ãäÊÏíÇÊ ÇáÌáÝÉ áßá ÇáÌÒÇÆÑííä æ ÇáÚÑÈ - ÚÑÖ ãÔÇÑßÉ æÇÍÏÉ - 55 sujets d'expressions écrites
ÚÑÖ ãÔÇÑßÉ æÇÍÏÉ
ÞÏíã 2012-07-04, 14:50   ÑÞã ÇáãÔÇÑßÉ : 4
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Sujet **:
Certaines personnes aiment pratiquer la chasse; d'autres s'y opposent.
Quelle est votre opinion à ce sujet?
De nos jours, la disparition des espèces est devenu la préoccupation majeure de l’humanité : Plusieurs facteurs
en sont responsables, dont la chasse. Certaines personnes incriminent la chasse ; d’autres récusent cette accusation.
Les partisans de la chasse :
-La chasse est considérée comme un sport.
-Elle fournit à l’homme de la viande.
-Elle permet de connaître la vie des animaux, les espèces animales rares.
-Elle développe la vie associative (création de clubs de chasse, chasse en groupe…).
-Elle permet d’attirer l’attention sur les espèces animales menacées. D’où la création de réserves naturelles, interdiction de chasse…
-Elle permet à l’homme de déverser son agressivité sur les animaux : c’est une sorte d’exutoire.
Les détracteurs de la chasse :
-La chasse est un crime commis par l’homme à l’encontre des animaux.
-L’homme ne chasse pas pour se nourrir : seuls les riches ont les moyens de chasser.
-La chasse cause la disparition de certaines espèces animales.
-Elle nuit à l’écosystème.
-Elle provoque des accidents : plusieurs chasseurs ou promeneurs ont trouvé la mort au cours de la chasse.
Les avis personnels :
-Jadis, la chasse était légitime, mais maintenant on n’a pas besoin de chasser afin de se sustenter.
-De nos jours, l’environnement est en danger. On doit déployer tous les efforts pour le sauver et le préserver ; donc nécessité d’interdire la chasse.
-La chasse est la manifestation de la violence de l’homme d’aujourd’hui : l’agressivité,la violence,le crime…Il faut s’attaquer aux causes de la violence par l’éducation,la sensibilisation.
-Il y a d’autres moyens pour pratiquer un sport sain où sont présents les animaux : élevage des pigeons, course des chameaux…
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Sujet 37:
Ahmed Sefrioui a critiqué les superstitions telles que : la voyance, le charlatanisme, le maraboutisme et la notion de « Chorfas » dans le Maroc des années cinquante (1952). Rédigez un article où vous dénoncez les superstitions du Maroc contemporain.
De tout temps, et dans tous les pays, quels que soient les gens, les superstitions existent plus ou moins répandues et diverses. Il s'agit de croyances plus ou moins liées à des événements religieux et fortuits (imprévus), fondées sur la crainte ou l'ignorance. On croit à divers présages (augures), ceux-ci portent bonheur, ceux-là portent malheur. On se transmet de génération en génération, des expressions, des faits, des situations, des exemples auxquels chacun croit plus ou moins, mais il faut à tout prix se préserver du mal, du mauvais œil ou de la mort. Alors pour ne plus craindre ce qui peut arriver de déplaisant, chacun se rappelle ce que ses parents lui ont transmis.
Certes, elles trouvent leur origine dans la nature humaine surtout celle, confrontée à la frustration et au désespoir, mais elles sont liées étroitement au rang et au niveau socio-économique d'une communauté ou d'un individu. A vrai dire, ce ne sont que des chimères et des illusions voire des mirages et ne reposent sur aucun fondement scientifique.
A travers son roman autobiographique à caractère ethnographique. L'auteur Ahmed Sefrioui nous brosse des scènes relatives aux superstitions qui sévissaient à l'époque coloniale des années 20 pendant laquelle la plupart des marocains végétaient dans la misère. Evidemment, les démunis privés du stricte minimum de moyens matériels, recourent aux charlatans afin de soulager leurs maux physiques et moraux. L'exemple de Lalla Zoubida, la mère du narrateur Sidi Mohammed, et de son amie Lalla Aicha est très significatif .La visite du sanctuaire de Sidi Ali Boughaleb ne les a pas comblées de bénédiction de « baraka » mais elle s'est transformée en cauchemar ; puisque Sidi Mohammed a été la victime de l'attaque d'un « matou» d’un chat. En voilà une critique acerbe glissée par l'auteur afin de dénoncer le maraboutisme puisqu'on ne peut espérer la bénédiction et la protection d'un saint mort.
