ملأ المؤسسات التربوية بالبنات....لماذا ؟؟؟ - الصفحة 2 - منتديات الجلفة لكل الجزائريين و العرب

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ملأ المؤسسات التربوية بالبنات....لماذا ؟؟؟

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قديم 2015-09-28, 18:48   رقم المشاركة : 16
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silegue
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بداية السلام عليكم و رحمة الله تعالى وبركاته
إقترحت على مفتش المادة في إحدى الندوات التربوية أن يفصل الاساتذة الذكور في عملية التفويج حتى يتم النقاش
بدون إحراج أحد فسخر مني الجميع و خاصة الاستاذات و اعتبروني من القرون الوسطى و أحمل فكرا متخلفا و متحجراووووووووو
و رماني المفتش ب ب ب ب.... فعجبت من نساء اليوم اللواتي أصبحن يبحثن عن الاختلاط و لا يتحرجن من أي شيئ حتى المتزوجات منهن
ففرحت بهذا الوصف و قبلته بصدر رحب في زمن أصبح من يدافع عن العفة فيه و الحياء من القرون الوسطى.....أحيطكم علما أني أستاذ مكون
في مادة الرياضيات بدأت التعليم في شهر سبتمبر سنة1984









 


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قديم 2015-09-28, 18:51   رقم المشاركة : 17
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ابن الجزائر 65
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المرأة المتدينة تحطها فالسوق و ما تخافش عليها

كلش راجع للتربية










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قديم 2015-09-28, 18:52   رقم المشاركة : 18
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بشيرزوز
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أصبح الآن زوجة الرجل تجلس مع رجل غريب عنها الساعات الطوال ، و الكل يعلم عاقبة ذلك من المفاسد و الآثام
و لكن لأجل مال فان و دنيا زائلة يذلّ الرجل نفسه و يرضى لزوجته ذلك ، وهذا طبعا ناتج عن موت قلبه و العياذ بالله ....










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قديم 2015-09-28, 19:54   رقم المشاركة : 19
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yacin0
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في مؤسستننا يوصل الزوج زوجته الاستادة للعمل ويدهب هويتسكع اوالى المقهى او الى البيت ليحضر الغداء ------- وعملها في االقسم الجلوس على الكرسي والقاء المحاضرات لتلاميد الابتدائي حتى درس الرياضيات الامارحم ربك -----










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قديم 2015-09-28, 20:47   رقم المشاركة : 20
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بلال الحبشي الموحد
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راي الشيخ الشعراوي رحمه الله في الموضوع


