l'avocat Jacques Vergès visite une cellule de la prison d'Alger où étaient enfermées les femmes condamnées à mort, dont sa cliente et future épouse Djamila Bouhired.
La voix de Jacques Vergès s'enroue en évoquant ses clients condamnés à mort, heureusement jamais exécutés, ce qui l'aurait conduit à faire vengeance.
Cette émotion qui ne semble pas feinte permet de comprendre ce trait de sa personnalité, et son implication très personnelle, extrêmement empathique, de ses clients qu'il appelle ses amis.
La vie de Djamila Bouhired a été adaptée au cinéma par Youcef Chahine.