Bien que les eaux aient coulé sous les ponts, notre société marocaine croit toujours aux miracles des marabouts notamment chez les classes populaires où les mentalités sont restées stagnées .Certainement, le manque d'aisance et de moyens matériels poussent les gens à se soulager à l'aide de remèdes bon marché et de recettes miraculeuses moins coûteuses parce que leur budget ne leur permet pas de consulter des spécialistes, ceci est pour eux un luxe.
L'autre visite effectuée à Sidi El Arafi en est aussi un exemple de taille. Les recettes miraculeuses et magiques recherchées auprès d’un marabout, d’un fqih ou d'une voyante constituent tout simplement la quête du bonheur perdu, le recouvrement de la bonne santé mais à des honoraires dérisoires ou en monnaie de singe.
Les mêmes croyances et les mêmes pratiques continuent à sévir au sein de notre société peut-être à un degré moins important qu’autrefois,mais ils se perpétuent par le biais da la mémoire collective, à cause de la pauvreté et surtout à cause de la misère intellectuelle.
En effet, le progrès d'une nation passe par l'instruction .Or, le taux d'analphabètes est toujours élevé, les conditions de vie de la plupart des foyers marocains laissent à désirer. Certains pour ne pas dire la plupart végètent en dessous du seuil de la misère.
Bref, lutter contre ce fléau nécessite l'amélioration du niveau socio-économique des citoyens. Ainsi leur permettra-on d'accéder à une vie décente voire meilleure et de jouir d'une mentalité évoluée et d'un esprit critique, faisant table rase de toute croyance infondée scientifiquement.
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Sujet 38:
Dans « La Boîte à Merveilles», le narrateur sidi Mohammed tombe malade. Sa mère l'emmène au mausolée d'un saint pour le guérir. Approuvez-vous la conduite de la mère?
Rédigez un texte dans lequel vous essaierez de développer votre avis sur le recours aux pratiques traditionnelles pour guérir les malades.
Dans notre pays, nombreuses sont les personnes qui se rendent
dans des mausolées lorsqu'elles tombent malades. Elles ne
consultent pas le médecin pour différentes raisons. L’exemple de
la mère du narrateur de La Boîte à Merveilles en est très
significatif.
Lorsque le narrateur est souffrant, la mère attribue le mal au
mauvais œil ; elle ne pense guère à une infection ou une
quelconque cause pathologique. Aussi décide-t-elle de l'emmener
dans un mausolée de la ville de Fès, Sidi Ali Boughaleb. Elle est
pleinement convaincue que son fils se remettra bientôt après cette escapade du côté du saint patron de la ville. A l'instar de la mère
inquiétée par la maladie de son fils, beaucoup de gens, qu'ils soient
riches ou pauvres, instruits ou non, cherchent la guérison ou le
réconfort moral auprès des saints.
Les raisons en sont multiples. Les uns n'ont pas assez de moyens financiers pour consulter un médecin ; par conséquent, ils vont aux mausolées. D'autres, recourent à ces pratiques parce qu'ils n'ont
pas confiance en l'efficacité des médicaments modernes.
Je pense que la décision de la mère du narrateur n'est pas
irrévocablement blâmable. C'est une femme pauvre qui n'a pas
assez d'argent pour emmener son fils dans le cabinet d'un médecin.
En plus, elle n'est pas instruite pour savoir que la médecine moderne
peut facilement guérir beaucoup de maladies. Mais ne peut-on pas
voir dans son choix un attachement fidèle à la tradition et au
patrimoine ancestral, la médecine moderne étant un symbole de
l'occupant français ?
Personnellement, je crois que le recours à ces pratiques médicales traditionnelles n'est pas toujours un bon choix. De temps en temps,
les journaux rapportent le drame d'une personne qui a laissé la vie
entre les mains d'un charlatan ou d'un guérisseur. Tel est le cas de
cette jeune fille morte à Témara, parce que le charlatan l'avait sauvagement violentée pour, soi-disant, l'exorciser d'un démon qui
la hantait. D'autres meurent en avalant des plantes vénéneuses ou
des potions dangereuses. Combien de pauvres hommes et femmes souffrent d'un trouble psychique ou mental auront pu être soignés
par un médecin spécialiste sont enfermés dans des condition
inhumaines dans les ghettos de zaouïas ou autres mausolées. Le cas
de ces malades s'aggrave à cause du mauvais traitement reçu de la
part des préposés de ces lieux sinistres comme le cas de Bouya
Omar.
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Sujet 39:
Nombreux sont ceux qui préfèrent voir un guérisseur plutôt qu’un médecin.
Quelles sont les raisons de leur choix ?
En dépit du progrès étonnant réalisé par la médecine, de nombreuses personnes ne vont pas voir un médecin quand elles tombent malades. Ils préfèrent recourir à des guérisseurs. Certes, ils avancent plusieurs raisons pour expliquer leur choix, mais les conséquences de ce parti sont parfois graves.