https://www.youtube.com/watch?v=5PTRXeNgpZ4










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قديم 2015-09-28, 20:50   رقم المشاركة : 21
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Désormais, seul l’Hexagone existe
pour les moins de 12 ans
par vincent capdepuy
La confection des programmes d’histoire,
on le sait, est un exercice périlleux. S’y
mêle le futur d’une société qui se projette
par son enseignement, un passé complexe emmêlé
de mémoires et troué d’oublis, et un présent
sous tensions. La publication des projets des
programmes de cycle 3 [les deux dernières années
de l’école primaire et la première année du collège]
et de cycle 4 [les trois années de collège suivantes],
au mois d’avril, avait suscité l’ire des réactionnaires
qui, depuis la fin des années 1970, se font l’expression
d’une France de plus en plus rancie.
A ce moment, au contraire, d’autres avaient cru
saisir une lueur d’espoir. Au mois de juin, un forum
fut organisé en Sorbonne où les uns et les
autres purent s’exprimer. Mais seuls certains
semblent avoir été entendus, les premiers, les
plus frileux, les plus obtus. Les programmes définitifs
rendus publics le 18 septembre ont enterré
pour longtemps sans doute notre espérance
d’une évolution notable : un cadre prescriptif
étouffant toute velléité d’innovation pédagogique,
une vision de l’histoire plus que jamais
nombriliste.
RECULADE
Quelle reculade de la part du Conseil supérieur
des programmes (CSP) ! Michel Lussault, qui en
est le président, refuse de l’admettre, mais ces
programmes sont un véritable racornissement
de toute ambition à faire avancer substantiellement
l’enseignement de l’histoire dans ce pays.
Lui qui avait publié en 2013 un ouvrage sur L’Avènement
du monde (Seuil) avalise ici, sous une
pression que l’on devine, des programmes qui en
sont la biffure. La France est redevenue le centre
incontournable de l’enseignement historique. La
France doit être le prisme de l’enseignement historique.
Non seulement le gouvernement opère un recul
sur les propositions antérieures, mais il revient
également sur les programmes de 2008 qui
s’ouvraient à des histoires extra-européennes :
« Si l’histoire nationale reste essentielle, elle ne
constitue plus un passage obligé pour une ouverture
sur l’histoire de l’Europe et du monde. » On se
souviendra peut-être des cris d’orfraie qu’avait
provoqués l’introduction de quelques chapitres
sur l’Inde des Gûpta, sur les « empires » du Mali
ou encore sur le Monomotapa. Nous sommes
rassurés, il n’est plus question d’enseigner l’Afrique.
Elle est désormais sortie de l’histoire. On
imagine la jubilation des conservateurs, dont le
silence signe leur *******ement.
Les programmes de primaire sont la perpétuation
d’une histoire nationale, de la préhistoire à
la construction européenne, en passant par la galerie
monarchiste, de Clovis à Napoléon Bonaparte.
Avant 12 ans, un enfant n’a pas le droit à
l’histoire du monde. Heureusement qu’il existe
des cabanes magiques, qui, aussi médiocres
soient-elles, leur ouvrent des fenêtres sur
d’autres horizons ! Quant au collège, on retrouve
cette longue histoire-tunnel qui, après l’observation
rapide (sic) de cartes de l’histoire du peuplement
du monde par l’humanité naissante,
trouve toujours son origine dans l’« Orient ancien
» et se conclut par la Ve République, avec un
chapitre sociologique étrangement interrompu
aux années 1980, comme s’il était malvenu de
parler des évolutions plus contemporaines de
notre société.
UN RÉCIT DIGNE DU XIXE SIÈCLE
Entre-temps, les élèves auront vu l’Egypte et la
Mésopotamie, la Grèce et Rome, l’Empire carolingien
et l’Empire byzantin, l’Islam, l’Occident
féodal et le royaume de France, les « grandes découvertes
», l’humanisme, la monarchie absolue,
la traite atlantique, les Lumières, la Révolution
française, l’Empire, la « révolution industrielle »,
la colonisation, la IIIe République, les deux guerres
mondiales, les génocides des Arméniens, des
Juifs et des Tziganes, Vichy et la Résistance, la
guerre froide, les indépendances et l’émergence
du tiers-monde, le « monde après 1989 », les IVe
et Ve Républiques. Ouf ! tout est là. Rien n’a été
oublié du roman civilisationnel élaboré progressivement
depuis le XIXe siècle. Rien ? Si ce n’est le
monde.
Alors, certes, il y a un petit excursus le long de la
« route de la soie », mais quid de la Chine après
les Han [à partir de 206 av. J.-C.] ? Quid de l’Inde,
de l’Iran et de tous ces pans du monde qui méritent
tout autant d’être évoqués ? Alors c’est vrai, il
y a le temps, cette peau de chagrin que les enseignants
essayent, vaille que vaille, de préserver,
entre les chahuts et les injonctions diverses ; et
dans le cadre d’une ambition intellectuelle qui
reste l’objectif de toutes les disciplines et pour
tous les élèves, en vue d’une véritable démocratisation
scolaire, les choix sont impératifs, vitaux.
C’était peut-être l’acquis le plus important des
projets d’avril : casser l’illusion conservatrice, entretenue
par l’Association des professeurs d’histoire
et de géographie (APHG), de maintenir un
récit qui serait cohérent et fondateur de notre
identité, quand l’histoire est certes l’apprentissage
d’un certain nombre de repères, qu’il aurait
été bon de rediscuter, mais aussi et surtout
l’exercice d’une boîte à outils pour penser les sociétés
humaines.
Lorsqu’on parle du monde, il ne s’agit donc pas
de jouer une histoire contre une autre, l’histoire
globale contre l’histoire nationale, selon un manichéisme
forcément trop simpliste. Bien sûr
que la France et la République restent des objets
historiques de référence pour un enseignement
public qui contribue à faire la société, mais pour
l’émancipation d’individus qui sont aussi des citoyens
du monde en devenir, il y a un horizon
beaucoup plus large qui a été oublié. Déjà,
en 1889, Elisée Reclus, s’inspirant d’une définition
du Dieu datant du IVe siècle, écrivait « la
Terre est désormais sans limites, puisque le centre
en est partout sur la surface planétaire et la circonférence
nulle part ». C’est cette capacité à décentrer
son regard qui est au coeur de l’histoire globale
et qui n’a, de toute évidence, pas été comprise
par le pouvoir en place, dont le CSP n’a été
que l’instrument. p










