action.
Cependant, le rythme du film peut paraître trop rapide et ne laisse
en tout cas pas le temps à la réflexion.
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Sujet 8:
L'argent fait-il le bonheur?
L’argent est très important dans la vie. En effet, c’est grâce à lui qu’on pourra obtenir les choses dont on a envie. De plus, l’argent permet la réalisation d’un profond et authentique désir d’indépendance. En outre, c’est l’instrument de pouvoir, de puissance et un facteur de réussite sociale. Un homme riche est respecté et valorisé. Enfin, l’argent contribue au bien-être matériel. C’est ainsi qu’il permet de posséder une voiture, ou encore une maison, de se nourrir, de se vêtir, d’avoir les moyens d’acheter sans compter, de voyager beaucoup, et par là même, être heureux. L'argent est la clé magique qui ouvre toutes les portes.
Pour certains, il offre un grand pouvoir de séduction. Il permet à d'autres de se sentir rassurés. Ou bien encore, il incarne un symbole de liberté. Chacun entretient donc avec l'argent une relation particulière et y trouve son compte.
L'argent a une symbolique très puissante. Pour beaucoup, il est synonyme de puissance, de force, de plaisir. Il permet aussi à certains d'exercer un pouvoir sur les autres, dans le couple, en famille ou au sein de l'entreprise.
L'argent représente aussi la sécurité, la protection. Ceci est très significatif chez les personnes âgées : beaucoup ont tendance à amasser de l'argent, à le cacher. Elles érigent ainsi une sorte de rempart de protection contre la vieillesse, mais aussi contre la mort. Enfin, l'argent est source de plaisir.
L'argent peut faire le bonheur, mais à condition de le dépenser pour le bien d'autrui ou de bonnes causes. La finalité de l'argent est de contribuer au bonheur, lequel est inconcevable sans le service de Dieu, qui doit toujours conserver sa primauté absolue sur tout le reste. Ordonné au service de Dieu, l'argent est aussi ordonné au service des hommes, au service de tous les hommes et de leurs besoins. Or, l'argent, convertisseur universel des richesses, cesse de contribuer au bonheur personnel et social, lorsqu'il devient une fin en soi, lorsqu'il s'affirme comme source de pouvoir indépendante de toute règle morale.
Il faut admettre que l'argent facilite grandement la vie au sens pratique : cadeaux, petits plaisirs, sorties, vacances… Avoir de l'argent permet aussi de faire des études. Bref, il contribue à rendre la vie plus simple et à être heureux. Mais, le bonheur ne dépend pas uniquement de l’aspect matériel.
L’argent ne fait pas toujours le bonheur. Il ne peut être à lui seul porteur de bien-être et de joie. Beaucoup de gens sont riches, pourtant ils sont malheureux. L'argent est certes nécessaire à notre vie, mais pas au point de détenir la clé du bonheur. Il y a d'autres valeurs qui comptent dans la vie, par exemple l'amitié, l'amour, la famille et la santé. Ils peuvent procurer un bonheur véritable parce qu'on ne peut pas les acheter. On peut posséder tout ce que l'on veut et se sentir insatisfait et ressentir un manque.
En somme, l'argent nous permet de gagner notre vie, d’assouvir nos désirs, et d’assurer le confort. Mais à lui seul n'apporte pas le bonheur car beaucoup de gens fortunés sont malheureux.
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Sujet 9:
Préférez-vous vivre dans un immeuble ou dans une villa?
La vie en villa a ses avantages. Plus d'air, plus d'espace, plus d'éléments naturels. Mais, la vie en villa a ses inconvénients: coût d'achat et d'entretien élevés, insécurité, nécessité d'un personnel domestique.
La vie en immeubles a ses inconvénients. Les dimensions des appartements sont souvent réduites. Il y a présence de voisinage parfois pesant.
Elle a pourtant ses avantages: moins d'isolement, plus de sécurité, coût de ********, d'entretien, en général, modérés, proximité des services (commerce, école...).
Si je dois choisir, j'opterai pour l'immeuble par raison car il est plus en rapport avec ma situation et mes moyens.
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Sujet 10:
En vous rappelant votre enfance, dites comment vous aimeriez élever vos enfants plus tard?
