Khedira/Juifistes : H.B.R.C. : Tortures - N°35 : Tentatives de clochardisation.
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TORTURES - N°35
(v.: 1.01)
Il s'agit de la description d'un fait de torture rentrant dans le cadre d'un ensemble d'actes d'atrocités et de barbaries commis à mes dépens par les juifistes (ou sous leur instigation), plus particulièrement français, le long de très longues années en faisant principalement usage d'un système de type "Mind Control" (système HBRC). Ces faits relatés ne sont qu'une part de la vérité, car la réalité dépasse toute imagination, les juifistes sont les êtres les plus criminels et les plus abjects qui puisse exister sur terre, toutes les dénonciations qu'on peut lire ici et là-bas à propos des juifistes sont bien incomplètes pour expliquer ce que c'est un juifiste. De plus, les crimes commis dans le cadre de mon affaire dépassent toute imagination, sont en bonne partie inédits, et ceux qui auront la chance de croire ou de saisir le sens de leur authenticité pourront comprendre la corruption que sèment de nos jours les juifistes sur terre ainsi que leur élévation dans le domaine de tout ce qui est crime.
"DEBUT:"
ELEMENTS D'UN TYPE D'ACTE DE TORTURE
INTITULE ou REFERENCE: Tentatives de clochardisation.
AUTEURS: Juifistes.
TYPE: Torture Physique.
DESCRIPTIONS: Un ingénieur en télécommunications diplômé d'une grande école française étranger en France auteur d'une invention transformé en un crasseux clochard errant dans les rues sans le sou et sans un domicile : voila ce que les juifistes français ont tenté de faire de ma personne. Pour parvenir à un tel objectif les juifistes agents du service de contre-espionnage de la France ont tout fait pour entraver mes activités professionnelles, malgré le fait que j'ai pu réaliser une très lucrative innovation industrielle que les juifistes ont volé pour s'enrichir avec, ce qui a abouti à ma privation de ressources financières et ce qui m'a conduit vers une situation critique; car en plus via au moins une raison d'Etat (au-delà même du système "mind control"), dont le pouvoir est infini en France, ils empêchaient des personnes de m'aider financièrement, de surcroît avec l'appui de la police tunisienne ils m'ont privé en fin de compte de l'appui financier émanant de ma famille en Tunisie (voir le texte : TORTURES - N°15 ,et TORTURES - N°21). Ne plus avoir d'argent conduit à ne plus pouvoir payer de loyer et en fin de compte à être expulsé de mon logement, c'est à quoi les juifistes ont réussi à parvenir à cela en avril 2001 après environ 6 années des démarches et des tentatives. Je pense que c'est surtout le fait que mon affaire est devenue assez connue par de tant d'importantes personnes qui a freiné les ardeurs des juifistes, mais après cette expulsion de mon logement j'ai dormi deux nuits dans les rues de Paris et par la suite j'ai pu trouver via les aides sociales (...) un logement au sein d'un foyer pour immigrés dans une lointaine banlieue de Paris. Au sein de ce foyer quasi continuellement les juifistes me faisaient comprendre qu'ils aspirent à me mettre dans la rue, sachant qu'ils m'ont fait expulser de France vers la Tunisie alors que j'avais encore une chambre au sein de ce foyer pour travailleurs immigrés (voir le texte : TORTURES - N°17). Soit dit en passant, c'est en 1995 ou 1996, quand j'ai commencé à avoir des problèmes de ressources financières que le pseudo-juifiste agent du service de contre-espionnage de la France (D.S.T.), le dénommé Frédéric A., prédécesseur du dénommé Laurent RACCAH, installé en mon voisinage direct au sein de mon immeuble d'habitation, qui m'a dit sur un ton menaçant que bientôt je serai un homme fini, c'est à dire que je serai un clochard dans les rues de Paris ou d'ailleurs. En Tunisie, tout en perpétuant mon empêchement de l'exercice librement d'une quelconque profession et donc tout en me privant de décentes ressources financières les juifistes menacent toujours à accomplir mon éloignement du domicile familial, ce qu'ils ont essayé avec force de la faire tout juste après qu'ils ont assassiné lâchement mon père en juillet 2004.
LIEUX: France et Tunisie.
FREQUENCES: C'est une criminalité qui a été réellement mise en oeuvre au moins lors de deux occasions et qui demeure toujours potentiellement de mise.
OBJECTIFS: Déstabilisations, mon enterrement vivant, la solution finale, se débarrasser définitivement de ma personne, ...
MASQUAGES: Pour tenter de contrer et discréditer cette dénonciation les juifistes, munis du système "mind control", essaient vraisemblablement secrètement de faire imposer aux crédules que je souffre de troubles psychiatriques comme ils ne cessent d'investir dans cette direction (internements psychiatriques...), ou ils essaient de tenter de faire croire que je suis un anti-sémite comme tant de musulmans dont ils massacrent malignement à travers le monde les semblables en grande quantité (des centaines de milliers ou plus juste encore des millions) depuis des longues décennies à travers des pays dits développés qu'occupent et piétinent ces criminels juifistes, ...
DOULEURS ET INCIDENCES: Désocialisation, déstabilisation, et toutes les conséquences liées au fait qu'une personne devienne un clochard errant dans les rues sans domicile et sans ressources financières pour vivre dignement.
REMARQUES: Cette barbarie consistant à transformer en clochard un quelconque individu de valeur est une criminalité typiquement juifiste assez connue en France et ailleurs.
":FIN."
Tous les commentaires, remarques, et interrogations sont les bienvenues.
Adel Ben Hassine Ben Abdel Kader KHEDIRA,
Ingénieur en télécommunications,
à la date du 20/10/2012.
N.B. : Les juifistes ont œuvré lors de ces dernières années à tout faire pour m'empêcher d'accomplir la détaillée rédaction de textes relatives aux tortures qu'ils me font subir depuis longtemps. Ils ont aussi tenté de me faire perdre mon temps et à m'aiguiller vers des éléments secondaires dans l'objectif d'épargner les criminels juifistes. Face à ces entraves, j'ai eu recours à la solution consistant à saucissonner la dénonciation de ces actes de tortures à travers des textes assez courts expliquant à chaque occasion un quelconque acte de torture.