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قديم 2015-09-28, 20:56   رقم المشاركة : 22
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معلم 34
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أنا لست ضد المرأة لو كنا في مجتمع مسلم......فقد أوصانا النبي صلى الله عليه وسلم بها خيرا.....
لكننا في زمن الذئاب.....زمن كثر فيه أهل الخبث....... فصار خروجها خطر..
أما الاختلاط بالأجانب فمحرم شرعا....بالقرآن والسنة
وما فساد المجتمع اليوم الا بسبب الشهوات .......والنساء هن السبب.......
وكلكم تعرفون حقيقة ما أقول......










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قديم 2015-09-28, 21:00   رقم المشاركة : 23
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le monde 29/09/2015
Enseigner plus d’histoire de France
n’est pas du patriotisme éculé
par iannis roder
Comme attendu, la dernière version des
programmes donne une place centrale à
l’histoire de France. Certains s’en réjouiront,
d’autres crieront au patriotisme éculé,
voire à la xénophobie. Mais, à moins d’être un
doux rêveur idéaliste et de penser vivre dans un
monde qui, en réalité, n’existe pas, l’école ne
peut, aujourd’hui, formater les élèves pour en
faire des patriotes convaincus ou des citoyens
sans frontières.
Le débat autour de l’histoire de France devrait-
il être si prégnant, alors que les histoires,
qu’elles soient nationale, européenne et mondiale,
sont intrinsèquement liées et s’interpénètrent
en permanence ? La question de l’enseignement
de l’histoire ne devrait-elle pas plutôt renvoyer
à une des missions essentielles de l’école, à
savoir aider ses enfants à penser la France et le
monde, à éveiller leur intelligence, à leur ouvrir
les portes de la compréhension de l’Histoire, des
événements, des débats et enjeux ?
A faire en sorte qu’ils se reconnaissent dans
les valeurs et principes qui ont fait et font la
France et qui structurent aujourd’hui notre vision
du monde ? L’enseignement de l’histoire
ne doit-il pas aider les jeunes à se construire en
tant que citoyens autonomes, capables de penser
par eux-mêmes, de se dégager des présupposés
et des préjugés dans un univers ultraconnecté
où ils sont abreuvés d’informations ?
Or, les réactions et discours d’une partie de la
jeunesse aux attentats de janvier ont clairement
montré que la tâche est grande. Elle le sera
d’autant plus avec les choix qui s’annoncent. La
précédente proposition de programmes offrait
en effet aux professeurs la possibilité de décider
d’une partie des questions à enseigner. Quelques
maladresses semblent alors avoir été commises,
qui pouvaient laisser penser que certaines
questions fondamentales ne seraient jamais
abordées. Ainsi aurions-nous pu, par
exemple, ne jamais parler des Lumières. Mais
qui peut honnêtement penser qu’un professeur
aurait enseigné la Révolution française sans en
parler et en expliquer les grands traits ?
ILLUSOIRE EXHAUSTIVITÉ
L’idée des chapitres laissés au choix du professeur
pouvait choquer, mais il est illusoire de
croire que l’histoire enseignée en classe puisse
être exhaustive. De fait, les choix permettaient
aux enseignants de prendre le temps, avec leurs
élèves, de creuser certaines questions, de réfléchir,
de travailler sur des documents historiques,
de faire écrire et de faire réécrire. N’a-t-on
pas constaté, dernièrement, que le niveau de
langue et d’expression de nos élèves questionne
? Que leur capacité à distinguer les événements,
les faits et les actes peut poser problème
? Que certains ne parviennent pas à suivre,
car cela va trop vite ? Or, c’est uniquement
en prenant le temps de travailler avec eux, en
historiens, en usant de leur liberté pédagogique,
que les enseignants pourront aider leurs
élèves à construire leur esprit critique.