Un jour, ma mère m'emmena ches des cousines pour mon anniversaire. Elle m'avait affublé d'un pantalon tout neuf alors que j'avais réclamé mon vieux "jean". Ce que je craignais arriva: je glissai d'un arbre où je m'étais perché, déchirant ce maudit pantalon. Triste bilan d'anniversaire: un pantalon déchiré, une fessée, les airs moqueurs des cousines, un retour précipité à la maison.
J'avais eu d'ailleurs un mouvement de révolte: "C'est ta faute, avais-je crié à ma mère! Et puis, ce n'est pas ton anniversaire, c'est le mien!"
Il me semble que les adultes sont égoïstes: ils veulent avant tout rechercher leur plaisir et par là gâchent souvent celui des enfants. C'est pourquoi, plus tard, je me promets d'écouter mes enfants.
Les enfants doivent vivre dans une atmosphère de paix, de joie, d'attention de compréhension et d'amour. La bonne éducation des enfants doit être le souci principal des parents.
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Sujet 11:
L'égoïsme est un défaut qu'il faut corriger. Discutez.
L’égoïsme est un vilain défaut. Il désigne une tendance à ne rechercher que son plaisir ou son intérêt personnel.
L’égoïste ne pense qu’à lui et se désintéresse complètement des autres. Il est essentiellement préoccupé de lui-même ; ses choix, ses relations convergent vers un même but : ramener tout à soi; il ne tient compte ni du monde, ni des intérêts extérieurs, ne se soucie pas des autres.
Pour "guérir" de l’égoïsme, le point de départ est de prendre conscience de ce défaut et des effets dommageables qu’elle a pour soi-même ; à partir de là, il devient possible de se dégager petit à petit du cercle vicieux où elle nous enferme. Progressivement, on
va s’ouvrir aux autres et échanger avec eux. On a tous besoin des autres; il faut donc se débarrasser de ce défaut et être altruiste.
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Sujet 12:
L'indifférence est dénoncée comme l'un des maux les plus graves du monde actuel. Voud vous efforcez par des exemples précis comment ce mal se manifeste et quelles en sont les conséquences dans la vie sociale.
Il est vrai que le monde actuel souffre de plusieurs maux comme
les guerres, la famine ou l'injustice. Miais l'indifférence n'est-elle
pas en quelque sorte l'origine de bon nombre de ces malheurs?
A travers quelques exemples, nous allons essayer de montrer comment se manifeste l'indifférence et quelles sont les
répercussions qu'un tel mal peut avoir sur la vie sociale.
Une femme que nous avons rencontré au coin de la rue et
qui n'avait aucune destination précise, tenait un bébé mourant
dans ses bras. Un enfant en haillons, sale et maigre la suivant
en s'accrochant à ses habits déchiquetés. Et tous ces gens, bien
habillés et pleins de santé qui semblaient pressés, la croisaient ou
la dépassaient sans s'arrêter ou même sans daigner lui jeter un
regard.
L'indifférence est une forme de racisme.Et ceci va de la simple
bousculade jusqu'au refus de "l'autre" jusqu'au geste de
l'automobiliste qui ne s'arrête pas pour venir en aide à un autre
automobiliste en panne. Les exemples sont multiples et divers.
Un tel geste peut être grave sur le plan des relations et de la
communication. Les personnes victimes de l'indifférence peuvent
être soit des gens malheureux soit des gens révoltés ou agrssifs.
L'indifférence nous concerne plus directement, c'est-à-dire qu'étant
un problème ayant trait aux relations humaines et aux problèmes
quotidiens, il est dans le pouvoir de chacun de nous d'oeuvrer en
vue de le résoudre. Il faut essayer de soulager les hommes qui souffrent.
On donnerait ainsi un goût moins amer à la vie, il y aurait plus de
justice et les sentiments humanitaires en seraient valorisés.
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Sujet 13:
Etes-vous pour ou contre la femme qui travaille. Justifiez votre réflexion.
Pour la femme qui travaille:
- La femme a acquis les mêmes droits que l'homme.
- Elle aide son mari et participe au développement et au progrès du pays.
- Elle occupe une place importante dans la société: elle est médecin, avocat, pilote, etc.
