tlemceni
2008-12-31, 22:15
Un de mais amis m’a conseille r de lire au fameux Paolo Coelho, alors comme je suis en deuxième année de traduction, je ne le voyer que un autre écrivain de mass ou autre de banalités ; tous de même, je me suis laisser guidé par sa recommandation et j’ais acheter un tous petit livre de poche et j’ais commencer a lire ces textes… lire et lire…. Et encore lire, c’est tous ce que je pouvais faire. Les textes m’attiraient d’une façon irrésistible, et les pages se filaient facilement entre mais doigts, dix, quinze et trente page déjà et sans break. Là, et rien qu’au soixante-dixième page, je pourrais dire que mon amis m’aimer vraiment.
Aujourd’hui, je voulais faire de même avec vous puis ce que je vous aime tous. Alors, lisez avec moi cet extrait :
La Piscine du Diable
Je regarde une belle piscine naturelle près du hameau de Babinda, en Australie. Un jeune Indien s’approche.
« Attention de ne pas glisser », dit-il.
Le petit lac est entouré de rochers, mais ils sont apparemment sûrs, et il est possible de s’y promener.
« Cet endroit s’appelle la piscine du Diable, poursuit le garçon. Voilà bien des années, Oolona, une belle Indienne mariée à un guerrier de Babinda, tomba amoureuse d’un autre homme, ils s’enfuirent dans ces montagnes, mais le mari réussit à les retrouver. L’amant s’échappa, tandis qu’Oolona était assassinée ici, dans ces eaux.
« Depuis lors, Oolona confond tous les hommes qui s’approchent avec son amour perdu, et elle les tue dans ses bras d’eau. »
Plus tard, j’interroge le patron du petit hôtel au sujet de la piscine du diable.
« C’est peut-être une superstition, comment-t-il. Mais le fait est que onze touristes sont mots là ces dix dernières années, et tous étaient des hommes. »
je vous invite a acheter ce livre qui ne vous coutera que le trajet à la première librairie
salam
Aujourd’hui, je voulais faire de même avec vous puis ce que je vous aime tous. Alors, lisez avec moi cet extrait :
La Piscine du Diable
Je regarde une belle piscine naturelle près du hameau de Babinda, en Australie. Un jeune Indien s’approche.
« Attention de ne pas glisser », dit-il.
Le petit lac est entouré de rochers, mais ils sont apparemment sûrs, et il est possible de s’y promener.
« Cet endroit s’appelle la piscine du Diable, poursuit le garçon. Voilà bien des années, Oolona, une belle Indienne mariée à un guerrier de Babinda, tomba amoureuse d’un autre homme, ils s’enfuirent dans ces montagnes, mais le mari réussit à les retrouver. L’amant s’échappa, tandis qu’Oolona était assassinée ici, dans ces eaux.
« Depuis lors, Oolona confond tous les hommes qui s’approchent avec son amour perdu, et elle les tue dans ses bras d’eau. »
Plus tard, j’interroge le patron du petit hôtel au sujet de la piscine du diable.
« C’est peut-être une superstition, comment-t-il. Mais le fait est que onze touristes sont mots là ces dix dernières années, et tous étaient des hommes. »
je vous invite a acheter ce livre qui ne vous coutera que le trajet à la première librairie
salam