Mais les programmes actuels confinent parfois
au ridicule, entretenant les élèves dans le
monde du zapping permanent. Comment donner
du sens à notre enseignement, comment
faire penser en consacrant, par exemple, deux
fois cinquante minutes (le temps effectif d’un
cours) au nazisme (c’est ce que demandent les
programmes de 3e, anciens et futurs) ? Le but ultime
du pédagogue doit-il être de trouver astuces
et artifices pour « gagner du temps » ? Ne
s’agit-il pas, plutôt, d’en prendre avec les élèves ?
Doit-on s’étonner que ceux-ci rencontrent des
difficultés d’expression écrite, qu’ils aient du
mal à agencer des idées ?
On se demande aujourd’hui comment lutter
contre le complotisme, contre la montée des racismes,
et on veut continuer à nous faire sauter
d’un sujet à l’autre, quand certains exigeraient
qu’on s’y attarde vraiment. Il en est ainsi, par
exemple, des régimes politiques assassins et
des événements historiques tragiques du
XXe siècle, dont une étude sérieuse peut nous
aider à analyser et à disqualifier les discours ou
idéologies paranoïaques actuels. Etudier le génocide
des Arméniens, le stalinisme, le nazisme
ou encore le génocide des Tutsi du Rwanda
autrement qu’en y passant, au mieux, une ou
deux heures pour chaque thème, donnerait assurément
aux enseignants la possibilité de lutter
contre la progression d’idées nauséabondes.
ENSEIGNER LA COMPLEXITÉ
La majorité des élèves qui les véhiculent ne sont
pas des idéologues, mais n’ont pas les armes
pour trier, analyser et hiérarchiser les informations
qui leur arrivent à flux tendu. Il nous faut
éviter le simplisme et enseigner la complexité.
Or la dernière mouture des programmes ne
nous le permettra pas, et la course contre la
montre reprendra. Dès lors, il sera aisé de penser
que ces professeurs, qui ne consacreront que
quelques petites heures à chaque chapitre,
n’auront pas besoin d’être des spécialistes du
champ disciplinaire. Or, ils doivent être capables
de répondre avec sagesse et assurance aux interrogations
des élèves, qui sont aujourd’hui si
nombreuses et parfois si déroutantes. Ils doivent,
d’abord, être recrutés sur leur capacité à
dire et enseigner une histoire intelligente et problématisée.
Ils doivent être intellectuellement
prêts, car c’est la connaissance scientifique qui
leur permet de réfléchir et de faire réfléchir, de
mettre en perspective, de comparer faits et événements,
et qui en fait de bons pédagogues.
On le sait aujourd’hui, des enseignants témoignent
de difficultés croissantes à enseigner certains
sujets. Il arrive ainsi que le génocide des
Arméniens soit contesté par des élèves, que la
guerre d’Algérie et plus largement la décolonisation,
ou encore l’histoire de la Shoah puissent
également donner lieu à des difficultés ponctuelles.
Comment penser qu’un enseignant sera
capable de répondre aux questions ou affirmations
des élèves autrement qu’en maîtrisant le
fond, c’est-à-dire l’histoire et les débats historiographiques
? Des programmes trop lourds ne
doivent pas servir de prétexte pour former des
professeurs trop légers. Penser le contraire est
bien mal connaître la réalité et ses enjeux.










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قديم 2015-09-28, 21:13   رقم المشاركة : 24
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khaliloo1984
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بارك الله فيك ياصاحب الموضوع









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قديم 2015-09-28, 22:28   رقم المشاركة : 25
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SAFIRE77
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تفكير داعشي،بنت الاصل تحافظ على شرفها حتى وسط غابة الذئاب،وبنت ؟ حتى في بيتها تخون والواقع يثبت هذا،راجع تفكيرك اخي.