- Elle n'est plus soumise et marginalisée comme autrefois.
Contre la femme qui travaille:
- La femme doit rester à la maison pour s'occuper du foyer et des enfants.
Le mari seul doit travailler pour nourrir la famille et subvenir aux besoins de la progéniture.
- La femme a causé le chômage de l'homme.
- Elle est souvent exposée au harcèlement sexuel dans la rue ou au travail.
Je suis pour la femme qui travaille parce qu'elle est l'égale de l'homme et elle doit jouir de tous ses droits aussi bien dans le domaine social, politique ou économique.
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Sujet 14:
La guerre tue, attriste et fait réfléchir.
Développez cette idée par une réflexion personnelle et argumentée.
De nos jours, les guerres éclatent un peu partout dans le monde. Les conflits armés se multiplient, laissant derrière eux beaucoup de morts; en conséquence les familles sont endeuillées. Cela donne matière à réflexion.
Les guerres qui éclatent ici ou là entrainent derrière elles des centaines, des milliers et parfois des millions de victimes. La guerre du Vietnam, par exemple, a causé la mort de plusieurs millions de personnes des deux côtés, américain et vietnamien. La guerre d'épuration ethnique qui a visé les bosniaques a donné lieu à une scène tragique jonchée de cadavres et de corps mutilés.
Quand la violence s'empare des hommes armés jusqu'aux dents, ils ne distinguent plus entre les enfants, les femmes ni les vieux.
La mort d'un soldat ou d'un civil attriste toute une famille. En effet, la mort des hommes, surtout les pères de famille créent une situation dramatique: maints enfants se retrouvent du jour au lendemain orphelins. La situation est plus tragique lorsque les deux parents trouvent la mort dans la guerre! L'enfant n'a plus
personne pour s'occuper de lui; dans le meilleur des cas, ils sont confiés à des orphelinats, sinon ils sont condamnés à mendier et à errer dans les rues.
Une autre scène de l'après-guerre, celle des mutilés, des estropiés et des handicapés.
La destruction des maisons, des écoles, des hôpitaux et de tous les édifices publics constitue une catastrophe.
Toutes ces horreurs et ces tragédies doivent inciter l'homme à réfléchir. Tous les conflits peuvent être réglés par des moyens pacifiques. Pour cela, il suffit que les uns écoutent les autres. Bref, le dialogue doit régner.
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Sujet 15:
Il arrive souvent que l'on éprouve le besoin de confier ses problèmes à quelqu'un. A votre avis, cela n'est-il pas dangerux?
L'homme est un être social; il vit en groupe: il a besoin de communiquer.
L'individu se trouve dans la nécessité de communiquer ses secrets à autrui, de leur faire part de ses problèmes.
Confier ses problèmes à quelqu'un est dangereux:
- c'est rendre ses secrets publics.
- menace pour la vie intime.
- avoir des problèmes à cause de certains secrets divulgués.
- détruire les relations familiales, amicales...
- se retrouver dans une position de faiblesse devant une personne qui utilise nos secrets comme arme dirigée contre nous.
Se confier à quelqu'un est un besoin:
- l'homme est un être social, il a besoin de communiquer.
- se confier est un soulagement.
- se confier permet de se libérer des problèmes.
- se confier, c'est sentir qu'il y a des amis qui nous écoutent, qui sont solidaires avec nous.
Il faut bien choisir ses amis intimes.
Se confier est dangereux, mais nécessaire.
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Sujet 16:
Vous avez été victime d'une injustice. Racontez.
C’était un lundi matin en cours de français, la séance se déroulait tranquillement ; les élèves étaient concentrés sur l’explication du professeur, tout allait bien quand toutà coup la leçon fut interrompue à cause des cris de ma voisine qui m’accusait
à tort d’avoir volé son portable.
Tous les regards de mes camarades étaient braqués sur moi. Je me sentis humiliée et tournée en dérision.
On fouilla dans mes poches et mon cartable. Mais, on ne trouva rien. Je fus victime d'uneinjustice dont je fus innocent.
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Sujet 17:
Rédigez le portrait satirique d’une personne.