La première cause qui pousse ces gens à solliciter les soins d’un guérisseur est la pauvreté. Le pouvoir d’achat d’une grande partie de la population marocaine est faible. Or, les coûts des soins par un médecin sont élevés. A l’opposé, le recours à la médecine traditionnelle est à la portée de toutes les bourses.
Parfois, l’ignorance est la seule explication du recours à la médecine traditionnelle.
Les conséquences de ce choix sont parfois graves. L’utilisation de plantes médicinales ou de toute autre substance, sur conseil du guérisseur, peut entraîner une intoxication ou des maladies graves.
Les ravages de la médecine traditionnelle sont innombrables. D’où la nécessité de combattre les guérisseurs. Mais, il faut permettre aux gens d’accéder aux soins dispensés dans les hôpitaux modernes, et surtout changer les mentalités.
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Sujet 40:
" Se marier ne consiste pas à passer de charmantes soirées avec une jeune et jolie femme…se marier veut dire créer de nouveaux liens de parenté avec une nouvelle famille, avoir de beaux enfants capables de vous venir en aide dans votre vieillesse."
Avez-vous la même conception du mariage décrite dans ce passage de la Boîte à merveilles de A.Sefrioui ? Exprimez votre point de vue en vous appuyant sur des exemples précis tirés de votre entourage.
Le mariage est une union légitime entre un homme et une femme.
C’est la cellule fondamentale de toute société.
L’objectif du mariage est de constituer une famille. Et c’est à
travers cette union sacrée que le maintien de l’espèce humaine
est assurée.
Certains ne saisissent pas le sens profond du mariage. Pour ces
personnes, se marier consiste à avoir à leurs côtés des femmes
pour assouvir leurs
besoins naturels ou biologiques. Or, le mariage dépasse cette
vision étroite. C’est plus que cela. Il vise à poser les bases d’une
famille dont les membres (mari, femme, enfants) permettent
d’assurer la survie de l’espèce humaine.
Il incombe aux parents de prendre soin des enfants, de les
éduquer, de les aimer pour qu’ils deviennent des membres
utiles non seulementpour leur famille, mais aussi pour
la société.
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Sujet 41:
"La Boite à merveilles" représente l'image de la femme marocaine de façon négative. Développez cette réflexion en vous appuyant sur des arguments pertinents.
On dit souvent que la femme est la moitié de la société. Elle joue un rôle primordial dans la préparation des générations à venir. Actuellement, elle jouit des mêmes droits que l'homme. Or, dans la Boîte à merveilles de Ahmed Sefrioui, le lecteur est confronté à une figuration souvent négative de la femme marocaine.
D'abord, la femme est superstitieuse. La Chouafa (tante Kanza) est visitée surtout par des femmes. Lala Aicha propose à Lalla Zoubida d'emmener l'enfant Sidi Mohamed à Sidi Boughaleb pour le soigner de sa maladie. La mère fait le tour des principaux marabouts et voyants de Fès pour guérir son enfant pendant l'absence du père. Elle ne pense pas à lui donner des médicaments. Ensuite, la femme dans ce roman est bavarde. Ainsi, Lalla Zoubida tient chaque soir à faire le bilan des événements de toute la journée au père. Le narrateur affirme que son père prie beaucoup et parle peu, alors que sa mère prie peu et parle beaucoup. Elle est une bonne comédienne qui joue des scènes devant ses voisines pour se moquer des maris de certaines femmes. Elle ne garde pas le secret des malheurs de Lalla Aicha et de son mari avec son associé Abdelkader. Enfin, la femme agit selon ses sentiments. Elle suit la voix de son cœur plutôt que celle de sa raison. A ce propos, on peut évoquer sa réaction devant le problème de la disparition de Zineb. Toutes les femmes se mettent à pleurer avec Rahma au lieu de faire quelque chose d'utile comme les hommes.
Personnellement, je suis d'accord avec Ahmed Sefrioui, mais il ne faut pas oublier que la femme marocaine n'a pas toujours été négative. Elle a participé à la résistance contre le colonialisme au même titre que' les hommes. La femme de Fès est connue aussi par sa piété et sa participation dans la vie sociale. L'exemple de Fatima El Fihria qui a bâti la mosquée Al Karaouiyine en est un exemple éloquent.
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Sujet 42:
Une comédie n'est pas uniquement destinée à faire rire. Monrez-le à travers la pièce" Les Fourberies de Scapin".
Molière est un auteur dramatique français du VII ème siècle. Il a écrit plusieurs pièces appartenant à des genres différents: tragique ou comique. Les Fourberies de Scapin est une comédie.
Il est communément admis que ce genre théâtral vise en priorité à faire rire le spectateur. Est-ce le cas dans cette pièce?