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قديم 2015-09-28, 22:51   رقم المشاركة : 26
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fettouhi
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العمل. ليس حرام. وانما يزيد الاحترام مع حسن الهندام. وهذا اصبح لا نراه الا في الاحلام والسلام










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قديم 2015-09-29, 06:22   رقم المشاركة : 27
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mosa 77
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ان لجوء مديريات التربية للاستخلاف بدل قوائم الاحتياط يرجع لكون الاحتياط أغلبهم بنات... ولا يمكن للبنات الاستخلاف في مناطق نائية بعيدة جدا....
يا عباد الله..... أتريدون ملأ المؤسسات التربوية بالبنات ؟؟؟؟هذه كارثة في اعتقادي ...
وأقول وأنا أعي جيدا ما أقول...........والله.....والله.....والله.....لو حافظت البنات على شرفهن وحيائهن ودينهن ما ملئت المؤسسات بهن...........
يا بنات.....حافظن على دينكن وشرفكن........هناك لصوص يتربصنكن..احذرن......احذرن......فقد كثر الخبث والخيانة
وأنا أيضا على يقين أن منكن من يحافظن على شرفهن وحجابهن......بارك الله فيهن.
ــــــــــــــــــــــ لقد دلتني التجارب في الحياة...........أن ملأ المؤسسات بالبنات كارثة .........عليهن وعلى الرجال والكل..
والمكان الطبيعي للمرأة هو البيت..........نعم أنا أعي ما أقول...... ولو بقت المرأة في البيت ما افتتن الرجال والشباب وحتى الكهول الشيوخ......
ـــــــــــــــ ان مخالفة شريعة الله سبب كل فساد ـــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــ

كيما قال. " البومباردي املاحح املاح









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قديم 2015-09-29, 06:26   رقم المشاركة : 28
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mosa 77
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تفكير داعشي،بنت الاصل تحافظ على شرفها حتى وسط غابة الذئاب،وبنت ؟ حتى في بيتها تخون والواقع يثبت هذا،راجع تفكيرك اخي.
هل زوجتك تعمل ؟









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قديم 2015-09-29, 07:41   رقم المشاركة : 29
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المؤمن كالغيث
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تفكير داعشي،بنت الاصل تحافظ على شرفها حتى وسط غابة الذئاب،وبنت ؟ حتى في بيتها تخون والواقع يثبت هذا،راجع تفكيرك اخي.
االله يهديك اخي اتتهم من يغار على بنات المسلمين بتفكير الخوارج انصحك بطلب السماح من صاحب الموضوع فالغيرة من صفات المسلمين ثم أن المثل الشائع يقول كثرة المساس تذهب الإحساس .. و الفاهم يفهم









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قديم 2015-09-29, 08:24   رقم المشاركة : 30
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lotfi69
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اين العقل من كل هذا انا ادرس 4 اقسام نهائى وفي كل قسم لدي 80% بنات و 20%ذكور وهكذا كان لمدة 14سنة ماضية و المتحصلين على البكالوريا اغلبهم اناث و الذكور غالبا يتجهون للمواد التقنية فكيف اليوم تلوم ان عدد الاناث العاملات اكثر من الذكور الا اذا اردت ان تضع اصحاب السنة الرابعة متوسط رجل يدرس نهائى لا لسبب الا لانه رجل. و ليس السبب لان عدد الاناث اكثر لا سالت الكثير من صديقاتي ممن يدرسن في الابتدائى قالو العدد متكافئ او يتجاوز عدد الذكور الاناث و لكن رغبة الاناث في الدراسة يشهد لها اي استاذ.اما العفة و الدين فقد ساهمت الصحابيات في الحروب و مداواة الجرحى و التجارة و الشفاعة و التعليم و الافتاء
عمر رضي الله عنه في ترجمة أم عمارة الانصارية رضي الله عنها قوله: سمعت رسول الله صلى الله عليه و سلم يقول: ما التفت يمينا و لا شمالا يوم أحد إلا و أنا أراها تقاتل دوني. يعني أم عمارة نسيبة بنت كعب. الحديث حسن أخرجه ابن سعد راجع الإصابة ج4/ ص479.
العفة و التدين و العفاف لا تملكها كل النساء كما لا يملكها كل الرجال فلا تحكم على الحالات الشاذة سيدي.










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المؤسسات, التربوية, بالبنات....لماذا


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