Physiquement, c’est un gringalet trapu. Quand il marche, sa silhouette ramassée et son ventre bedonnant lui donnent l’allure d’un ballon qui roule ou d’un personnage grotesque des dessins animés.
Ses traits sont grossiers. Son teint ferreux est assombri par des cheveux rêches et des sourcils broussailleux qui surplombent ses yeux exorbités.
Mais ce qui attire le plus dans sa physionomie, c’est son nez crochu et ses grosses narines qui détonnent avec la petitesse de son visage. Sa bouche exagérément lippue et son menton en galoche rappellent les difformités qu’on trouve dans les caricatures.
Lorsque ce petit bonhomme parle, il nasillarde ; aussi finit-il toujours par lasser ses interlocuteurs.
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Sujet 18:
Il vous est arrivé d'éprouver un sentiment de honte.
Décrivez ce que vous avez ressenti et comment vous avez réagi.
Un jour, j'ai menti à mon père sur le coût du livre de français. Mon père s'en est aperçu. Il ne m'a pas adressé de reproches sinon par le regard.
J'ai ressenti un sentiment de remords et de honte: j'ai rougi, ai baissé la tête, ne savais plus quoi faire ni quoi dire, et suis sorti.
J'ai décidé de ne plus recommencer cette mauvaise action.
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Sujet 19:
A votre avis est-il souhaitable d'avoir peu ou beaucoup d'enfants?
Justifiez votre point de vue à l'aide d'arguments.
Avoir peu d'enfants
Les raisons économiques :
-La cherté de la vie.
-Salaire maigre.
-Subvenir aux besoins des enfants (alimentaires et vestimentaires).
-Des projets d'avenir: ex: construction d'une maison.
Les raisons éducatives :
-Contrôle du travail scolaire.
-Leur fournir les moyens instructifs (Livres, romans...).
-Permettre aux enfants de faire des heures supplémentaires ou de
poursuivre leurs études.
Avoir beaucoup d'enfants
Les raisons économiques :
-Les enfants peuvent accomplir différentes tâches (élevage, commerce...).
-Production énorme.
-Richesse, fortune.
Les raisons traditionnelles :
-Perpétuité familiale.
-Signe de la puissance.
-Ignorance de certains parents.
Les raisons religieuses :
-La polygamie.
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Sujet 20:
Il vous est arrivé d'avoir peur. Racontez en quelles
circonstances et décrivez vos réactions.
Un jour, je suis sorti du cinéma très tard. La nuit était déjà tombée et je me suis trouvé obligé de parcourir 5 km pour rentrer à la maison.
Après une longue marche, j'étais en dehors de la ville.
A mi-chemin, j'ai eu l'impression que quelqu'un marchait derrière moi. Malgré cela, je n'ai pas pu me retourner pour voir.
A ce moment-là, mon coeur battait très fort, mes membres tremblaient, j'ai ressenti que mes cheveux se dressaient sur ma tête.
Sans hésiter, je me suis mis à courir et je ne me suis arrêté que lorsque j'ai été au milieu du village.
C'était une très grande peur que je n'oublierai jamais.
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Sujet 21:
Le premier jour où on va à l'école pour la première fois reste mémorable.
Racontez ce qui s'est passé ce jour-là et dites ce que vous ressentez.
Le premier jour où l'élève va à l'école pour la première fois est un jour qui reste vivant dans la mémoire de chacun.
Je me souviens très bien de mon premier jour à l'école. C'était un lundi. Ma mère me réveilla de bonne heure. Elle me vêtit d'habits neufs qu'on avait achetés spécialement pour cette occasion. Ensuite, je mangeai le petit déjeuner que ma mère m'avait servi sur la table.
Une heure plus tard, ma mère me tenait par la main et m'emmenait à l'école. Ma crainte augmentait à mesure qu'on s'approchait de l'école.
Lorsque nous arrivâmes, je vis devant la porte de l'école beaucoup d'enfants.
Certains, comme moi, étaient accompagnés de leurs parents. Quand on entendit la sonnette qui annonçait l'heure des cours, ma mère me fit entrer et s'en alla.
Je pris place parmi des élèves qui faisaient la queue devant une classe. Un monsieur vint vers nous; il nous sourit. Cela me rassura. C'était mon maître.










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