Les Fourberies de Scapin est sans conteste une comédie. Les procédés du comique y sont très nombreux: on recense le quiproquo, le renversement des situations, le déguisement, les paradoxes...Molière cherche à faire rire les spectateurs. Même les
personnages rient: Zerbinette, par exemple, s'esclaffe après avoir entendu le récit de la fourberie jouée par Scapin à Géronte. D'ailleurs, comme dans toute comédie, l'histoire finit dans le rire collectif; les personnages réalisent leurs voeux et pardonnent à Scapin.
Mais, il faut se garder de lire la pièce uniquement sous cette angle; il y a d'autres aspects non moins importants auxquels il faut prêter une grande attention. D'abord, ce texte est une critique acerbe de l'avarice des pères, en l'occurence Géronte et Argante. En second lieu, le dramaturge fait le procès des méandres de la justice et
de la corruption des magistrats. Par ailleurs, la pièce remet en cause quelques préjugés sociaux tels le mariage avec une femme de la même caste sociale et en contrepartie la valorisation de l'amour et des sentiments dans les rapports entre l'homme et la femme.
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Sujet 43:
De quel personnage vous sentez-vous le plus proche: Antigone ou Ismène?
Développez cette réflexion en vous appuyant sur des arguments pertinents.
Dans Antigone, plusieurs personnages s'opposent par leurs conceptions et leurs attitudes face aux problèmes: quel est le personnage le plus proche de nous: Ismène ou Antigone?
Ismène:
- Elle est attachée aux jouissances de la vie (bal, chant...)
- Une fille sans courage (elle a peur de mourir)
- Elle s'attache à la petitesse (elle ne fait pas de grandes actions)
- Elle n'a pas les qualités d'un héros (la détermination, le courage, la volonté, le défi...)
- Elle est hésitante (au début, elle ne voulait pas aller avec Antigone; à la fin, elle accepte)
Antigone:
- Elle a les qualités d'un héros.
- Elle est courageuse (elle brave la loi de Créon)
- Elle a le sens du devoir (elle pense qu'il est de son devoir d'enterrer le cadavre de son frère).
- Elle incarne la grandeur (elle ne s'attache pas aux petitesses de la vie comme le luxe, le bal...mais elle préfère les grandes actions).
- Elle a le sens de la justice (elle refuse l'injustice du roi).
- Elle a le sens du sacrifice (elle se sacrifie pour accomplir son devoir).
Je me sens plus proche d'Antigone que d'Ismène. Certes, ce dernier personnages a quelques qualités, mais c'est Antigone qui incarne les bonnes valeurs et les actions héroïques. Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si l'auteur en a fait le protagoniste de la pièce, et même donné son nom au titre de la tragédie.
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Sujet 44:
Antigone est un personnage qui dit ce qu’il pense avec courage et détermination, même si cela doit lui coûter la vie.
Dans un texte bien construit, dis ce que tu penses de ce genre de comportement.
L’auteur de la pièce de théâtre « Antigone » met en scène Antigone, un personnage franc, intrépide et déterminé. Ce personnage exprime ses pensées et ses positions avec courage. Sa franchise l’expose à des dangers, mais il ne craint rien.
Est-il toujours bon de dire, comme Antigone, le fond de ses pensées, avec franchise, ou faut-il, au contraire, camoufler, dans certaines situations, ses opinions et ses idées ?
Les uns pensent qu’il faut dire la vérité quelles que soient les circonstances ; les autres soutiennent qu’il faut tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler.
Antigone est un personnage courageux et franc. Elle transgresse les lois injustes de son oncle, le roi Créon. Elle expose sa vie au danger de la mort pour dénoncer l’injustice du roi (elle enterre le cadavre de son frère Polynice, malgré l’interdiction de son oncle). Elle s’acquitte de son devoir moral et familial en enterrant le cadavre de son frère. Elle dit ce qu’elle pense du roi avec franchise. Elle a payé de sa vie son courage et son sens du devoir.
Je crois qu’il y a des circonstances où il faut être intransigeant et dire la vérité sans ménager les autres ; mais il y a des cas où il faut exprimer la même opinion, mais en choisissant des détours.
Néanmoins, il ne faut jamais mentir : le mensonge est un défaut condamné par la morale et la religion.
La diplomatie, qui est basé en grande partie sur l’adulation et les mots mielleux, réussit à résoudre de graves problèmes mondiaux, comme la guerre, les conflits. Donc, il faut être diplomatique avec les gens. Mais pas hypocrite.
Certains diront qu’Antigone est un personnage téméraire : il a perdu sa vie à cause de sa franchise et de son courage. D’autres, au contraire, considèrent qu’il s’est sacrifié en répondant à l’appel du devoir.










ÑÏ ãÚ ÇÞÊÈÇÓ